Bonsoir à tous,
...et non, ce n'est pas une pratique sexuelle à risque, ni même une doctrine de la guerre froide, mais un système commercial dont un prof est venu m'entretenir, et que j'ignorais : cela consiste, pour ceux qui ne connaissent pas, à récupérer à échéance ou montant donnés une somme correspondant à un pourcentage du montant total de ses achats.
Je soumets à votre sagacité la question de savoir si le cash back est compatible avec les règles de la comptabilité publique (une pratique à risque celle-là, et en plus sans sexe), sachant que :
-la restitution de la somme à la fin du processus risque de poser problème (notamment pour les P.J. à l'O.R.).
-ceci n'apporte pas grand-chose de plus par rapport à la remise classique.
-enfin, et c'est peut-être l'intérêt du point de vue du saltimbanque par rapport à la remise, alors que dans celle-ci il ne reçoit pas une somme d'argent (correspondant au montant de la remise), dans celui-là il doit fourguer dans un premier temps les données commerciales contre monnaie sonnante et trébuchante, de laquelle il nous accordera ensuite une miséreuse miette en bout de course... donc non seulement il ne perd rien, mais en plus il gagne plus!
Voilà, avis aux amateurs, réflexions et avis bienvenus...