Pour info, ici au Rectorat de Reims, il n' y a pas de DAJ :

http://www.ac-reims.fr/academie/organigramme-de-lacademie.html

Le contrôle de légalité est effectué par la Division des Etablissements, ce qui ne les empêche pas d'être vraiment efficaces (et sympathiques !).

Le Forgeron a écrit:

Tu m'accuses donc de mauvaise foi... En reprenant exactement ma position. Ca te paraît pas un peu bizarre ?

Ah, la joie de ces échanges écrits plein d'incompréhension mutuelle !

Non, je dis que tu sous-entends que certains collègues des services seraient nuls au point de confondre une circulaire avec un texte normatif (en disant qu'il te paraît impossible qu'ils le soient tous, tu laisses en effet entendre que certains le sont).
Je réponds que le problème n'est pas là : les collègues ne confondent rien, ils exécutent simplement les instructions qu'on leur donne en parfaite connaissance de cause.
Mais je devine bien que tu le sais et que ce n'était sous ta plume qu'un effet de style.

Je sais bien comment ça se passe : en écartant l'impossibilité pour les collègues d'être aussi nuls j'incite à rechercher ailleurs la raison du pourquoi du comment. Je pense toutefois l'erreur possible de bonne foi : on peut se retrouver en sortie d'IRA collé dans une DAJ académique et si on a fait des études de lettres ça peut être rock n'roll.

Et pour la confusion entre circulaire et texte normatif, je crois qu'elle est très ancrée partout et jusqu'au plus haut niveau. C'est loin d'être une honte.

Enfin je trouve l'organisation du contrôle de légalité à Reims plutôt intéressante et pertinente.

C'est vrai que le Rectorat de Reims ne me pose pas de problème. Leur système est assez clair. Je sais ce que je dois faire et inversement pour la prise en charge des accompagnateurs. Ainsi, j'évite les retours d'actes et les observations.

Bon après on peut toujours arriver à trouver des soucis : les voyages c'est tout un roman...

Le pire c'est expliqué tout ce système aux professeurs qui ont souvent du mal à intégrer le fait que la part accompagnateurs ne se paye pas par enchantement, le budget de nombreux établissements n'étant pas extensible, voir se réduisant de plus en plus.