Dans c e cas je demande à l'ER un certificat administratif signé de l'ordonnateur expliquant le bouzin et attestant du service fait (date de la livraison effective).

Je bataille sur des , en vain. Mais toutes ces petites s'accumulent, s'accumulent... comme les ruisseaux font les rivières.

Finalement je crois bien qu'on va parvenir à automatiser tout cela, être une chambre d'enregistrement ce n'est pas très intéressant. Il faut être souple mais dans ce cas là pourquoi encadrer ? pourquoi demander à quelqu'un de s'abstraire des règles et contourner, louvoyer... jamais je n'ai senti une telle régression. Les demandes sont simples, justifiées, textes à l'appui mais non c'est toujours trop...Si c'est le futur boulot alors oui vivement une taylorisation des tâches pleinement assumée, avec validation automatique des paiements.

j'ai le problème avec une colporteuse en bouquins pour les écoles. Elle fait des bons de commande à la paluche et se fait livrer la marchandise qui revient ensuite chez nous, histoire qu'elle revoit la prof-doc, etc. etc. Je fais un certificat administratif expliquant la situation et surtout le fait que l'ordonnateur peut certifier du service fait, mais comme toi, ça me gave...

Dans cette situation, que dit le bon de commande signé par l'ordonnateur ?
De ce dernier découle la solution : 
- Indication du lieu de livraison dans l'EPLE, le service n'est pas fait.
- Absence d'indication, le service est fait