bori .
Nombre de messages : 46 Localisation : au bord de l'océan Date d'inscription : 21/03/2007
| Sujet: réforme FPE Ven 21 Mar 2008 - 16:55 | |
| je mets à votre connaissance le communiqué de presse du gouvernement en date du 18 mars et le document qui va avec concernant la réforme de la fonction publique d'état. l'article 7 est particuliérement intéressant pour l'avenir du statut du fonctionnaire: http://www.budget.gouv.fr/depose/tab.pdf | |
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bori .
Nombre de messages : 46 Localisation : au bord de l'océan Date d'inscription : 21/03/2007
| Sujet: Re: réforme FPE Ven 21 Mar 2008 - 17:03 | |
| A ajouter un article du monde. Profitez bien des derniers moments de quiétude du statut de fonctionnaire. http://www.lemonde.fr/politique/article/2008/03/19/le-projet-de-loi-sur-la-mobilite-dans-la-fonction-publique-valide-sans-le-soutien-des-syndicats_1025224_823448.html | |
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Invité Invité
| Sujet: Re: réforme FPE Ven 21 Mar 2008 - 17:06 | |
| Je l'aime bien ce projet. Allez-y vous pouvez tirer. |
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Tétard **
Nombre de messages : 955 Date d'inscription : 11/02/2007
| Sujet: Re: réforme FPE Ven 21 Mar 2008 - 17:27 | |
| - Citation :
- La période maximale de deux ans pour proposer une réaffectation est supprimée, mais une "mise en disponibilité d'office" est prévue si l'agent a refusé "successivement trois emplois". Dans un second amendement, sur le cumul d'emplois à temps non complet, le gouvernement précise que "la combinaison des emplois doit comprendre un emploi à mi-temps au moins et ne peut excéder un temps plein". Il explicite enfin le recours à l'intérim.
Je ne vais pas m'exciter une nouvelle fois contre Jean-Mic (qui, non sans ironie je présume, fait mine de se poser en victime, alors qu'il est dans le sens du vent dominant), seulement j'observe que toutes ces mesures ressemblent bigrement aux dispositifs d'accompagnement, de réinsertion, de retour à l'emploi ou d'éviction (des indemnisations) des chômeurs. La précarité devient un état généralisé (au sens où l'état de guerre n'est pas la guerre permanente). Il est amusant de noter que, de façon générale (en France), les plus risquophiles (riscophiles ?) sont justement ceux qui courent le moins de risques (de par leur position sociale, leur profession, leurs réseaux etc...). Et inversement des risquophobes. Les choses sont décidément mal faites | |
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