Bonjour,
Le problème là, c'est la définition du besoin.
(Pour ma part, lorsque j'exerçais EN TANT QUE GESTIONNAIRE, soit jusqu'à la fin de l'année scolaire dernière (je suis maintenant responsable des marchés d'un EPST), j'exigeais des enseignants et du CE la communication d'un programme détaillé et écrit.
Si le marché a déjà été lancé et qu'il est clos, alors,
- soit vous le déclarez infructueux (sauf s'il y a déjà eu notification au prestataire retenu), et vous en relancez un autre avec les nouvelles modalités demandées. Cela a pour effet de repousser les délais et donc, concernant un hébergement de voyage il y a un risque de ne plus avoir la disponibilité attendue, mais c'est tant pis pour l'enseignant porteur du projet : le besoin aurait du être correctement défini
- Soit, tout est déjà notifié, et dans ce cas il n'y a plus rien à faire et à bouger.
Pour le reste, il y a une réelle modification de l'économie du marché ; la rédaction d'un éventuel avenant ne peut excéder 5% de la valeur du marché initialement conclut.
Pour le reste, il y a des risques de recours du côté des prestataires qui estimeront ne pas avoir eu un égal accès à la commande publique ; l'autre risque est du côté d'un éventuel contrôle : il y a eu "saucissonnage" du marché et c'est répréhensible.
Les enseignants sont quand même "emmer..." de ce côté là car ils ont tous tendance à vouloir pratiquer leurs petits arrangements au mépris de toutes les règles qui s'imposent. Mais ils n'engagent pas leur responsabilité !!