Op@le : ATTENTION ANOMALIE DU JOUR

[quote="Popop"]J'avoue en avoir ras le bol. Plus qu'à attendre et espérer qu'à 09h30 cela refonctionne...

Et comme tous les gestionnaires et AC de France et de Navarre risquent de se précipiter à 9h30'01", cela fera sûrement de beaux ralentissements.

C'est revenu, je me connecte... "Delai d'attente dépassé, veuillez vous reconnecter"
Oh, Opale, toujours la petite boutade.
Allez, essayons de bosser.

Alors, moi, c'est tout bon... Mais comme je m'en doutais, les tentatives infructueuses pour créer une liste de voyageux, puis de dupliquer les créances a en fait parfaitement marché pendant tout le weekend de 5 jours, et j'ai maintenant 4 fois le nombre de créances à valider... J'avais qu'à pas m'entêter.

Op@le plus qu'un progiciel : un coach de vie personnel.

Xena a écrit:

Alors, moi, c'est tout bon... Mais comme je m'en doutais, les tentatives infructueuses pour créer une liste de voyageux, puis de dupliquer les créances a en fait parfaitement marché pendant tout le weekend de 5 jours, et j'ai maintenant 4 fois le nombre de créances à valider... J'avais qu'à pas m'entêter.

Op@le plus qu'un progiciel : un coach de vie personnel.

J'ai eu du pot, ma DBM validée plusieurs fois n'est finalement passée qu'une fois!

Master_of_nuggets a écrit:

J'ai eu du pot, ma DBM validée plusieurs fois n'est finalement passée qu'une fois!

La même chose pour moi pour une DBM en prélèvement sur FDR. OUF !!

Xena a écrit:

... Mais comme je m'en doutais, les tentatives infructueuses pour créer une liste de voyageux, puis de dupliquer les créances a en fait parfaitement marché pendant tout le weekend de 5 jours, et j'ai maintenant 4 fois le nombre de créances à valider...

Master_of_nuggets a écrit:

J'ai eu du pot, ma DBM validée plusieurs fois n'est finalement passée qu'une fois!

Op@le, l'application agile qui met enfin de l'inattendu dans votre vie professionnelle...

Nicolas a écrit:

1. Est ce que se mettre maintenant vent debout contre op@le est utile aux collègues et à la profession ? Je suis certain que non.

C'est sûr qu'en apportant la vaseline, ça se passe au mieux, on le voit bien aujourd'hui.

Nicolas a écrit:

2. Notre intérêt et j'insiste sur cette notion de collectif, c'est de mettre le grappin sur ce truc, d'exiger des améliorations (simplification de quelques écrans notamment, arrêt des montées de version avec des suppressions de fonctionnalités utilisées par les collègues), de profiter du déploiement pour avancer nos pions dans les EPLE et développer un écosystème autour d'Op@le cf la gamme*Sco.

"Mettre le grappin sur ce truc" ? C'est beau, beau.
Mais ça veut rien dire. Quels sont les effets de notre façon de s'emparer de cette D@ube? Quasi aucun. Les avancées sont trop légères, trop tardives, trop mineures.
Tu n'as pas lu ce que dit Boz ? Tu ne le crois pas ? il n'y aura pas de modifications sur l'ergonomie car c'est du cosmétique et que le cœur de la daube est loin d'être au point...
Un écosystème autour d'Opale ? - qu'il faudra un jour arrêter d'écrire avec cette idiotie d'arrobase. On dirait Total qui nous vend de l'énergie verte !

Nicolas a écrit:

Les collègues que je rencontre (et qui étaient volontaires il faut le préciser), ne regrettent jamais GFC.

Propagande.
On rencontre pas les mêmes. Et tous ceux ici qui viennent nous dire tout le bien de ce foutu GFC qui fait le taf, qui est stable et surtout qui n'empêche pas de bosser malgré ses défauts contrairement à la D@ube.

Nicolas a écrit:

J'ajoute que la mère des batailles reste la simplification : les règles, les procédures et les outils.

Non. La mère des batailles, c'est que notre employeur nous donne des outils corrects. Qu'il arrête de dépenser notre pognon de contribuable dans des D@ube.

Nicolas a écrit:

C'est cela qui devrait nous unir et à tous les niveaux.

Et la marmotte...

Nicolas a écrit:

Aujourd'hui les process sont tellement complexes, et il y a tellement de travail et de contraintes et de réformes, qu'ils sont de moins en moins applicables.

Et, cela n'engage que moi, ils sont devenus obsolètes.  Malheureusement Op@le est à l'image de cette complexité bureaucrate.

Il faut du simple, de l'ergonomique et de l'agile.

Je ne partage pas ce constat.
Le problème, c'est que les décisions sont prises sans connaissance de leur applicabilité. Et que derrière, dans les bureaux des ministères jusque sur le terrain, on marne comme des clébards pour rendre applicables des bordels mal pensés, décidés par simple électoralisme.En dépit de l'intérêt général, du service public, du bien commun et de la faisabilité administrative ou concrète.
Il faut surtout, à un moment, sortir de cette candeur positiviste et regarder la réalité en face.
Quand les égouts débordent, il faut avoir le courage de dire qu'on les pieds dans la m. Au lieu de commencer à dire qu'il faut saisir cette opportunité pour améliorer la fragrance de ce qui nous remonte jusqu'au menton.

Dupond&Dupont a écrit:

J'espère toutefois qu'avant de consacrer son énergie à rechercher des coupables, le ministère s'emploiera d'abord à nous sortir de l'ornière dans laquelle il nous a mise et ensuite à trouver les moyens que cela ne se reproduise pas (plus).

On peut rêver.

Feudart a écrit:

Si les coupables ne sont pas trouvés et sanctionnés, la même situation se reproduira à l'avenir.
Les mêmes causes produisent les mêmes effets.
Il y a cependant un point sur lequel je suis d'accord avec toi : nous ne pouvons rien y faire.

On peut rêver.
On peut soutenir les OS qui se battent depuis des années pour améliorer notre sort sur cette problématique. Refuser le passage à Opale. Je l'ai fait dans mon groupement au moment convenu par le rectorat qui me désignait comme volontaire et me demandait de lui désigner 2 autres victimes à sacrifier volontaires. Freiner des 4 fers. Gueuler. Saisir le RSST. Écrire à l'académie pour leur rappeler que si des collègues pètent un câble à cause de leur D@ube, leur responsabilité sera engagée au titre des RPS...

... Bah ce matin opale ne génère toujours pas les travaux avec lettrage - et donc pas d'écriture associée.

En plus d'être chronophage, instable ( une restitution peut varier d'une minute à l'autre selon le temps de latence vers l'autre monde du progiciel), peu ergonomique, peu lisible...

Je ne voulais plus de GFC ( je rêvais de développements de solde qui se seraient incrémentés au fur et à mesure sans avoir à reprendre toutes les données , de relevés Trésor traités d'un seul clic, etc)
et je suis devenu un opérateur de saisie où je ne comprends pas comment trouver une information simple ( une fiche de compte par exemple) sans avoir à supprimer 800 lignes d'un tableau excel illisible (pour moi, pauvre demeuré que je suis devenu).

Allez, petite minute de ras-le-bol. Je remets mes lunettes, maintenant que je passe plus de huit heures d'affilée sur un écran à espérer que je ne me sois pas trompé dans ma saisie ( pas le droit à l'erreur sinon on ne sait même plus comment récupérer une contrepassation contrepassée sur un journal de caisse).

Bon courage.

Je précise que j'ai dû annuler chaque créance en trop, une par une, alors que jusqu'ici ça avait toujours fonctionné en travail de masse.
Je pense que nous ne sommes pas sortis des orties, nous allons juste apprendre à avoir le c*l qui gratte.

les TR peuvent être liquidés en masse

mais l'annulation ne se fait qu'un par un

j'ai eu le même problème l'année dernière avec les duplications, Opale était tellement lent qu'on pensait que le travail n'était pas fait

maintenant quand je lance une duplication, je suis patient

Cela fait du bien de lire le post de Goldored, et notamment cette remarque à laquelle je souscris:
"Il faut surtout, à un moment, sortir de cette candeur positiviste et regarder la réalité en face.
Quand les égouts débordent, il faut avoir le courage de dire qu'on les pieds dans la m. Au lieu de commencer à dire qu'il faut saisir cette opportunité pour améliorer la fragrance de ce qui nous remonte jusqu'au menton."

Goldored a écrit:

Nicolas a écrit:

1. Est ce que se mettre maintenant vent debout contre op@le est utile aux collègues et à la profession ? Je suis certain que non.

C'est sûr qu'en apportant la vaseline, ça se passe au mieux, on le voit bien aujourd'hui.

Nicolas a écrit:

2. Notre intérêt et j'insiste sur cette notion de collectif, c'est de mettre le grappin sur ce truc, d'exiger des améliorations (simplification de quelques écrans notamment, arrêt des montées de version avec des suppressions de fonctionnalités utilisées par les collègues), de profiter du déploiement pour avancer nos pions dans les EPLE et développer un écosystème autour d'Op@le cf la gamme*Sco.

"Mettre le grappin sur ce truc" ? C'est beau, beau.
Mais ça veut rien dire. Quels sont les effets de notre façon de s'emparer de cette D@ube? Quasi aucun. Les avancées sont trop légères, trop tardives, trop mineures.
Tu n'as pas lu ce que dit Boz ? Tu ne le crois pas ? il n'y aura pas de modifications sur l'ergonomie car c'est du cosmétique et que le cœur de la daube est loin d'être au point...
Un écosystème autour d'Opale ? - qu'il faudra un jour arrêter d'écrire avec cette idiotie d'arrobase. On dirait Total qui nous vend de l'énergie verte !

Nicolas a écrit:

Les collègues que je rencontre (et qui étaient volontaires il faut le préciser), ne regrettent jamais GFC.

Propagande.
On rencontre pas les mêmes. Et tous ceux ici qui viennent nous dire tout le bien de ce foutu GFC qui fait le taf, qui est stable et surtout qui n'empêche pas de bosser malgré ses défauts contrairement à la D@ube.

Nicolas a écrit:

J'ajoute que la mère des batailles reste la simplification : les règles, les procédures et les outils.

Non. La mère des batailles, c'est que notre employeur nous donne des outils corrects. Qu'il arrête de dépenser notre pognon de contribuable dans des D@ube.

Nicolas a écrit:

C'est cela qui devrait nous unir et à tous les niveaux.

Et la marmotte...

Nicolas a écrit:

Aujourd'hui les process sont tellement complexes, et il y a tellement de travail et de contraintes et de réformes, qu'ils sont de moins en moins applicables.

Et, cela n'engage que moi, ils sont devenus obsolètes.  Malheureusement Op@le est à l'image de cette complexité bureaucrate.

Il faut du simple, de l'ergonomique et de l'agile.

Je ne partage pas ce constat.
Le problème, c'est que les décisions sont prises sans connaissance de leur applicabilité. Et que derrière, dans les bureaux des ministères jusque sur le terrain, on marne comme des clébards pour rendre applicables des bordels mal pensés, décidés par simple électoralisme.En dépit de l'intérêt général, du service public, du bien commun et de la faisabilité administrative ou concrète.
Il faut surtout, à un moment, sortir de cette candeur positiviste et regarder la réalité en face.
Quand les égouts débordent, il faut avoir le courage de dire qu'on les pieds dans la m. Au lieu de commencer à dire qu'il faut saisir cette opportunité pour améliorer la fragrance de ce qui nous remonte jusqu'au menton.

Dupond&Dupont a écrit:

J'espère toutefois qu'avant de consacrer son énergie à rechercher des coupables, le ministère s'emploiera d'abord à nous sortir de l'ornière dans laquelle il nous a mise et ensuite à trouver les moyens que cela ne se reproduise pas (plus).

On peut rêver.

Feudart a écrit:

Si les coupables ne sont pas trouvés et sanctionnés, la même situation se reproduira à l'avenir.
Les mêmes causes produisent les mêmes effets.
Il y a cependant un point sur lequel je suis d'accord avec toi : nous ne pouvons rien y faire.

On peut rêver.
On peut soutenir les OS qui se battent depuis des années pour améliorer notre sort sur cette problématique. Refuser le passage à Opale. Je l'ai fait dans mon groupement au moment convenu par le rectorat qui me désignait comme volontaire et me demandait de lui désigner 2 autres victimes à sacrifier volontaires. Freiner des 4 fers. Gueuler. Saisir le RSST. Écrire à l'académie pour leur rappeler que si des collègues pètent un câble à cause de leur D@ube, leur responsabilité sera engagée au titre des RPS...

Voilà ! Pas mieux 

Goldored a écrit:

On peut soutenir les OS qui se battent depuis des années pour améliorer notre sort sur cette problématique. Refuser le passage à Opale. Je l'ai fait dans mon groupement au moment convenu par le rectorat qui me désignait comme volontaire et me demandait de lui désigner 2 autres victimes à sacrifier volontaires. Freiner des 4 fers. Gueuler. Saisir le RSST. Écrire à l'académie pour leur rappeler que si des collègues pètent un câble à cause de leur D@ube, leur responsabilité sera engagée au titre des RPS...

Oui certes, mais ce n'est pas dans la culture de la profession.
Et encore moins depuis que le rapport de forces avec les syndicats -déjà déséquilibré auparavant- a basculé clairement contre eux.
Profession qui scie d'ailleurs plus ou moins la branche sur laquelle elle est assise: dans une dernière réunion, le message passé a été: "Tout va bien, bon c'est pas parfait mais on y travaille et ça fonctionne", et les collègues ayant le malheur de décrire une réalité -vécue- quelque peu différente se sont quasiment fait traiter de dinosaures alarmistes et de boomers.

Il fut ici un temps question de responsabilité de collègues expérimentés n'assumant pas suffisamment le changement et déprimant les autres collègues à propos d'Opale (sans arobase pour te faire plaisir, Goldo), il faudra peut-être un jour se demander s'il est mieux pour la profession de faire l'autruche, appliquer la méthode Coué et faire le jeu d'un Ministère pour lequel nous ne comptons plus (la DAF A3 n'est pas en cause: comme nous ils n'ont pas voix au chapitre, appliquent et essayent de faire au mieux avec un machin dont je suis persuadé qu'ils savent depuis longtemps qu'il est dès le départ inadapté et trop mal foutu pour être vraiment opérationnel).

Fougère a écrit:

Goldored a écrit:

Nicolas a écrit:

1. Est ce que se mettre maintenant vent debout contre op@le est utile aux collègues et à la profession ? Je suis certain que non.

C'est sûr qu'en apportant la vaseline, ça se passe au mieux, on le voit bien aujourd'hui.

Nicolas a écrit:

2. Notre intérêt et j'insiste sur cette notion de collectif, c'est de mettre le grappin sur ce truc, d'exiger des améliorations (simplification de quelques écrans notamment, arrêt des montées de version avec des suppressions de fonctionnalités utilisées par les collègues), de profiter du déploiement pour avancer nos pions dans les EPLE et développer un écosystème autour d'Op@le cf la gamme*Sco.

"Mettre le grappin sur ce truc" ? C'est beau, beau.
Mais ça veut rien dire. Quels sont les effets de notre façon de s'emparer de cette D@ube? Quasi aucun. Les avancées sont trop légères, trop tardives, trop mineures.
Tu n'as pas lu ce que dit Boz ? Tu ne le crois pas ? il n'y aura pas de modifications sur l'ergonomie car c'est du cosmétique et que le cœur de la daube est loin d'être au point...
Un écosystème autour d'Opale ? - qu'il faudra un jour arrêter d'écrire avec cette idiotie d'arrobase. On dirait Total qui nous vend de l'énergie verte !

Nicolas a écrit:

Les collègues que je rencontre (et qui étaient volontaires il faut le préciser), ne regrettent jamais GFC.

Propagande.
On rencontre pas les mêmes. Et tous ceux ici qui viennent nous dire tout le bien de ce foutu GFC qui fait le taf, qui est stable et surtout qui n'empêche pas de bosser malgré ses défauts contrairement à la D@ube.

Nicolas a écrit:

J'ajoute que la mère des batailles reste la simplification : les règles, les procédures et les outils.

Non. La mère des batailles, c'est que notre employeur nous donne des outils corrects. Qu'il arrête de dépenser notre pognon de contribuable dans des D@ube.

Nicolas a écrit:

C'est cela qui devrait nous unir et à tous les niveaux.

Et la marmotte...

Nicolas a écrit:

Aujourd'hui les process sont tellement complexes, et il y a tellement de travail et de contraintes et de réformes, qu'ils sont de moins en moins applicables.

Et, cela n'engage que moi, ils sont devenus obsolètes.  Malheureusement Op@le est à l'image de cette complexité bureaucrate.

Il faut du simple, de l'ergonomique et de l'agile.

Je ne partage pas ce constat.
Le problème, c'est que les décisions sont prises sans connaissance de leur applicabilité. Et que derrière, dans les bureaux des ministères jusque sur le terrain, on marne comme des clébards pour rendre applicables des bordels mal pensés, décidés par simple électoralisme.En dépit de l'intérêt général, du service public, du bien commun et de la faisabilité administrative ou concrète.
Il faut surtout, à un moment, sortir de cette candeur positiviste et regarder la réalité en face.
Quand les égouts débordent, il faut avoir le courage de dire qu'on les pieds dans la m. Au lieu de commencer à dire qu'il faut saisir cette opportunité pour améliorer la fragrance de ce qui nous remonte jusqu'au menton.

Dupond&Dupont a écrit:

J'espère toutefois qu'avant de consacrer son énergie à rechercher des coupables, le ministère s'emploiera d'abord à nous sortir de l'ornière dans laquelle il nous a mise et ensuite à trouver les moyens que cela ne se reproduise pas (plus).

On peut rêver.

Feudart a écrit:

Si les coupables ne sont pas trouvés et sanctionnés, la même situation se reproduira à l'avenir.
Les mêmes causes produisent les mêmes effets.
Il y a cependant un point sur lequel je suis d'accord avec toi : nous ne pouvons rien y faire.

On peut rêver.
On peut soutenir les OS qui se battent depuis des années pour améliorer notre sort sur cette problématique. Refuser le passage à Opale. Je l'ai fait dans mon groupement au moment convenu par le rectorat qui me désignait comme volontaire et me demandait de lui désigner 2 autres victimes à sacrifier volontaires. Freiner des 4 fers. Gueuler. Saisir le RSST. Écrire à l'académie pour leur rappeler que si des collègues pètent un câble à cause de leur D@ube, leur responsabilité sera engagée au titre des RPS...

Voilà ! Pas mieux 

Si: que la ligne Maginot n'aura servi à rien.
Le pire c'est que certainement Opale est comme le fort Boyard et ce genre de truc trop long, trop lourd: même pas achevé ils sont déjà technologiquement dépassé.
Après ça fait longtemps qu'on est la tarte-up nation:
Développer le minitel au lieu d'internet
et le bi-bop:
0lors que le GSM entamait sa croissance inexorable, France Telecom décide de lancer (à contre-courant) son propre réseau de téléphonie mobile : le Pointel. L'opérateur historique baptise ses nouveaux téléphones Bi-Bop.
Actuellement les Bi-Bop se trouvent rarement sur les sites de ventes en ligne mais il est courant de les trouver pour une dizaine d’euros. Nul doute que cela ne va pas durer, le nombre d'appareil commercialisé et son "bide" commercial devrait rapidement en faire une pièce emblématique de tout Mobilophile ;

Opale n°1 au bêtisier du CES de Las-Vegas!

J'ai découvert le bip-bip il y a trois semaines, alors que vu mon âge, j'aurais dû être dans la cible de la clientèle.

Comme le disent les jeunes , Goldored , a dit les termes.  Encore aujourd'hui malgré la réouverture c'est encore n'importe quoi.....

 
Il n'y a pas d'Ig-nobel pour l'informatique ?
La D@ube pourrait y être nommée sans problème et même rapporter un trophée à la France. Ca nous changerait des JO et de l'Eurovision.

Goldored a écrit:

Il n'y a pas d'Ig-nobel pour l'informatique ?
La D@ube pourrait y être nommée sans problème et même rapporter un trophée à la France. Ca nous changerait des JO et de l'Eurovision.

L'objectif déclaré de ce prix (l'Ig Nobel) est de "récompenser les réalisations qui font d'abord rire les gens, puis qui les font réfléchir".


Opale, c'est le contraire.
Une application sur laquelle des gens ont beaucoup réfléchi, puis qui font éclater de rire les autres au vu du résultat.

Opale ne me fait pas trop rire

même si quand il divise une recette au comptant de 4€ en 3 TR, c'est risible

On pourra dire , dans nos vieux jours , qu'on se poêla avec opale.

Alors Goldored si tu n'as pas un mail sur ta boîte pro ou perso de la part de Nicolas, c'est qu'il y a une différence de traitement des membres de la communauté du forum . Ce n'est pas grave je ne dois pas porter le bon combat . Je suis syndiquée. J'ai ouvert ma grande bouche pour dire que non, tout ne se passait pas comme prévu au SG lors d'une réunion. Qui d'ailleurs a eu la grande intelligence de prendre ca très au sérieux. L'argument : faire peur aux collègues et autres fake news... Comment dire. Mais pour autant tout cela n'est guère réjouissant et ce qui me préoccupe comme je le disais dans un précédent message. Qui écope ? A quel rythme doit on tenir ? Je pense notamment aux GM isolés dans leurs petits établissements. Dans mon agence comptable bien qu'étant en sous effectif. On est avec mon agent comptable bien soudé pour l'instant. Mais je sens bien que ça peut craquer... l'accumulation. Bon j'envoie quand même des bisous à Nicolas s'il les accepte. On vit vraiment dans une saucisse.

Nicolas a je pense les mêmes préoccupations, derrière des éléments de langage assez malheureux je trouve à titre personnel.

Faut arrêter avec la négative attitude "et Opale ça marche pas, Et Opale faut cliquer,... " Vous verrez, un jour, ça marchera. Et si c'est pas la cas vous vous y ferez.

Au lieu de pleurnicher sans cesse, vous devriez vous réjouir pour les actionnaires du prestataire dont il semble qu'il soit interdit de dire le nom (mais choisit en toute objectivité probablement au vu de ses réussites précédentes) : une petite hausse de 7 % des bénéfices en 2023. 
S'il avait fallut mettre de l'argent pour faire un truc qui marche bah ils n'auraient pas eu 1 milliard 700 millions de bénef à se partager mais peut être que 1 milliard 680 millions. Vous avez pensez à ça ? Bah non égotistes autocentrés que vous êtes.

Au lieu de se plaindre j'imagine que personne n'a pensé à venir bosser la nuit ? Et oui, tout le monde vient bêtement bosser le jour et du coup vous faites planter Opale. 

Aucune initiative, aucune réflexion. Vous méritez pas Opale. C'est ça la vérité.

Ce matin à 9 heures dans notre académie, une agent comptable a pris son courage à deux mains et a envoyé ce court message au secrétariat général du rectorat : Je demande un moratoire sur le déploiement d'Opale, logiciel complexe, chronophage, régulièrement défaillant qui  n'est ni abouti ni fiable et ne correspond pas à nos besoins en matière de suivi comptable. Ce déploiement conduisant à une dégradation sans précédent de nos conditions de travail et engendrant un stress sans précédent.
Un deuxième agent comptable a trouvé l'idée ma foi pas mauvaise et comme aucune autre initiative n'était proposée, a repris le même message pour le renvoyer une nouvelle fois au SG.

Ce faisant, vous devinez la suite, un troisième, puis un quatrième, puis un ....,  a fait la même chose.
Nous sommes ce soir une soixantaine, agents comptables, gestionnaires, collègues de l'intendance à avoir envoyer ce message sur la même boite email.
Les esprits grincheux diront que cela ne sert à rien, c'est probablement vrai mais cela démontre une certaine solidarité, on se sent beaucoup moins seul tout d'un coup.
Et cela n'enlève évidemment rien au travail des collègues syndiqués, j'y vois plutôt un renforcement de leur action.
Et vous, vous faites quoi demain ?

L'initiative est méritoire, et si on veut que bougent les choses, c'est effectivement ce qu'il faut faire concrètement (ce que disait plus haut Goldored: refuser ce passage à Opale. Freiner des quatre fers. Gueuler. Le faire collectivement).
Mais vu la voie choisie par le Ministère ("On comprend vos difficultés mais on avance et on ne changera pas d'un iota le plan de déploiement comme demandé par les OS"), j'ai des doutes, et même si cette grogne professionnelle fait tâche d'huile.
Et je ne parle pas des collègues engagés dans Opale qui trouveront ce combat d'arrière-garde.

Pour Goldo, Boz, Nethou et Dup', penser que rejeter Op@le et attendre que le MEN ou CapTruc ou autre nous ponde autre chose est une juste un doux rêve et une funeste erreur.

Jeter Op@le avec l'eau du bain est tout aussi irresponsable.

En revanche, accepter les dysfonctionnements actuels et dire que tout va bien le serait tout autant.

Mais pour être crédible il ne faut pas tout mélanger. Les attributions de marché ce n'est pas notre problème en tant qu'adjoint gestionnaire ou agent comptable.

Alors que se retrouver avec des interruptions de service de plusieurs jours, et sans avertissement, avec des gamins qui partent en ERASMUS, des bourses à payer ou des fournisseurs qui attendent, être confrontés depuis plusieurs semaines à des lenteurs bloquantes, se retrouver avec des dégradations des fonctionnalités lors des montées de version, ce n'est pas acceptable pour une application professionnelle.

Par ailleurs, demander la refonte des principaux écrans trop complexes est aussi parfaitement légitime.

Exiger un fonctionnement fluide et des améliorations minimales, c'est légitime à 200%  !

Demander un moratoire, pourquoi pas, si les interruptions de service se poursuivent, de toute façon il n'y aura pas le choix. Ceci dit, il ne faut pas miser là-dessus pour ne pas se préparer ou ne pas faire le job.

Je vais tous vous surprendre mais je suis tellement du même avis que Nicolas...

Pour ma part, je voudrais bien savoir pourquoi je suis cité...
Je n'attends pas que le prestataire ou le ministère nous propose autre chose...
Je voudrais bien que l'on me montre où j'ai pu dire ou écrire ça...

pareil, je n'avais pas l'impression d'avoir demandé la fin d'Op@le. Juste que le ministère se casse la nénette pour que ça marche mieux

Il est absolument clair que l'on ne reviendra pas sur Op@le. Déjà parce que je vois difficilement comment ce serait possible pour les établissements ayant basculé, les difficultés que cela générerait seraient bien supérieures aux avantages attendus. Et à titre personnel, je ne souhaite pas revenir à GFC après avoir goûté à Op@le. Mais notre ministère ne peut pas continuer à faire l'autruche en mode "tout va bien" comme si de rien n'était

Nicolas a écrit:

Demander un moratoire, pourquoi pas,

Mais que veux-tu donc faire d'autre ?
L'application "de base" ne sera pas modifiée dans son architecture (c'est le sens de ce que nous a dit Bozinchu). Donc c'est bancal dès le départ mais on sait qu'il faudra faire avec. Déjà ça, ce n'est pas normal, mais bon.

Mais si on veut au moins essayer d'améliorer les choses, il faut le temps pour le faire; les dysfonctionnements (que tu cites) sont déjà suffisamment nombreux et d'importance pour qu'on s'y penche enfin sérieusement.
Ce n'est certainement pas en continuant le déploiement prévu comme si de rien n'était que l'on va améliorer les choses, surtout avec la grosse masse des EPLE censée passer sous Opale en janvier prochain.
Alors lister tout ce qui ne va pas et marquer ensuite en gras que ce-n'est-pas-admissible, c'est bien joli, mais ça fait un peu tract syndical et ça ne fait rien avancer concrètement.

Il faut que le Ministère ne fasse plus semblant de ne pas voir l'ampleur des problèmes et comprenne que le calendrier prévu du déploiement (et le nombre important des établissements à passer sous Opale en 2024-2025) n'est plus viable au vu des problèmes que pose la vague de janvier 2024 (et qui existaient déjà avant, voire sont réapparus...).
Concrètement, quand tu as une agence comptable à 5 ou 6 bahuts et qu'à l'heure actuelle un voire deux seulement sont sous Opale et galèrent (une situation courante dans mon académie), il faut -au moins- faire une étape supplémentaire dans le déploiement et passer d'abord à 4 sur un exercice (2025) avant de passer à l'agence complète l'année suivante. Sinon, vu les problèmes, retards et lenteurs posés par un seul ou deux, ça sera la noyade.

Je n'ai pas le temps de développer ce matin, mais je suppose que vous avez saisi l'idée.

C'est à dire sélectionner les arguments qui vont permettre aux OS dont plusieurs vont/sont reçues, et à celles et ceux qui échangent avec les secrétaires généraux d'académie ou autres représentants du SNPDEN, de 'peser' en étant crédible et en apportant des faits objectifs.

De la même manière que lorsqu'on fait un rapport concernant les manquements d'un agent de la collectivité: dire qu'il est nul ou a été recruté par piston ne sert à rien et est souvent injuste, en revanche dire qu'il n'a pas effectué dans les délais telle ou telle mission ou ne vient pas certains jours sans avertir sont des éléments objectifs.

Dire que Cap G* a été choisi selon un processus entaché d'éventuels manquements, demander un moratoire, dire qu'Op@le était bancal dès le départ, que Cap G* ou le MEN sont nuls ne sert pas à grand chose.

En revanche exiger une application disponible et fonctionnelle pour exercer notre métier et dont les manquements les plus criants doivent être corrigés au plus vite car notre santé, l'exercice de nos missions et le service rendu aux usagers sont en jeu, çà c'est 100% crédible.

Et on peut même parler d'une grève d'Op@le tant que ces problèmes ne sont pas pris en compte et résolus au moins en partie. Personnellement vu le fonctionnement d'Op@le ces dernières semaines, cela ne me pose aucun problème.