Si le CE veut une idée du prix, pas besoin de se lancer dans un marché. Un coup de fil à l'UGAP pour le dimensionnement du parc nécessaire et une proposition (avec une proposition pour la vente et une autre pour la location).
Sur cette base, il suffit de comparer aux prix pratiqués par le prestataire actuel et le tour est joué. Eventuellement, demande au prestataire sur la base de l'offre UGAP (comparaison des matériels équivalents, il va de soi qu'on ne transmet pas le tarif). Pour information, une consultation en 2007 donnait un écart de 1 à 2 entre le prestataire en direct (qui était le moins cher) et le tarif UGAP.
On peut aussi utilement rappeler que l'UGAP dispose d'ingénieurs et de juristes spécialistes de ces choses, que leur chiffre d'affaires et leur poids en matière de négociation est sans commune mesure avec celle d'un EPLE. Qu'en gros, vouloir faire soi-même son petit marché dans son coin est de faire un travail d'amateur alors que les pros ont déjà tout fait. C'est un peu comme demander à Jean Nouvel de faire un projet de bâtiment quelconque puis de demander à son gamin de 6 ans hyper doué en dessin de redessiner le machin parce qu'il est bénévole.
Pour la location, la bonne durée est, selon moi, plutôt 3 ans, 4 maxi et le tarif reste le même pendant toute la durée. Pour reprendre l'argumentaire classique de l'IZ, s'il y a des réserves, l'achat est sûrement une meilleure solution.
En ce qui concerne le contrat d'entretien, même durée que la location ou 3 ans (c'est un avis personnel) en cas d'achat. La clause de révision annuelle est normale et il est difficile d'y couper. En revanche, la formule de révision doit être indiquée explicitement et pas simplement évoquée.