Sanction agents

 
qqn a t'il eu l'occasion de faire sanctionner un adl au delà du deuxième groupe (avec exclusion)? Quelle procédure avez vu suivi le cas échéant?
je précise ce sont des vilains
merci

Heu, c'est quoi un ADL ?

Un assistant de langues ?

Winnie a écrit:

Heu, c'est quoi un ADL ?

        M'enfin, tu sais pas ce que c'est qu'un ADL ?!?      Smiley gravos. Respect au boss.   =  Coffeeman !  

Allez les collègues !        

dsl
des agents de la collectivité 

moi j'ai pas droit aux smiley c'est pas juste

M9.6 à donf a écrit:

dsl
des agents de la collectivité 

moi j'ai pas droit aux smiley c'est pas juste

 demande  à la   , elle peut lever ton sort.  .

Bonjour
J'ai eu le cas eu le cas d'un ATR (autre variante) qui a été exclu une journée.....
Que veux tu précisément savoir?

Les procédures sont appliquées avec bcp de précautions mais cela ne va presque jamais au delà du premier groupe et ce malgré la lourdeur des dossiers de certains, je cherche des exemples qui ont permis de dépasser cette étape (fond et forme)

merci Mad Mag

  Donc, maintenant,on va avoir droit à des smiley smiley à chaque début et fin de phrase ? Tu as pensé à consulter ?

oui c'est coffeeman mon psy

Cet agent avait eu, en tant qu'agent encore État deux avertissements...faut dire qu'il cumulait les   
Passé à la Région, on a fait remonter le dossier disciplinaire. A force de faire remonter ses problèmes comportementaux et ses insuffisances professionnelles, il a été convoqué devant un conseil de discipline qui n'a pas eu d'état d'âme. Un jour de suspension, retenue sur salaire. L'établissement a eu le choix de la mise en œuvre de la sanction....c'était le cuisinier on lui a fait accomplir sa sanction un vendredi pour ne pas pénaliser le service.
Si tu veux les courriers disciplinaires et la procédure suivie je peux te la mailer....

Merci je veux bien car l'impunité pose bcp de soucis aux autres agents qui observent depuis des années ce cirque ...

M9.6 à donf a écrit:

Merci je veux bien car l'impunité pose bcp de soucis aux autres agents qui observent depuis des années ce cirque ...

Dans un petit moment....la je suis pas au bural

mad mag a écrit:

Bonjour
J'ai eu un ATR .....

On comprend le pourquoi de madame qui a le temps de répondre au GJQ !!!!    

PS, ça c'est pour les jours où tu ne trouves pas la réponse ??

l'état de mon bahut avant que je mute  

Mad Max a écrit:

mad mag a écrit:

Bonjour
J'ai eu un ATR .....

On comprend le pourquoi de madame qui a le temps de répondre au GJQ !!!!    

PS, ça c'est pour les jours où tu ne trouves pas la réponse ??

Je fais marcher l'économie régionale   

mad mag a écrit:

Mad Max a écrit:

mad mag a écrit:

Bonjour
J'ai eu un ATR .....

Je fais marcher l'économie régionale   

Et t'as vu un peu le look des hélices de cet ATR 600..... trop beau....   

mrci Mad Mag  

J'ai à mon tableau de chasse trois ATTEE contractuels qui ne donnaient pas satisfaction : à ma connaissance, ces personnes ont été invitées à chercher du boulot ailleurs que dans ma CT. Je précise que s'agissant des évaluations en bien, je suis considéré comme trop gentil, pas crédible, talents de l'agent à vérifier dans un autre établissement avant d'envisager de le placer en stage.

Pour les titulaires, on en est toujours à la bonne veille technique dite de la patate chaude. Mais le sort des contractuels ci-dessus évoqués en a malgré tout fait réfléchir plus d'un.

The GJQ serial winneuse a écrit:

c'était le cuisinier on lui a fait accomplir sa sanction un vendredi pour ne pas pénaliser le service.

Pourquoi, dans ton établissement on fait jeûne et pénitence le vendredi ?

Pour des insultes racistes envers des collègues et de la violence en plein service, une collègue (en contrat aidé - ne connaissait pas l'oiseau - a porté plainte à la gendarmerie) + courrier détaillé au chef d'établissement qui a transféré en début d'après midi à la CT. Mise à pied immédiate - le soir même, il a fallu l'appeler pour lui dire de ne pas revenir le lendemain !

puis passage en conseil de discipline (2 à 3 mois plus tard) - dans l'intervalle la gendarmerie a fait une enquête et entendu tous les autres agents qui avaient peur de lui et ne disaient rien. Les langues se sont déliées. y compris dans l'enquête à la CT (je ne sais plus si avant ou pendant le conseil de discipline). Résultat : il a été "viré". A quelques années de la retraite. J'ignore le résultat de la procédure pénale.

Ce cuisinier avait déjà rappelé à l'ordre en interne, et avait déjà un certain passif derrière lui. (caractériel).

L'intendant zonard a écrit:

The GJQ serial winneuse a écrit:

c'était le cuisinier on lui a fait accomplir sa sanction un vendredi pour ne pas pénaliser le service.

Pourquoi, dans ton établissement on fait jeûne et pénitence le vendredi ?

Ben non....   simplement c'était une question de gestion du service restauration...le vendredi étant le jour le moins chargé....  

Bonjour,
j'aurai bien besoin d'un avis, d'un conseil avisé concernant l'attitude à adopter suite à un geste déplacé d'un agent sur un adulte de l'établissement; en même temps je ne souhaite pas être repérée, aussi je vous laisse imaginer...; d'autre part, ce fait m'a été raconté mais pas par la personne concernée; aussi je pensais déjà attendre les faits si possible par écrit; mais je me demandais si en tant que chef de service, je dois m'en mêler, ou s'il faut estimer que des adultes peuvent régler ça tout seul?

Cela fait déjà au moins quatre personnes qui sont au courant de l'évènement, lundi tout l'établissement sera au courant et mardi la personne qui t'a fait cette confidence ira raconter que tu couvres l'agent.

Rien d'ailleurs ne prouve à ce stade la culpabilité de l'agent dont tu dois préserver la présomption d'innocence.

Il est souhaitable, qu'au plus tard lundi matin, tu aies un entretien avec la victime présumée, à toi d'agir en fonction de ce qu'elle te dira.

Idem. Voir la victime potentielle puis l'agent.

Déjà, la première chose à faire, dès la première heure, c'est d'en parler au CE et d'arrêter une position avec lui : c'est suffisamment grave pour que ça remonte jusqu'à lui et qu'il jette toute son autorité dans cette affaire. Ensuite, AMHA, l'entretien avec l'agent doit être préalable à celui avec la victime présumé, ne serait-ce que pour poser les choses. Que ces faits soient avérés ou non, tu ne peux pas ne pas en tenir compte, tout retard à l'allumage sera perçu comme un signe de faiblesse de ta part.

Perso, je verrais plutôt un entretien - avec le CE, bien entendu- immédiatement après avoir vu le CE. Le discours serait : "on nous a rapporté ceci, si cela est vrai, c'est inacceptable, quelle est votre version, nous allons mener une enquête et si les faits sont avérés, nous rédigerons un rapport". Comme ça, cela pose les choses, aussi bien pour l'agent que pour la victime présumée et pour les tiers, et cela peut amener les langues à se délier. Et c'est peut-être aussi ce que la victime présumée attend pour témoigner

L'entretien avec elle et avec le(s) témoin(s) doit, selon moi, intervenir dans un second temps, celui de l'enquête (administrative).  Mais ce n'est que mon avis

Attention au rumeur. Je préférerais d'abord voir la "victime" pour connaitre la teneur des faits...

Vouloir voir la présumée victime au préalable me paraît maladroit : d'abord parce que c'est accorder trop de poids à son témoignage ; elle aussi peut mentir (ça c'est déjà vu). Pis, elle peut nier que les faits se soient déroulés ; dans ce cas là, que fait-on ? on ignore superbement ? Ce serait une erreur... bien mauvais message envoyé à la communauté éducative, qui ne verrait que faiblesse dans l'équipe de direction.

Maladroit également vis-à-vis de l'agent incriminé, que l'on ne recevrait qu'après avoir entendu tous les témoignages à charge contre lui : bien mauvais message en sa direction, il pourrait être amené à s'imaginer que les jeux sont faits sans qu'il ait pu s'expliquer.

Je suis d'accord avec toi, il faut se méfier des rumeurs, raison pour laquelle il faut impérativement s'entourer de moult précautions oratoires au cours de cet entretien, qui permettra à l'agent de s'exprimer librement et duquel ne sortira aucune décision autre que celle de mener une enquête administrative (sauf si l'agent avoue spontanément, bien sûr). Et un message pour tout le monde : des faits de ce type sont inacceptables, et même sans plainte de qui que ce soit, si on en a connaissance, on interviendra. Encore une fois, nous sommes sur des faits d'une gravité qui le permet, et même l'exige.

Mais ce n'est que mon avis

merci pour vos conseils; au départ, je pensais comme vous, sauf que j'avais envisagé entendre d'abord la victime; puis après une nuit de réflexion, je me suis demandé si c'était la bonne solution, vu que je n'ai rien de concret; ensuite, c'est vrai qu'il y a pu avoir mauvaise interprétation ou exagération du geste en question, mais ça, je ne pourrai le savoir qu'après avoir entendu les 2 parties; après je me dis qu'on réagit quand il y a des propos qui ne doivent pas être tenus, alors un geste.. c'est pire! bref, je me suis donné le week end pour réfléchir; les faits sont anciens mais je n'ai pas plus de détail

lyuba a écrit:

les faits sont anciens mais je n'ai pas plus de détail

Alors cela sera difficile...