remboursement de frais engagé par un CE..........?

qui doit s'assurer par un état des lieux que le logement est convenable?
qui doit utiliser régulièrement les subventions spécifiques pour entretien que versent la grande majorité des CT?

sinon je connais qques madames toutes capables de faire constater par huissier avec photos et tout le toutim à l'appui (si si, je l'ai vu!!!)et foutre un bouzin du feu de Dieu effectivement dans une guitoune, avec lettre au Recteur et au Président de la CT (limite convoc de la presse...!), et grosse rigolade des voisins.

à titre info vous ne ferez JAMAIS emménager Mme VMB dans un lgt qui va pas et c'est elle qui décide!

mais il est vrai que l'on a tant voulu faire croire aux "logés" qu'ils étaient tellement privilégiés qu'ils se devaient d'accepter sans broncher n'importe quelle m....

Certes, je suis d'accord avec la démarche.

Mais

1- L'état des lieux se fait entre le propriétaire et le locataire, pas le locataire tout seul.

2- A lire l'intégralité de la discussion, il ne semble pas que les constatations sur le mauvais état supposé des sols aient été faites par personne assermentée et encore moins qu'elles aient laissées des traces irréfutables telles que photos.

D'accord avec vous sur le principe mais pas sur l'affaire en question.

N@n@rd a écrit:

Thinker a écrit:

Et qui décide de la conformité du logement aux normes en vigueur au moment de l'opération d'amélioration du domaine public ? Le fonctionnaire logé ?

effectivement, c'est sur ce point que l'argumentation de VMB est contestable car le locataire ne peut seul juger de l'opportunité des travaux ni d'ailleurs les faire lui même.

Si tel est le cas, c'est un constat d'huissier qu'il faut (environ 80 €, pour un CE c'est peanuts, moi un gestionnaire pas la fin du monde). A partir de là vous avez une preuve

En dehors, c'est de l'aménagement locatif.

il est évident que sur un plan strictement comptable l'affaire pose de vrais problèmes et j'adhère aux réticences exprimées justement.

mais se dresse là un autre pb, plus moral celui là, et bien que je ne mélange quasiment jamais compta et morale, en matière de logement c'est pas si évident de faire une telle impasse, car il y a quand même des familles qui vont habiter dans la baraque, d'où la question: doit-on se méfier de tout le monde à priori et penser que le CE (ou un autre) ne recherche en fait que son petit confort personnel supplémentaire au frais de la boutique?

de plus, un GM avisé peut se faire une idée en fonction des travaux réalisés au cours du temps dans chaque lgt, si il y en a eu!

V.M.B a écrit:

de plus, un GM avisé peut se faire une idée en fonction des travaux réalisés au cours du temps dans chaque lgt, si il y en a eu!

D'accord avec VMB sur ce point : au gestionnaire d'anticiper , à la fois sur le plan budgétaire et matériel .

Pour ce qui est de la situation décrite initialement par notre collègue , pareil que N@n@rd : Les "justificatifs" de dépenses cités ne rendent pas le paiement libératoire .

Doit-on se méfier ? Oui.
Tout gestionnaire avec de la bouteille peut citer les exemples de tel CE entrant dans un logement propre mais exigeant le remplacement du papier peint, de la moquette nickel par du plancher et de changer la baignoire pour un bain à remous (authentique).
On peut d'ailleurs noter que cela est vrai aussi pour des intendants.

Sans parler de ceux qui laissent des logements dans un état lamentable quand ils changent de crémerie.........

N@n@rd a écrit:

Poporc a écrit:

Le plus simple est encore de demanderau fournisseur de refaire une facture au nom de l'établissement. Et le tour est joué (ou quasiment...)

Un fournisseur qui accepterait cela aprés plusieurs mois et pas à cause d'une erreur, serait pour moi... peu sérieux (pour rester aimable).

J'ai du mal à croire que personne n'a fait ça au moins une fois !!!