- Patou a écrit:
- j'opterais plutôt pour la puce électronique implantée à chaque élève et un détecteur à l'entrée de l'étab et dans chaque classe le tout relié à la vie sco
Je prolonge ce compte, ce conte, de fée :
Comme Parent d'élève et Contribuable, je recommanderais une extension du dispositif à tout le bahut. Sauf au Chef Big Brother contrôleur, faut pas bouffonner.
- par souci d'équité dans le traitement des différentes races d'humains hébergées, élèves, intendance, Cpe, docus, profs, atoss, etc.,
- par souci de sécurité afin d'éviter que du troupeau ne s'égare dans des endroits dangereux du bahut, par exemple là où l'intendant cache ses bouteilles.
- par souci de transparence afin que puissent être comparées les performances de chaque élément, par exemple grâce à la puce qui détermine le temps passé à la machine à café, dans les couloirs loin de son bureau vers celui du Cpe beau comme un dieu quand on est affectée aux liquidations et aux droits constatés à l'autre bout du lycée, ou qui compare le cheminement de chacun entre A et B à la ligne directe AB, ou encore qui réveille un distrait divaguant ici où là par un bip-bip sonore de la borne du secteur défendu compte tenu des droits d'accés acquis.
- par souci de justifier les investissements consentis dans la belle machine à suivre les déplacements de chacun, que l'on implante deux puces - c'est donné - et non pas une seule, pour éviter que les statistiques ne soient faussées par une panne intempestive. Ces statistiques confidentielles et à la seule destination du CE organisateur des services, bien sûr, et de son alter ego à la CT aussi, lequel aura donné les sous et choisi l'entreprise et reçu un dessous de table le cas échéant, simple geste commercial qu'il faut bien accepter pour assurer à l'EPLE le meilleur rapport qualité/prix dans la gestion des flux.
Je m'arrête, cette machine à retracer et compter la vie de chacun n'existe pas.
Si ! Me dit l'IZ dans mon oreillette...
Je rappelle que l'on vient d'embaucher pour divers et pas nécessairement bons motifs 5000 MdR pour mettre officiellement de l'humain dans le traitement des absences. Comme il semble bien qu'il soit compliqué de les envoyer hors les murs, ils suivent un "apprentissage" pour relever les absences dans le bahut.
Vous ne voudriez pas remplacer des gens tout juste exprès embauchés pour cela par des machines ? Surtout à une époque où le gouvernement contrairement à ses propos de campagne et de son chef va développer les contrats aidés dans la fonction publique et donc essentiellement à l'éduc. nat.
Bref corrections orthographiques après Patou