Op@le : ATTENTION ANOMALIE DU JOUR

Master_of_nuggets a écrit:

Il m'a été récemment remonté que les parties dépense, recette et régie avaient été développées par 3 entités différentes. Si tel est bien le cas, on peut attribuer à ça les icônes qui ne sont pas les mêmes, un coup c'est disquette, un coup c'est roue crantée, un coup c'est lexomil, bref.... Mais c'est aussi ça qui a dû amener au blocage du module de régie.

franchement il est évident qu'il n'y a eu aucune réunion d'harmonisation de l'ergonomie

ça donne vraiment l'impression que les différents modules ont été faits par des stagiaires sans concertation

Bozinchu a écrit:

Master_of_nuggets a écrit:

Il m'a été récemment remonté que les parties dépense, recette et régie avaient été développées par 3 entités différentes. Si tel est bien le cas, on peut attribuer à ça les icônes qui ne sont pas les mêmes, un coup c'est disquette, un coup c'est roue crantée, un coup c'est lexomil, bref....

Non le produit était pré existant et il n'y a eu que la première page qui a été ajouté en surcouche...
La page où il y a toutes les icones avec une partie haute qui ne change pas et la partie basse qui évolue en fonction du choix

Master_of_nuggets a écrit:

Mais c'est aussi ça qui a dû amener au blocage du module de régie.

Non le module régie n'existait simplement pas
Le reste c'est un logiciel privé.. qu'ils nous ont refourgué brut de décoffrage..
Ils n'ont pas été capables de comprendre le fonctionnement de la régie et de fabriquer ledit module

Okay... c'est déjà plus précis que toutes les soupes qu'on nous fait ingurgiter en réunions pour nous amadouer et nous faire accepter ces "petits bugs de parcours".

Le pire c'est qu'il y a eu des réunions sur l'ergonomie.
On a même demandé la suppression de ces dizaines de champs de saisie inutiles... toutes ces cases non munies d'un * qui ne servent à rien..
C'est de la cosmétique nous a-t-il été répondu
Dans un premier temps la priorité c'est que le bousin fonctionne bien
Dans un deuxième temps on fera du nettoyage..
Le premier temps n'étant pas encore terminé, on est loin du deuxième...

Xena a écrit:

Entre autres, mais je me souviens avoir eu un échange avec un éminent collègue D'espace EPLE, y'a quelques mois, a propos de ce que les collègues comptables avaient demandé au Ministère -- tout ce qu'il ne faut pas faire avec Opale.

Les collègues ont peut-être demandé à ce que l'application, comme on nous l'a seriné, soit plus en adéquation avec la règlementation comptable.
Ce qui n'a rien à voir avec l'ergonomie-même du produit (par exemple les clics à répétition), et encore moins avec les bugs aléatoires et autres blocages subits de l'application.

Au bout d'un moment, il faudra arrêter de chercher ailleurs (les demandes bizarres des AC, l'absence de volonté de changement de collègues par ailleurs peu compétents en compta bud et géné, comme je l'ai entendu, une profession rétive au changement, etc...) ce que l'on a au bout des doigts: un machin absolument pas ergonomique et adapté à nos besoins, aux bugs aléatoires et donc l'accès plante sans crier gare. Que chez nombre de collègues ça marche -à peu près- ne change rien à la réalité d'ensemble: c'est un gros raté, que le déploiement cette année est en train de mettre en lumière en attendant le très gros de janvier prochain.

Merci beaucoup Bozinchu pour ces explications.

Donc, si je comprends bien, selon toi le problème vient du prestataire ?

Et deuxième question : qui a concrètement choisi ce prestataire et pourquoi ?

néthou a écrit:

Les collègues ont peut-être demandé à ce que l'application, comme on nous l'a seriné, soit plus en adéquation avec la règlementation comptable.

Nous on a demandé un outil respectant la réglementation..
Nous n'avons pas eu notre mot à dire sur la couche logiciel capable de mettre en oeuvre le bousin.

Effectivement si on avait écouté le vénérable J. L-H (et d'autres collègues expérimentés qui avaient pour boussole d'abord le service public), on n'en serait pas là où nous sommes. Le fruit du dialogue compétitif a été un choix politique qu'évidemment personne ne veut plus assumer étant donné le constat actuel.

Résultat : à l'heure de l'intelligence artificielle qui devrait permettre de quasiment supprimer la fonction comptable dans le fonctionnement des structures, l'Education Nationale réussit le tour de force de provoquer un bazar sans nom avec ses personnels qui en sont réduits, par exemple, à cliquer 50 fois pour saisir/valider des RIB (chiffre probablement sous-estimé !!)

Quant à l'indépendance de l'IG et l'endogamie de sa composition, comment dire ...

Pourquoi le ministère n'a t'il pas cassé le marché quand il devenait évident que le prestataire ne respectait pas ses engagements contractuels ?

Feudart a écrit:

Merci beaucoup Bozinchu pour ces explications.

Donc, si je comprends bien, selon toi le problème vient du prestataire ?

Et deuxième question : qui a concrètement choisi ce prestataire et pourquoi ?

On choisit ses copains : M. Frederic Oudéa vice président de cap g.....  mari de notre éphémère ministre et poto d'on sait qui..

Feudart a écrit:

Donc, si je comprends bien, selon toi le problème vient du prestataire ?

Oui sans aucune contestation possbile

Feudart a écrit:

Et deuxième question : qui a concrètement choisi ce prestataire

réponse facile, le ministère  

Feudart a écrit:

et pourquoi ?

ça c'est plus compliqué pour répondre , j'ai bien fait partie de la commission d'audition, mais après, une fois que nous avions donné un avis, ce sont les hautes instances qui ont décidé, et je ne connais pas le critères retenus...

Bozinchu a écrit:

ça c'est plus compliqué pour répondre , j'ai bien fait partie de la commission d'audition, mais après, une fois que nous avions donné un avis, ce sont les hautes instances qui ont décidé, et je ne connais pas le critères retenus...

Il est évident que le nœud du problème se situe ici.

Les hautes instances, qui c'est ? Qui sont ces gens ?

C'est censé être un marché public. Un marché public doit être transparent. On devrait avoir accès à ces informations. Les gens qui ont pris cette décision devraient être contraint de se justifier, et si leurs explications ne sont pas satisfaisantes, ils devraient être sévèrement punis. Il faudrait une enquête sérieuse à ce sujet. Même Bozinchu, qui pourtant faisait partie des commissions et des groupes de travail, n'en sait finalement pas beaucoup. Ce n'est absolument pas normal.

C'est au niveau du SG du ministère..
Faut quand même pas exagérer mon rôle et surtout mon poids dans la décision finale..

relis mon message... tu auras un début de réponse

dédé a écrit:

relis mon message... tu auras un début de réponse

 J'ai lu ne t'inquiète pas, et je suis complètement d'accord.

Il faut se rendre à l'évidence, c'est la seule explication rationnelle.

Bozinchu a écrit:

C'est au niveau du SG du ministère..
Faut quand même pas exagérer mon rôle et surtout mon poids dans la décision finale..

Et c'est bien dommage que toi et les autres collègues n'aient pas eu plus de poids.

Mais en fin de compte, je pense que toutes ces réunions auxquelles tu as participé, c'était du décorum... C'était une question de pur formalisme.

Je suis prêt à parier que les dés étaient "pipés", dès le départ.

Mais cela, bien évidemment, je ne l'affirme pas car je ne peux pas le prouver. Une enquête sérieuse serait très instructive.

Bozinchu a écrit:

C'est au niveau du SG du ministère..
Faut quand même pas exagérer mon rôle et surtout mon poids dans la décision finale..

Tu peux nier tout ce que tu veux, on a les preuves...

Bozinchu a écrit:

Et il avait annoncé de façon prophétique:" le jour où ca va planter, je diffuse la photo pour donner l'identité des coupables..."

Bozinchu a écrit:

je peux affirmer que les collègues ont tout donné pour faire de leur mieux..
Que la DAF A3 a fait son maximum pour le bien être des collègues...

Mais le prestataire n'a pas suivi

Tu m'étonnes...
Une fois le marché attribué, vu l'identité du prestataire, la volonté réelle du Ministère (au-dessus de la DAF...) d'obliger ledit prestataire à adapter son produit, pourquoi serait-on surpris d'en arriver au point où nous en sommes ?

néthou a écrit:

Tu m'étonnes...
Une fois le marché attribué, vu l'identité du prestataire, la volonté réelle du Ministère (au-dessus de la DAF...) d'obliger ledit prestataire à adapter son produit, pourquoi serait-on surpris d'en arriver au point où nous en sommes ?

C'est ça qui est le plus étonnant et plus frustrant. Cela se voit comme le nez au milieu de la figure et tout le monde fait comme si tout était normal.

Master_of_nuggets a écrit:

 les codes article pour faire un EJ ne sont pas pratiques pour des EPLE (un article "denrées alimentaires" serait plus simple plutôt que toutes ces différentes catégories d'aliments)....

Si vous n'aviez qu'un article "denrées alimentaires" vous seriez dans l'obligation légale de faire un marché avec passage au BOAMP du que votre ligne dépasserait les 90 000 € HT et une procédure formalisée dès lors que votre 6011 serait supérieur à 221 000 € HT, ce qui est le cas de nombreux EPLE. A défaut ce serait une faute lourde, voir un délit de favoritisme.

Feudart a écrit:

Bozinchu a écrit:

ça c'est plus compliqué pour répondre , j'ai bien fait partie de la commission d'audition, mais après, une fois que nous avions donné un avis, ce sont les hautes instances qui ont décidé, et je ne connais pas le critères retenus...

Il est évident que le nœud du problème se situe ici.

Les hautes instances, qui c'est ? Qui sont ces gens ?

C'est censé être un marché public. Un marché public doit être transparent. On devrait avoir accès à ces informations. Les gens qui ont pris cette décision devraient être contraint de se justifier, et si leurs explications ne sont pas satisfaisantes, ils devraient être sévèrement punis. Il faudrait une enquête sérieuse à ce sujet. Même Bozinchu, qui pourtant faisait partie des commissions et des groupes de travail, n'en sait finalement pas beaucoup. Ce n'est absolument pas normal.

Qui décide ?
La Commission d'Appel d'Offre du ministère tout simplement, comme pour tout marché formalisé je suppose.
Mais je ne suis pas certain. Faut que je vérifie... ou que quelqu'un apporte la réponse sur une CAO pour les ministères ou pas.

travaillant dans un Greta et étant sous op@le depuis 4 mois je peux vous dire que personne ne sait comment fonctionne un budget annexe dans ce bidule...et les réponses de l'assistance, mon dieu totalement à coté de la plaque ...sans parler du délai de réponse d'un ou deux mois  ...quoi un Greta ? dans op@le ? vous êtes sur ??? Ecoutez monsieur nous ne savons pas vous répondre on va clôturer votre ticket ça vous va ?

volcan a écrit:

Master_of_nuggets a écrit:

 les codes article pour faire un EJ ne sont pas pratiques pour des EPLE (un article "denrées alimentaires" serait plus simple plutôt que toutes ces différentes catégories d'aliments)....

Si vous n'aviez qu'un article "denrées alimentaires" vous seriez dans l'obligation légale de faire un marché avec passage au BOAMP du que votre ligne dépasserait les 90 000 € HT et une procédure formalisée dès lors que votre 6011 serait supérieur à 221 000 € HT, ce qui est le cas de nombreux EPLE. A défaut ce serait une faute lourde, voir un délit de favoritisme.

Euh, alors je vais invoquer mon ingénuité, étant relativement nouvelle dans le métier : je me basais sur le fait que dans GFC, toutes les références d'achat étaient "denrées alimentaires", sans précision du type de denrées

Master_of_nuggets a écrit:

volcan a écrit:

Master_of_nuggets a écrit:

 les codes article pour faire un EJ ne sont pas pratiques pour des EPLE (un article "denrées alimentaires" serait plus simple plutôt que toutes ces différentes catégories d'aliments)....

Si vous n'aviez qu'un article "denrées alimentaires" vous seriez dans l'obligation légale de faire un marché avec passage au BOAMP du que votre ligne dépasserait les 90 000 € HT et une procédure formalisée dès lors que votre 6011 serait supérieur à 221 000 € HT, ce qui est le cas de nombreux EPLE. A défaut ce serait une faute lourde, voir un délit de favoritisme.

Euh, alors je vais invoquer mon ingénuité, étant relativement nouvelle dans le métier : je me basais sur le fait que dans GFC, toutes les références d'achat étaient "denrées alimentaires", sans précision du type de denrées

Il n'y a pas d'article ni de nomenclature des marchés dans GFC. Il y a bien l'EPCP qui est défini par l'utilisateur et qui normalement détaille diverses catégories de denrées.

volcan a écrit:

Master_of_nuggets a écrit:

volcan a écrit:

Master_of_nuggets a écrit:

 les codes article pour faire un EJ ne sont pas pratiques pour des EPLE (un article "denrées alimentaires" serait plus simple plutôt que toutes ces différentes catégories d'aliments)....

Si vous n'aviez qu'un article "denrées alimentaires" vous seriez dans l'obligation légale de faire un marché avec passage au BOAMP du que votre ligne dépasserait les 90 000 € HT et une procédure formalisée dès lors que votre 6011 serait supérieur à 221 000 € HT, ce qui est le cas de nombreux EPLE. A défaut ce serait une faute lourde, voir un délit de favoritisme.

Euh, alors je vais invoquer mon ingénuité, étant relativement nouvelle dans le métier : je me basais sur le fait que dans GFC, toutes les références d'achat étaient "denrées alimentaires", sans précision du type de denrées

Il n'y a pas d'article ni de nomenclature des marchés dans GFC. Il y a bien l'EPCP qui est défini par l'utilisateur et qui normalement détaille diverses catégories de denrées.

  merci!

C'est vrai, de ce côté Opale permet de faire tourner une cantine sans faire de marché car on dépasse rarement les 40K € par catégorie ...
Edit : je me demande d'ailleurs si les catégories de produits qui relèvent du 601100 sur Opale font référence pour faire plus tard un marché avec lots : par ex.  marché "beurre œufs fromage" et "lait et produits dérivés"  ?

Op@que a écrit:

C'est vrai, de ce côté Opale permet de faire tourner une cantine sans faire de marché car on dépasse rarement les 40K € par catégorie ...
Edit : je me demande d'ailleurs si les catégories de produits qui relèvent du 601100 sur Opale font référence pour faire plus tard un marché avec lots : par ex.  marché "beurre œufs fromage" et "lait et produits dérivés"   ?

Certains considèrent les denrées alimentaires comme  une seule  catégorie homogène et allotissent en diverses catégories plus ou moins nombreuses. Exemple les groupements d'achat.
D'autres divisent les denrées alimentaires en plusieurs catégories homogènes de type : surgelés, épicerie, viandes fraiches.... et font des marchés pour chaque catégorie en allotissant (exemple viandes surgelées, poissons surgelés, légumes....).

SANS COMMENTAIRES: question Assemblée Nationale

Question écrite N°10616 de M. Luc Lamirault


Question N° 10616

de M. Luc Lamirault (Horizons et apparentés - Eure-et-Loir )

Question écrite

Ministère interrogé >  Éducation nationale et jeunesse
Ministère attributaire >  Éducation nationale et jeunesse

Rubrique > enseignement secondaire
Titre > Défaillances du progiciel Opale


Question publiée au JO le : 01/08/2023 page : 7152
Réponse publiée au JO le : 16/01/2024 page : 389
Date de signalement: 12/12/2023

Texte de la question

M. Luc Lamirault attire l'attention de M. le ministre de l'éducation nationale et de la jeunesse sur les dysfonctionnements du progiciel Opale. En effet, Opale est le nouveau progiciel comptable en cours de déploiement de manière exponentielle jusqu'en 2025 dans les EPLE. Présenté comme un outil moderne, d'une grande opérabilité, améliorant le traitement comptable, le constat sur le terrain est tout autre : défaillance technique du progiciel avec des services inopérants, une assistance technique débordée et insuffisante, un paramétrage lourd et des délais de traitement allongés, notamment sur les délais de paiement des factures. Face à cette situation, le personnel se montre très inquiet et désabusé. Il souhaite savoir si des difficultés similaires ont été remontées auprès de ses services et si des actions ont été mises en place pour remédier à ces défaillances.

Texte de la réponse

Initié depuis 2015, le programme MF2 est un projet de Modernisation de la Fonction Financière des 8 000 établissements publics locaux d'enseignement (EPLE) que sont les collèges et lycées publics. Le projet MF2 a pour objectif premier le remplacement sur l'ensemble du territoire national, des deux applications informatiques ministérielles, techniquement et réglementairement obsolètes, en EPLE par deux progiciels de gestion intégrée : OPER@ pour la rémunération et OP@LE pour la gestion financière et comptable.  L'application OP@LE est un levier majeur de transformation de l'organisation des établissements. Elle permet de couvrir toute la chaine d'exécution de la dépense : de la préparation du budget à la finalisation comptable des opérations. Elle améliore le pilotage des EPLE en facilitant l'accès aux informations financières aussi bien pour l'ordonnateur que pour le comptable, sécurise la gestion financière notamment par la gestion des habilitations, permet l'interfaçage avec les applications internes au ministère (bases établissements, élèves…) et les applications externes (Chorus pro, outil DGFiP pour l'envoi des paiements).  OP@LE a pour particularité un fonctionnement totalement dématérialisé et interfacé. Les fonctionnalités d'OP@LE sont très nettement augmentées par rapport à l'application GFC. Chaque entrée d'un établissement sur OP@LE correspond en même temps à l'application de l'instruction codificatrice M9-6 dans sa version de 2020. C'est donc aussi une bascule réglementaire qui s'opère en même temps que l'entrée sur OP@LE. Le passage à ce nouvel outil comporte donc de nombreux enjeux. Il implique des évolutions substantielles et une forte conduite du changement dans les EPLE. Le déploiement a débuté avec des établissements volontaires en 2021 et 2022. Cette phase pilote a permis de stabiliser l'outil, qui couvre maintenant l'ensemble du périmètre fonctionnel attendu. Elle a aussi permis d'améliorer le dispositif d'entrée dans l'outil et l'accompagnement des nouveaux utilisateurs en se fondant sur l'expérience acquise. Le déploiement d'OP@LE dans l'ensemble des établissements se poursuit jusqu'en 2025 en vagues successives, de manière lissée afin de pouvoir accompagner au mieux les nouveaux utilisateurs. Pour assurer la réussite de sa prise en main, l'assistance utilisateurs a été renforcée au cours des derniers mois, notamment en systématisant le tutorat des nouveaux utilisateurs par des utilisateurs plus expérimentés et en renforçant tant le pôle national d'assistance que le réseau R-Conseil en académie. Ce renforcement porte maintenant ses fruits avec des délais de réponse qui diminuent de manière très nette. Tous ces éléments sont relayés régulièrement par les académies auprès des utilisateurs. Le ministère maintient sa vigilance pour assurer le bon déroulement des déploiements et l'accompagnement des utilisateurs dans les mois à venir.

Tout est vrai dans la réponse..
C'est une bonne réponse politique...
Après pour ce qui est de la réalité du terrain

On est même raccord sur la date de 2015 avec le ministre 

Bozinchu a écrit:

C'est une bonne réponse politique...

C'est digne d'une réponse d'un commercial de la société qu'on n'a pas le droit de nommer ou d'un journaliste de la Pravda : cela n'apporte strictement rien.

En 2015 le ministre était : Najat Vallaud-Belkacem.

La décision de retenir le prestataire a t-elle été prise quand elle était en poste, ou postérieurement sous Jean-Michel Blanquer ?

Merci pour cette information TITANIC. Que la question soit portée devant la représentation nationale est une bonne chose. La réponse est effectivement éminemment politique .

Les méchants faits... qui détruisent les belles théories...Marc BLOCH.



Ce qui m'inquiète, c'est : qui va écoper ? qui va rattraper le temps perdu....

Que tout le temps qui passe Ne se rattrape guère Que tout le temps perdu Ne se rattrape, Ne se rattrape, plus ....Barbara.