Revue intendance - via terroirs

Suis-je le seul "surpris" de voir un site commercial faire de la promo plus ou moins déguisée pour ses services dans un article de cette revue, sans que ce ne soit très visible (une mention : "alimentation locale : la vision de via terroirs"). ? Ils suggèrent au passage de faire appel à de multiples fournisseurs pour éviter les soucis de mise en concurrence.

Tu n'es pas le seul, non.

Pareil, j'ai cherché en vain la mention "publireportage"

Je viens de lire l'article et j'avoue être scotché!....

Apparemment ça n'a pas choqué grand monde...

Patagonia a écrit:

Aparemment ça n'a pas choqué grand monde...

Déjà il faut que l'article ait été lu. Ensuite j'avoue avoir été moi aussi "surpris" et j'ai retransmis vos réactions à l'AJI.

Patagonia a écrit:

Apparemment ça n'a pas choqué grand monde...

Si si. Moi aussi j'ai été surpris. Mais je n'ai pas pensé venir le dire ici.

Bon si je le dis ici c'est pas pour le plaisir de venir râler. 
Je pense qu'il est nécessaire de mettre en garde ceux qui ne sont pas forcément très clair avec la réglementation et qui voient en cette revue, une aide qu'ils considèrent comme fiable (ce qui est d'ailleurs mon cas).

Idem surpris très négativement.

Par contre j'ai adoré l'article complet et pédagogique sur les frais de déplacement  !

L'auteur un certain Bernard Blanc ne dit pas trop de bêtises ... enfin pour un petit jeune qui débute

Dans mon académie (dont je ne reçois quasiment aucun mail sauf pour des candidature Opale), je dirai même que cette revue et la visite régulière à intendance03 sont les seuls vecteurs pour se tenir informé facilement des évolutions du métier. Un grand merci aux collègues qui s'investissent dans ces articles.

Pour tout ce qui est alimentaire, faut quand même reconnaître que le "mélange des genres" existe dans la revue de l'AJI depuis longtemps.
C'est un peu plus embêtant avec cet article parce qu'il peut induire en erreur sur le plan de la règlementation du Code des Marchés (même s'il la rappelle).
Je suis par contre plus réservé, question mélange des genres, par l'article "AJI et ARSEG parlent métier au Lycée Louis Le Grand". En tant que gestionnaire de service public, j'ai du mal à comprendre la communauté d'intérêt avec le "D.E.T., expert en services généraux multi-sites de chez Carrefour", venu expliciter son métier. Surtout après une première conférence portant sur la nocivité de produits courants -alimentaires ou non- comme on en trouve à foison dans toute grande surface classique...

Surprise aussi par cet article qui dit quand même quelques bêtises sur le fond.
Et en plus, il est bourré de fautes !

néthou a écrit:

Pour tout ce qui est alimentaire, faut quand même reconnaître que le "mélange des genres" existe dans la revue de l'AJI depuis longtemps.
C'est un peu plus embêtant avec cet article parce qu'il peut induire en erreur sur le plan de la règlementation du Code des Marchés (même s'il la rappelle).
Je suis par contre plus réservé, question mélange des genres, par l'article "AJI et ARSEG parlent métier au Lycée Louis Le Grand". En tant que gestionnaire de service public, j'ai du mal à comprendre la communauté d'intérêt avec le "D.E.T., expert en services généraux multi-sites de chez Carrefour", venu expliciter son métier. Surtout après une première conférence portant sur la nocivité de produits courants -alimentaires ou non- comme on en trouve à foison dans toute grande surface classique...  

Ce n'est rien de plus ni moins qu'une introduction à nos futures fonctions.
Regarder les entreprises privées type Sode***, AP*, conquérir les établissements scolaires sous couvert d'économies d'échelle des collectivités qui doivent réduire leurs dépenses à cause des coupes budgétaires de l'Etat.
Le tout pour un service public national, comme l'impression que le chat se mord la queue.

Nouveau numéro, nouveau chapitre : après un communiqué en page 7 indiquant qu'il s'agissait bien d'une erreur (pas grave, c'est humain), on trouve cette fois deux pubs intempestives en bas des pages 13 et 15. C'est trompeur et comme je comprends vite mais qu'on doit m'expliquer longtemps, j'ai cherché un moment le rapport entre l'article que je lisais et ces deux encarts. Réflexion faite... bah y'en a pas. On attend le prochain communiqué ?

De mon côté j'ai apprécié le communiqué et je n'ai pas relevé les pubs en fin de page. Je t'accorde que la mise en page aurait pu séparer un peu plus la fin de l'article de la pub, dans les deux cas, pour gagner en lisibilité, mais je n'attends pas un communiqué pour cette raison.
En revanche je me demande si les collègues qui ont abordé récemment les voyages en parlant de séparer les voyages par catégories de prestations (ici) ou en demandant ce qui fondait la préconisation de recours à une agence de voyages (là) n'avaient pas lu l'article page 48 avant de poser leurs questions.

Oui, moi-aussi j'ai été très surpris de cet article sur les voyages.
Surtout qu'il y est clairement recommandé d'avoir recours à un voyagiste.
Je veux bien qu'un collègue qui peut organiser un seul voyage par an, ne dépassant pas le seuil des 25000, puisse envisager la chose autrement.
Mais quand tu en as 2 ou 3, le seuil est quasi systématiquement atteint.
Avec appel à un voyagiste et coût actuel des voyages, la question est vite réglée: MAPA d'office.

A noter en fin de numéro un article sur le devenir du métier qui devrait faire phosphorer dans les chaumières...

moi ce qui m'a choqué c'est en page 48 "il faut également se rappeler que les enseignants organisent des voyages scolaires le plus souvent en dehors de leur travail et qu'ils le font bénévolement"
sans faire de l'anti prof primaire, j'ai jamais eu affaire à ce genre de prof moi...

C'est difficile de caser un voyage en Espagne sur 18h.

RETU a écrit:

C'est difficile de caser un voyage en Espagne sur 18h.

en effet...
heureusement que l'on ne doit pas se baser sur ce critère unique d'heures en présence d'élèves pour considérer si un prof travaille ou pas quand il prépare un voyage...
je pensais surtout aux petits arrangements entre amis avec heures sup voire autres pour récompenser l'investissement extraordinaire que cela demande...
j'ai jamais connu, je le répète, dans ce domaine du moins, de "bénévolat" désinterressé...