Témoignages attaché dans l'enseignement supérieur

Bonjour,

J'ai rendez-vous lundi avec le SG d'une université suite au voeux formulés dans ma demande de mutation ( passage obligé depuis la loi LRU).

Ne connaissant pas trop le milieu (je travaille actuellement en eple), les personnes qui y ont déjà évolué pourraient-elles me décrire les fonctions de repsonsable administratif ou de scolarité ainsi que les différences avec le travail en eple ( relations hiérarchiques, formalisme...).

Merci d'avance pour votre aide.

je pense que ça dépend beaucoup du service où tu tombes : bureau des conseils, bureau des élus/élections, service su SG, DAG, service juridique, vie étudiante, etc.

plus tu es près du soleil (roi soleil === président, surtout depuis loi LRU) plus tu risques de te brûler les ailes ... du coup ça sera pas un rapport très différent de celui que tu peux avoir / CE .....
Quant aux rapports / enseignants chercheurs ... c'est pas vraiment mieux qu'avec les profs d'EPLE vu qu'ils ont les chevilles encore plus enflées ....

Effectivement l'intérêt et la charge de travail dépendra beaucoup du service où tu seras affectés. Quelques services avec de gros coups de bourre cycliques mais tranquille reste du temps (scolarité par ex.), d'autres avec pas mal de boulot peu gratifiant mais très formateur (DRH) et quelques uns qui se rapprochent de certains aspects de notre taf (service financier ou agence comptable).
L'inconvénient est que tout est très sectorisé et trés hiérarchisé, avec beaucoup de conflits d'égos inhérents. Il faut savoir ménager machin ou bidule parceque proche de la présidence, faire gaffe à celui là qui veut tout saboter ou encore ce collègue qui tire toujours la couverture à lui...
Tout ça dans une ambiance de grand détournement des règles et principes du droit public, puisque la grande autonomie présupposée des facs fait croire à nos chers enseignants-chercheurs qu'ils ont tous les droits.
Tout ceci n'est qu'un vécu personnel peut-être pas généralisable, même si les mêmes echos reviennent souvent d'autres facs.
Pour ma part, et en dépit de la charge de travail que l'on peut avoir en EPLE, la réelle autonomie dont on dispose dans l'exercice de nos tâches font que je ne regrette absolument pas le cloisonnement et le poids hiérarchique de l'enseignement supérieur.

A la rentrée dernière, j'ai fait, après 7 ans d'intendance, le "grand saut" EPLE vers le supérieur en intégrant une importante université provinciale. Mutation demandée sur un poste administratif pour me rapprocher de mon domicile (obtenir un établissement là où je le souhaitais s'avérant quasi impossible, vu le peu de mouvement). De toute façon j'aurais été obligé de muter cette année car j'ai eu mon principalat. Après 7 mois d'exercice je ne regrette pas cette nouvelle affectation. J'ai été nommé responsable administratif d'une UFR (appelée aussi faculté). Cela ressemble à un peu à un poste de GM, mais avec moins de finance (mais tout dépend de l'organisation de la composante) car nous sommes rattachés à un bureau financier. En revanche beaucoup de nouvelles tâches liées à la pédagogie (maquettes de diplômes, heures complémentaires des enseignants, mobilité des étudiants...) et de nombreuses réunions à la Présidence, à quoi s'ajoutent des journées de formation aux nouveaux logiciels que l'on est appelé à manipuler chaque jour, + tous les changements induits par l'application de la loi LRU. Bref pas de quoi s'ennuyer. Mais c'est enrichissant.
Bonne chance pour ta future affectation.

Merci pour tout ces témoignages...

emmylya a écrit:

Merci pour tout ces témoignages...

Vous pourrez en lire d'autres - nombreux et fort intéressants - ici :

Poste d'attaché en université

Bonjour à tous,

J'ai passé mon entretien hier avec le Sg de l'université concernée. très agréable d'ailleurs. L'obtention du poste semble cependant compromise! Des personnes que le Sg connaît et avec qui il a déjà travaillé sont presenties car ils ont une expérience dans l'enseignement supérieur (au moins il a été honnête), et en outre il y a beaucoup de candidats et moi j'ai très peu de points...

C'est dommage le poste m'aurait bien plu...

emmylya a écrit:

Bonjour à tous,

J'ai passé mon entretien hier avec le Sg de l'université concernée. très agréable d'ailleurs. L'obtention du poste semble cependant compromise! Des personnes que le Sg connaît et avec qui il a déjà travaillé sont presenties car ils ont une expérience dans l'enseignement supérieur (au moins il a été honnête), et en outre il y a beaucoup de candidats et moi j'ai très peu de points...

C'est dommage le poste m'aurait bien plu...

voilà bien le problème avec les postes à profil (PRP ou PAC) : notre système actuel reposant essentiellement sur la carrière et non l'emploi, les universités (qui ont, et auront de plus en plus, largement recours aux postes à profil) préfèrent recruter (on les comprend) des gens soit qu'ils connaissent déjà soit qui ont déjà une expérience dans l'enseignement supérieur; bref, les états majors d'universités se comportent comme n'importe quelle chef d'entreprise.
personnellement, ça ne me génerait pas (moi aussi, je suis un recalé d'un entretien pour un PRP, mais tant pis, la vie continue) si on n'atteignait pas ici les limites du système actuel: soit on reste dans l'ancien système (barême, blablabla) soit on bascule dans le recrutement sur profil exclusivement (ce qui révolutionne les règles en vigueur dans la fonction publique de l'Etat).
Pour moi, l'ancien système est épouvantable; le seul recrutement sur profil nécessiterait de gros efforts de GRH et ça dans la FPE en général et au MEN en particulier, ça va prendre beaucoup de temps avant qu'on sache faire.
Un peu d'optimisme dans cette situation? oui, faire autre chose...ou essayer de rejoindre la FPT.

Ce que tu décris est peut-être la tendance générale, mais je connais un contre exemple : un attaché pas connu du SG de l'université et sans aucune expérience de l'enseignement supérieur, et qui vient d'être recruté en passant devant 4 autres candidats dont un ancien de l'université en question.
On peut donc toujours y croire.

Je pense que, si ton profil ne les avait pas intéressés un minimum, ils ne t'auraient pas fait déplacer, sauf à être mesquins. Dans la circulaire sur le mouvement, il est bien précisé que les universités peuvent ne pas classer certaines candidatures et dans ces conditions, s'ils ont quelqu'un en vue, c'est très facile de le classer numéro 1 et de ne pas classer les autres. Et puis si c'est vrai qu'il y a des magouilleurs dans les universités, il y a toujours des gens honnêtes aussi:D

Gérant les personnels ITRF, je travaille en liens constants avec les universités et je parle tous les jours avec leurs responsables des personnels IATOSS, voire les DRH ou SG. Et quand on leur parle de postes à profil ou des possibilités données par la loi LRU, je les trouve plus interrogatifs qu'autre chose quant à la marche à suivre.

J'ai candidaté sur deux PRP, que je n'ai pas eus. Mais ma candidature a été retenue pour entretien et ils m'ont expliqué qu'ils en auditionnaient sept sur douze. Je ne pense pas qu'ils m'auraient fait venir de Paris s'ils avaient déjà quelqu'un en vue.

Etant pris dans l'académie de Toulouse, je cherche maintenant des postes administratifs en services académiques, EPNA ou universités. Là, les établissements d'enseignement supérieur auxquels j'ai demandé si des postes se libèreraient m'ont dit qu'il y avait des susceptibles mais qu'ils ne savaient pas vraiment comment ça fonctionnait avec les nouvelles dispositions, vu que, ne sachant pas si ça va se libérer ou non, ils ne peuvent pas les profiler. Le rectorat m'a conseillé quand même de leur envoyer des fiches de candidatures, afin de contourner les dispositions de la loi LRU permettant au président de l'université de retoquer quelqu'un même si c'est le rectorat qui l'affecte.

Bref, tout ça n'est pas encore très clair, mais je ne pense pas que ces nouvelles règles ne soient que la porte ouverte au clientélisme. Et puis l'ancien système fondé exclusivement sur le barème n'est pas parfait non plus...

J'ai travaillé dans le supérieur pendant 7 ans: en tant que'adjoint puis SASU. J'étais sur Paris. Si j'avais voulu rester sur Paris, je serais passée ITARF (j'y aurais gagné au plan financier); mais je voulais bouger, je suis donc restée ASU. Je connais par coeur ce qui se trame dans le supérieur (d'autant que j'étais aux ressources humaines): on s'arrange pour garder untel ou encore pour nommer un autre par le biais des ressources propres; d'abord contaractuel ressources propres, puis présentation au concours itrf...

Bonjour,

Ayant passé quelques années dans le Supérieur et venant de retrouver la GM, je confirme tous les "beaux" aspects que viennent de décrire mes collègues, mais je vais (hélas !) ajouter ma pierre : les mouvements internes dans les EPCSCP sont toujours effectués AVANT les mouvements externes.

Premier point : Quand on vient de l'extérieur, bah on récupère les postes dont personnes ne voulaient en Interne (postes en scolarité avec des fins de service à 20H00 le soir, postes en Présidence avec une pression énorme...). Le pire, c'est que si vous vous montrez performant, hé ben on ne voudra pas vous laisser partir du poste dont vous avez malheureusement hérité (ou alors il faudra attendre qu'un autre externe vous récupère le poste et qu'on finisse par vous laisser partir pour services rendus).

Deuxième point : Le mode de fonctionnement d'un EPCSCP est très (comment dire...) particulier, et avec la loi SRU c'est encore pire d'après les échos que je peux avoir... Je n'en dis pas plus, vous le découvrirez bien par vous-même...

En résumé, je vous souhaite bien du courage... Tout n'est pas négatif, mais c'est un mode de fonctionnement et de gestion auquel il faut vraiment s'adapter (moi je n'ai jamais pu...). Et puis si on estime que les Principautés du Moyen Age sont redevenues à la mode...

Pour le mouvement interne, ce n'est pas toujours le cas. J'ai bossé un an en université, et le mouvement interne s'était fait en juin, après les résultats des mouvements inter et intra-académique. Et pour celles que j'ai contactées (tous les établissements d'enseignement supérieur toulousains, en fait!), c'est le même topo. Par contre, l'affectation d'un nouveau est pour le 1er septembre, donc effectivement, il a les postes qui restent à la suite du mouvement interne. Mais ce n'est pas propre au supérieur, c'est la même chose dans les recorats et IA aussi.

Sinon, sur le mode de fonctionnement des universités, je suis quand même à peu près d'accord: beaucoup de magouilles, de copinages, et c'est vrai que ça s'apparente à du féodalisme. Mais il y a quand même plein de choses intéressantes à y faire... Et je dis ça alors que l'expérience que j'en ai est négative: ça se passait mal avec ma chef de l'époque, et j'ai eu droit à une reconduction de stage. Je dois dire que ça m'a bien dégoûté pour longtemps. Mais maintenant, j'ai pas mal de recul par rapport à tout ça et je suis prêt à replonger!

je n'ai pas été, comme je l'expliquais plus haut, retenu dans le supérieur (PRP).

A la lecture des témoignages de ceux qui ont exercé dans le supérieur, ce que je soupçonnais, hélas, se confirme : tout ce petit monde tourne en vase clos à coup de renvoi d'ascenseur et de copinage.

la nature humaine étant ce qu'elle est (énervantes ces formules qui veulent tout dire et rien dire, non?), voilà au moins un défaut à la méthode consistant à choisir ses collaborateurs.

Je l'ai déjà écrit : pas de demi-mesure pour la fonction publique de l'Etat dans les années à venir; ou bien on bascule intégralement dans le profilage des postes ou on revient intégralement au système du barême...

malcolm a écrit:

Je l'ai déjà écrit : pas de demi-mesure pour la fonction publique de l'Etat dans les années à venir; ou bien on bascule intégralement dans le profilage des postes ou on revient intégralement au système du barême...

Ce n'est que mon avis, mais je te trouve très "optimiste" : on ne revient jamais sur un mouvement de fond, et notre bien-aimé Président nous a bien dans le collimateur. Poser la question du profilage ou du retour au barême est un faux problème, c'est surtout la fin de notre statut à plus ou moins long terme qui nous attend, et il faudra se battre contre ça...

Entre parenthèse, il faudra que l'on m'explique comment cet Etat continue à voir se creuser son déficit public alors même qu'il s'est littéralement débarassé des TOS, des DDE, et qu'il taille dans les effectifs de ceux qui restent... C'est sûr que ce n'est pas en filant des primes à tout va aux membres du MINEFI et en augmentant son salaire de 170 % qu'on va stopper l'hémoragie... Vous savez ce qu'on dit : "Faites ce que je dis, pas ce que je fais" et je ferme la parenthèse...

lors d'un entretien de recrutement sur un PRP avec le président de l'université doit-on dire "Monsieur le Président" ?
quels sont les usages ? merci de répondre à la novice que je suis ...

concernant l'enseignement supérieur et les nominations d'attaché est il encore possible d'être nommé à l'issu du concours malgré la LRU ou c'est vraiment le président qui a les pleins pouvoirs ???

Bonsoir

Juste un petit témoignage personnel. Après 11 ans en EPLE, je viens d'être recrutée sur un PRP dans un IUFM (comme responsable des Ressources humaines et des services) parmi 15 candidats, alors que je ne me faisais aucune illusion au départ, n'ayant aucune expérience du supérieur et venant qui plus est d'une autre académie... Le choix s'est fait je pense sur le profil... Donc pas de découragement, tout est possible !!!

syxa a écrit:

Bonsoir

Juste un petit témoignage personnel. Après 11 ans en EPLE, je viens d'être recrutée sur un PRP dans un IUFM (comme responsable des Ressources humaines et des services) parmi 15 candidats, alors que je ne me faisais aucune illusion au départ, n'ayant aucune expérience du supérieur et venant qui plus est d'une autre académie... Le choix s'est fait je pense sur le profil... Donc pas de découragement, tout est possible !!!

si j'ai bien compris on peut postuler sur un poste à profil sur une autre académie sans passer par le mouvement inter académique
ce qui m'arrangerait en cas du nomination pas top comme attaché au 1 er sept

[quote="Roswell"]

malcolm a écrit:

Entre parenthèse, il faudra que l'on m'explique comment cet Etat continue à voir se creuser son déficit public alors même qu'il s'est littéralement débarassé des TOS, des DDE, et qu'il taille dans les effectifs de ceux qui restent... ...

Parce que le transfert des TOS et autres services de l'état aux collectivités n'a pas annulé le transfert des ressources. Elles sont inscrites dans le budget et font donc partie du déficit public. Certes ces ressources sont insuffisantes, d'ailleurs les collectivités protestent car le transfert est incomplet en ce qui concerne notamment le RMI. De plus, l'état dans ce transfert ne tient pas compte de l'inflation, ce qui fait que dans quelques années une partie du poids de la dette sera effectivement transférée aux collectivités

A votre avis à l'issu du concours ADAENES est il envisageable que l'on soit nommé par le ministère sur un poste à responsabilité particulière au sein d'une université ou grace ou à cause de la LRU est ce impossible ???

Plus que la loi LRU, les suppressions de postes en rectorat risquent de rendre difficile une première nomination en université mais c'est tjrs possible.

je viens de consulter les postes ITRF ouverts au concours 2008 (int et ext) et bien ce que l'on peut en dire c'est que même les missions administratives type RH ou service financier ou responsable de composante sont proposés aux ingénieurs d'études (équivalent attaché) et ingénieurs de recherche (équivalent CASU).

sale temps pour l'ASU en université. il sera de + en + compliqué d'y entrer ! La LRU n'a fait qu'amplifier le phénomène.

aussi, les présidents d'université ont désormais les coudées franches pour recruter des contractuels de niveau A. ça plus les ITRF, cela fait beaucoup...

une page se tourne.

Certes.
Mais on peut aussi montrer de quoi on est capable et emporter le morceau. L'ASU n'est pas morte, quand même

moi qui avais envie de refaire un pti séjour ds l'enseignement supérieur avec mon concours d'ADAENES, je crois que c'est effectivement de plus en plus dur d'y aller

bonjour univ74
je suis content de savoir que tu as pu reussir concours adaenes, j me souviens de toi qd tu as echoué a l ira l'an dernier
tu vois, avec de la motivation, on y arrive
biz

LRU a écrit:

je viens de consulter les postes ITRF ouverts au concours 2008 (int et ext) et bien ce que l'on peut en dire c'est que même les missions administratives type RH ou service financier ou responsable de composante sont proposés aux ingénieurs d'études (équivalent attaché) et ingénieurs de recherche (équivalent CASU).

sale temps pour l'ASU en université. il sera de + en + compliqué d'y entrer ! La LRU n'a fait qu'amplifier le phénomène.

aussi, les présidents d'université ont désormais les coudées franches pour recruter des contractuels de niveau A. ça plus les ITRF, cela fait beaucoup...

une page se tourne.

Dans les universités parisiennes, il y a 7 ans de cela déjà on proposait aux personnels de l'asu de passer itarf. Si j'ai refusé, c'est pour pouvoir muter plus facilement; sinon, j'aurais peut-être hésité (mieux payé, restant dans mon poste...mais aussi à la merci de mon chef de service).
Dans un grand établissement où j'ai travaillé il y a de cela 10 ans au service du personnel et à l'organisation des personnels itarf, je peux dire qu'il s'agissait plus de recrutement que de concours pour une grande partie.

bonjour à tous,
pour répondre à univ74, je suis issue du concours adaenes interne de cette année et je suis affectée en université.
Un certain nombre de possibilités s'offrent à moi en matière de fonctions, toutes aussi intéressantes les unes que les autres (j' ai déjà été affectée en sup et j'en connais le fonctionnement).
Voilà, je saurai dès le 1er septembre ce que je vais faire exactement mais cela ne m'inquiète pas outre mesure.
A bientôt

bonjour à tous,
un nouveau message pour vous dire que j'ai, suite à ma réussite au concours d'adaenes, été affectée dans le supérieur. Je suis, depuis le 1er septembre, responsable administrative d'une composante et j'en suis ravie.
Les fonctions sont très diversifiées : budget, DBM, maquettes de diplômes, préparation des journées de pré-rentrée pour les "1ère année de licence", encadrement de personnel, organisation du séminaire de rentrée en bord de mer,...
Pour avoir connu le 2nd degré, un GRETA, un rectorat puis le supérieur en tant que SASU, je peux vous dire que je suis enchantée d'être restée dans le supérieur après mon concours (je l'avais d'ailleurs demandé) car il y règne une grande autonomie (et pas seulement depuis la loi LRU) et la possibilité d'aborder énormément de fonctions, toutes aussi intéressantes les unes que les autres. Je vous rassure, tout n'est pas rose. On y rencontre aussi des gens mesquins et méprisants, des collègues qui adorent donner leur boulot aux autres,... Tout ça n'est pas lié au lieu d'exercice mais à la nature humaine ..
Voilà, je trouvais important de poster ce message afin de faire naitre des vocations pour le supérieur !??
A bientôt

Merci pour votre témoignage.

Et félicitations. Ne serait-il pas temps de changer de pseudo ? Comme enfinadmise par exemple.