Hum, pas facile et la réponse va être discutée.
Je donne quand même la mienne qui va se rapprocher de Aloméro.
Je distingue ce qui est aides individuelles ; c'est à dire aide versée par un tiers pour le compte d'une ou plusieurs familles. Dans ce cas je considère que cet argent versé à la place ou pour la famille lui appartient et je rembourse à la famille un excédent. Je précise que cette position vaut lorsqu'un oncle, un voisin, un comité d'entreprise ou un organisme verse pour le compte d'une famille car elle annule une créance ou constitue un excédent pour cette famille. Si la créance a disparue, est trop faible, etc... il appartient le cas échéant à la famille de rembourser le tiers. On notera que dans ce cas le seul OR ayant permis la perception est fait au titre de la famille et aucunement d'un tiers.
Si l'établissement reçoit une aide, un don, une subvention globale, non individualisée, dans ce cas le tiers ne se substitue pas à une famille pour régler une créance. Si l'objet, l'affectation, de l'aide disparait il appartient à l'EPLE de demander au tiers si il souhaite le remboursement (OP) ou si il autorise une nouvelle affectation.
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Ce métier a failli avoir ma peau. Un conseil à ceux qui envisageraient de le faire : fuyez !