Y'a les 2.
Le correspondant demandé par certains EPLE à chaque interne inscrit, pour pouvoir héberger l'élève en urgence en cas de fermeture de l'internat.
Le correspondant départemental dont on parle dans la circulaire 2002-097 du 24/04/2002.
Le second est par ici plus improbable que les premiers. Le recteur a du oublier de lire sa circulaire et d'en trouver un ou, s'il l'a trouvé, lui ou ses suivants, l'oublier dans un placard pendant les heures de bureau.
Robin des bois devrait se méfier si la solution choisie est d'imposer correspondant local :
- d'une, qu'il ne soit pas fictif.
- de deux, qu'il ne serve pas seulement de boîte postale à un ou à une multitude d'élèves pour seulement pallier à caprice administratif, bref une broutille, en engagement purement formel et sans conséquences pratiques.
On a connu un tel phénomène - honorable responsable parent d'élève d'une des fédérations qui, pour arranger les gens de son bord, donnait volontiers son adresse - qui s'est dégonflé quand il y a eu une grosse menace de phénomène, lui atmosphérique : quand il s'est rendu compte et l'administration sur le coup qu'il aurait à héberger une foule, il a eu panique. L'administration a du passer des coups de fils en urgence à des familles, dont certaines allaient avoir parcours très problématique lorsque le ciel leur tomberait sur la tête en ramenant le môme.
Depuis changement des procédures et des contrôles ont été institués :
- limitation du nombre d' élèves pris en charge par le correspondant en fonction des capacités d'accueil,
- vérification de son adresse réelle, des téléphones, du temps nécessaire à ce qu' élève rejoigne.
- rendues obligatoires à l'inscription les présences de l'élève, du responsable légal et du correspondant, pour leur rappeler à tous et à chacun les règles.
Ceci est d'autant plus nécessaire lorsque l'internat sert de réceptacle à plusieurs bahuts, dont les personnels, les règlements intérieurs, les pratiques, le sérieux ne sont pas identiques, pour ne pas dire plus.
Pacific .