gros malaise d un gestionnaire

Nanie a écrit:

Je ne peux pas croire que les chefs d'établissement dans leur ensemble soient à mettre dans ce sac. Bon courage en tout cas.

Seulement 8000 d'entre eux
Les autres sont bien...

Nanie a écrit:

Je ne peux pas croire que les chefs d'établissement dans leur ensemble soient à mettre dans ce sac. Bon courage en tout cas.

Je ne parle pas seulement des CE.

***

Ce post part en vrille.

Je vous conseille de continuer ici : http://www.forum-depression.com/

ou de prendre contact avec Harcèlement Moral Stop

merci

0) Tu soignes ce qui peut l'être. Toute manifestation de dégradation de ta santé, que ça soit une verrue plantaire ou une leucémie, doit être traitée sérieusement, et il faut toujours laisser à un bon médecin la possibilité d'établir un lien avec tes conditions de travail.

1) Parapluie administratif : par écrit tu signales les aberrations, lâchetés, etc, au chef d'établissement ou ce qui en tient lieu

2) Tu dis au chef que tu ne resteras pas et qu'il faut qu'il en profite pour te faire faire un peu de ménage sale et désagréable, dans l'espoir que ton successeur ait le cran de continuer et que le chef ne le lâche pas tout de suite

3) Tu te barres vite fait.

Le dossier de harcèlement, c'est à réserver à quelques guerriers endurcis, quand par erreur le méchant n'a pas compris à qui il avait affaire et qu'il a voulu être méchant avec quelqu'un en état de lui résister. Dans 99.99 % des cas, les gens méchants ne sont pas bêtes, ils s'attaquent à des gens en situation de faiblesse.

La seule chose qu'on peut faire pour faire avancer les choses, c'est de se dire qu'on sera toujours partant pour témoigner et aider quelqu'un qui serait en difficulté, même si cela a un prix.

Je ne comprend pas les posts précédents qui parlent, de manière théorique, de l'abus dans l'arrêt-maladie.

Quand on met sa santé en danger par de la souffrance au travail, l'arrêt se justifie, POINT BARRE.

Et là, le médecin doit signer l'arrêt.

En plus, tu peux aussi contacter le médecin du Rectorat pour les personnels, et l'assistante sociale
parce que, pour se sortir de là... on est déjà au 16 juin et les mutations.... c'est fini, c'est pour dans un an.

Donc, un rendez-vous d'urgence chez ces personnes, raconte ta vie au téléphone, elles peuvent avoir des pistes pour appuyer une mutation hors des délais. Et elles sont de bon conseil et discrètes.

Tu as au moins l'appui de tous les collègues du forum.

Colombane a écrit:

En plus, tu peux aussi contacter le médecin du Rectorat pour les personnels, et l'assistante sociale
parce que, pour se sortir de là... on est déjà au 16 juin et les mutations.... c'est fini, c'est pour dans un an.

... sauf à faire le siège du SG d'acad pour dire que s'il y a un poste dont personne ne veut, à la limite c'est pas pire. En tout cas je sais pas ailleurs, mais dans ma zone y a toujours un poste dont personne n'a voulu.

(si tout le monde suit ce conseil que je répète souvent, je vais me faire unanimement détester par les SG...)

le lien bloqué par le forum a déjà été lu + de 100 fois

A mon avis, le lien n'a pas été bloqué par le forum, c'est juste qu'il faut être connecté pour mettre en ligne un lien.

Hippos a écrit:

je suppose qu'il s'agissait d'un lien, mais on ne rappellera sans doute jamais assez que les invités NE PEUVENT PAS poster de lien. Ce n'est pas censuré par les modos : c'est le forum lui-même qui les bloque.

J'en rajoute une couche :

Pour éviter de "pourrir" le forum avec des propositions commerciales ou des liens pointant vers des sites ou des images "limites", seuls les membres inscrits peuvent poster des liens.
Pour les "invités", le forum les supprime automatiquement sans notre intervention.

L'intendant zonard a écrit:

Colombane a écrit:

En plus, tu peux aussi contacter le médecin du Rectorat pour les personnels, et l'assistante sociale
parce que, pour se sortir de là... on est déjà au 16 juin et les mutations.... c'est fini, c'est pour dans un an.

... sauf à faire le siège du SG d'acad pour dire que s'il y a un poste dont personne ne veut, à la limite c'est pas pire. En tout cas je sais pas ailleurs, mais dans ma zone y a toujours un poste dont personne n'a voulu.

(si tout le monde suit ce conseil que je répète souvent, je vais me faire unanimement détester par les SG...)

En ce moment, il y a encore les sortants d'Ira et concours internes qui attendent.... tout n'est pas encore bouclé !
Certes, une mutation d'urgence, le poste est provisoire et on doit participer au mouvement l'année suivante, mais c'est un début de sortie...

la dialectique du maitre et de l'esclave revisitée...
j'ai failli sombrer dans un de ces postes de m... au tout début de ma carrière, nommé dans un college de seine st denis ; plutôt que de tourner aux cachetons, j'ai décidé de fortifier mes tranchées et de me blinder en attendant la mut' (qui reste effectivement la meilleure solution) en d'adapter mon attitude à celle des gens qui me les brisaient menu, n'hésitant pas à être odieux avec eux pour qu'eux aussi se sentent mal à l'aise quand ils avaient affaire à moi ; ne pas oublier que le pouvoir de dire oui, c'est aussi le plaisir de dire non !

delf75 a écrit:

oui merci winie
en fait, il ya le rectorat au dessus.....mais je ne pense pas qu'ils vont reagir.......dois je faire un rapport au recteur + ministere?

Bonsoir delph, comme beaucoup de collègues, je pense que le mieux est de partir vers un autre poste, ne te pourris pas la santé comme je l'ai fait moi-même face à des gens malades qui vous déchirent chaque jour, pendant plusieurs années. Cela te forge la carapace, mais il en reste des séquelles, même cachées.
Réagis, ta santé, ta vie, ta famille sont bien plus importantes.
Oui, nous sommes professionnel(le)s et donnons le maximum pour le service public, mais tu ne dois plus accepter que le travail te rende malade par les agissements de certains acharnés, c'est totalement anormal.
Il reste des postes non attribués, ceux des mutés qui n'étaient pas au mouvement, qui ne tente rien ...
Bon courage, contacte les services du rectorat (médecin ou social), mais ne reste pas seule dans ta tête à broyer du noir.