Bonsoir à tous,

Je suis en train de préparer mon premier budget.
Je me demandais s'il y avait une règle sur la répartition de la dotation, de la CT entre AP et ALO.
Du style "il ne peut pas y avoir moins de tant de % de la dotation CT dans ALO" ou un truc du genre.

Ma question peut paraître bête mais je me la pose malgré tout.

Merci d'avance!

En fait c'est souvent 80/90 % de la DGF qui part dans ALO chez moi , la CT nous éclairant , chauffant , maintenant les locaux ( sécurité , etc...) . Tout cela coûte fort cher et il reste fort peu de crédits pour les activités pédago. C'est même une misère .

Si tu as assez de dotation pour couvrir à la fois les dépenses obligatoires et pédago dans une même proportion alors chapeau bas ! 

Une lecture attentive de ta DGF et du précédent budget peuvent t'éclairer .

Bon courage

Merci de ta réponse.
Pour ma part, les factures de bois pour le chauffage sont directement payées par la CT, du coup, j'ai moins à mettre dans ALO, ce qui fait augmenter le %age de la CT dédié au pédagogique...

Je reprends grosso modo ce qui a été fait dans le budget précédent mais je me demandais si réglementairement, il y avait des principes à respecter!

Novice a écrit:

Bonsoir à tous,

Je suis en train de préparer mon premier budget.
Je me demandais s'il y avait une règle sur la répartition de la dotation, de la CT entre AP et ALO.
Du style "il ne peut pas y avoir moins de tant de % de la dotation CT dans ALO" ou un truc du genre.

Ce n'est pas dans ce sens là qu'il faut le prendre.
Pour l'élaboration du budget, il faut (je pense ) partir du service Alo.
Les dépenses sont majoritairement incompressibles (viabilisation, contrats obligatoires) , et les recettes connues (DIF, Contribution entre services - tu dois mettre obligatoirement la contribution entre services dans le service Alo.)
Ensuite, il faut composer avec ce que l'on a : le service AP, par exemple, ne sera financé que par la dotation initiale restante, des subventions spécifiques ou des ressources propres.

Généralement, les CT préconisent un minimum de répartition. On peut ne pas le respecter mais il vaut mieux avoir de quoi argumenter. En général, on évite de mettre moins que ce qui est prévu pour la viabilisation, si la CT ne l'a pas prise en charge. Pour le reste, c'est la méthode Pimprenelle qui est la bonne. Dans un EPLE, contrairement à ce qu'on peut penser, la priorité va aux crédits pour contrats obligatoires. La pédagogie vient après. Ce n'est pas une question de pourcentage mais de bon sens.