pouvoir police proviseur

Les emplacements de stationnement dans l'enceinte du lycée sont matérialisés au sol par des bandes blanches.
Toutefois un personnel s'obstine à se garer sur une voie de circulation interne ce qui peut gêner la circulation d'un véhicule de secours, alors que cela a été interdit par le Proviseur (mais actuellement il n'y pas de panneaux d'interdiction apposés).
Le proviseur peut-il faire intervenir un véhicule de fourrière pour faire enlever ce véhicule en vertu de ses pouvoirs de police ?

Merci pour votre ou vos réponses

Le sujet a déjà fait l'objet de plusieurs posts ( ici là et encore là)
sans véritablement de solution

Bon t'es nouveau on te met sur la piste ...mais il y y a la fonction "rechercher"

Il peut surtout faire enlever le véhicule en vertu du fait qu'il est responsable de la sécurité à l'intérieur de l'établissement et qu'à ce titre, il peut prendre toutes les mesures utiles. Le problème, c'est que la fourrière rechigne à se déplacer dans un lieu privé comme l'est un établissement scolaire où les règles du code de la route ne s'appliquent pas de droit.

Pour lutter contre ces crétins, j'ai des panneaux qui précisent que selon le cas, on peut immobiliser, déplacer ou enlever les véhicules contrevenant aux règles internes et on le fait. Certains bahuts avec les outils adéquats déplacent les gêneurs au fenwick et j'ai un jour trouvé le réglement de stationnement d'un hôpital où les véhicules étaient immobilisés au sabot et libérés contre paiement d'une somme votée au CA de l'hosto.

J'exècre cette engeance qui s'imagine qu'elle a tous les droits parce qu'elle pense qu'il n'y aura pas de réaction.

Le proviseur ne peut-il prendre son professeur dans son bureau pour lui faire une explication de texte ? Je rappelle que le stationnement à l'intérieur est une tolérance, pas un droit.

pascal a écrit:

Toutefois un personnel s'obstine à se garer sur une voie de circulation interne ce qui peut gêner la circulation d'un véhicule de secours, alors que cela a été interdit par le Proviseur (mais actuellement il n'y pas de panneaux d'interdiction apposés).

Un sabot, c'est moins contraignant et oblige le délinquant à passer dans le bureau du chef.
Et ce jour là, bien faire trainer le dégagement du véhicule, histoire qu'il comprenne bien que c'est exprès pour l'ennuyer.

Un autre méthode, c'est le stationnement d'un véhicule complice de façon à ce qu'il ne puisse pas se dégager facilement.

Vieil intendant a écrit:

Le proviseur ne peut-il prendre son professeur dans son bureau pour lui faire une explication de texte ? Je rappelle que le stationnement à l'intérieur est une tolérance, pas un droit.

C'est la solution

J-M a écrit:

Un autre méthode, c'est le stationnement d'un véhicule complice de façon à ce qu'il ne puisse pas se dégager facilement.

Ca c'est une solution efficace et pas chère. En tant que gestionnaire près de mes sous, j'approuve !

polaire a écrit:

En tant que gestionnaire près de mes sous, j'approuve !

Pléonasme, dirait Barbule !

J-M a écrit:

Un autre méthode, c'est le stationnement d'un véhicule complice de façon à ce qu'il ne puisse pas se dégager facilement.

sauf si sa voiture est une véritable caisse et celle du complice une voiture en ZZ-000-ZZ !

Proposer à la section d'arts plastiques et ferronnerie à froid de transformer ledit véhicule en 1% culturel... Bon ceci dit le problème de l'encombrement de la voie n'est pas pour autant réglé.
Autre proposition, faire appel à la section sport étude rugby pour un entraînement à la mêlée ou bien à celle de karaté pour un entraînement intensif de résistance des matériaux.

Participation du propriétaire de l'automobile
à l'étude de la qualité des pommes de terre,
à l'insu de son plein gré.

Lui boucher le pot d'échappement avec.

Et attendre.
Caméra cachée prévue
Quelques complices parmi la cuisine,
si possible un mécano avec qui
au choix et/ou successivement
ce sera
- le délco
- le carbu
- l'électronique
- le démarreur


Spectacle, animation, distraction.
Prévoir montage ensuite par les costauds des TIC
Tout le monde sera content et le ridicule ne tuera pas l'impoli.


Bref

Dans ce genre d'idée, je préfère le maquereau dans le pot d'échappement.

Mais, là on est dans la dégradation volontaire du bien d'autrui. C'est mal.