ORAL APAENES 2014

Les oraux ont systématiquement lieu dans la capitale?  

Stroubok a écrit:

Les oraux ont systématiquement lieu dans la capitale?  

Pour Apaenes oui

Je crois que pour les DOM c'est le jury qui se déplace cette année.

J ai l'impression que cette année ce n'est pas par ordre alphabétique de nom (de jeune fille pour les dames). Moi c 'est S et je passe le 13.02. Mais bon il faut renvoyer le doc pour dire si on va ou pas.

Je passe le 19, j'en déduis donc que Grincheux (lettre G) doit passer le 20.

Stroubok a écrit:

Les oraux ont systématiquement lieu dans la capitale?  

Je suppose qu'ils trouvent qu'il y a déjà assez de désistements comme ça pour ne pas en plus le faire de l'autre côté du boulevard terriphérique.

Madame Follette a écrit:

Je passe le 19, j'en déduis donc que Grincheux (lettre G) doit passer le 20.

Non, c'est le nom de famille qui compte : Pickles ! Et donc je passe le 18 !

Bonjour,

Sur la convocation, il est indiqué : "Pour l'épreuve d'entretien avec le jury, aucun document n'est autorisé".
Cela signifie-t-il que nous n'avons pas le droit d'avoir quelques notes pour l'exposé de 10 mn ?
La question peut paraître bête mais je passe l'examen pour la 1ère fois et la formation Méthodologie de l'oral n'a pas encore eu lieu dans mon académie !

Merci d'avance à ceux qui voudront bien m'éclairer.

Je crains que l'équation Notes = Documents, en effet, soit avérée.   

volcan a écrit:

Il faut y aller. Prêt ou pas prêt : il faut y aller, surtout cette année.
Au mieux il y aura une bonne surprise, au pire ce sera une expérience profitable.
Ne pas y aller alors qu'on est inscrit serait une grossière erreur.

quattro a écrit:

je plussois
cà n enlève rien ; c est comme le loto :si on ne gagne pas c est pas grave
mais si on gagne , on est bien content , d autant plus qu on garde son poste ( jusqu à quand ?)

Si je comprends votre propos, je ne suis pas pour autant complètement d'accord. Y aller alors qu'on sait qu'on n'est pas prêt c'est de facto accepter l'échec. Or la nature humaine est ainsi faite qu'à un moment donné on se prend au jeu. On commence par "bah j'y vais, on verra bien, ya très peu de chance mais sait-on jamais... peu importe" et puis on finit par bosser comme un zinzin les dernières semaines pour essayer de rattraper ce qu'on n'a pas fait les mois précédents et forcément, on s'y investit tellement qu'on ne peut s’empêcher de finir par y croire ; pire on VEUT réussir.

Au final la question est : "suis-je prêt à voir entamer mon tout petit capital confiance en cas (probable) d'échec ? Effectivement, par rapport aux autres on s'en cogne (encore que... quand des amis "croient" en vous, on se sent mal de les avoir déçus), mais c'est surtout par rapport à soi-même, à son estime personnelle, et puis sa fierté, son égo, tout ça...
En d'autres termes : Suis-je aujourd'hui assez fort(e) pour assumer l'échec ?

Ok, merci Grincheux.
Si des collègues qui ont passé l'examen l'an dernier veulent aussi répondre, je suis preneuse.

quel est le déroulé de l'épreuve ?

10 minutes de présentation suivies de 20 minutes d'entretien à base de questions.

merci baucoup

oups !!
beaucoup

Grincheux a écrit:

10 minutes de présentation suivies de 20 minutes d'entretien à base de questions.

Et faut monter à Paris rien que pour ça???   

Stroubok a écrit:

Grincheux a écrit:

10 minutes de présentation suivies de 20 minutes d'entretien à base de questions.

Et faut monter à Paris rien que pour ça???    

Ben oui  

Mais il y a aussi le temps d'attente avant d'être appelé devant le jury 

Invité26 a écrit:

Ok, merci Grincheux.
Si des collègues qui ont passé l'examen l'an dernier veulent aussi répondre, je suis preneuse.

J'ai passé l'oral en février 2013 et effectivement, devant le jury, on a droit à aucun document, qu'il s'agisse de notes perso ou autre.

Certains candidats font le choix d'apprendre leur présentation par coeur.

Merci Loulye.
J'avoue qu'avoir ne serait-ce que le plan de mon exposé m'aurait rassurée. En plus, en situation professionnelle, on peut toujours avoir des notes lorsqu'on est amené à intervenir à l'oral.

Invité26 a écrit:

J'avoue qu'avoir ne serait-ce que le plan de mon exposé m'aurait rassurée. En plus, en situation professionnelle, on peut toujours avoir des notes lorsqu'on est amené à intervenir à l'oral.

En même temps, on ne te demande pas de donner une conférence sur la sexualité des baleines à bosse, mais de parler de ta propre expérience professionnelle. Et si tu n'y arrives pas sans tes petites fiches désolé mais c'est trèèèss mauvais signe !

@ la Gathe : 2014 = réussite, rompez !

L'intendant zonard a écrit:

@ la Gathe : 2014 = réussite, rompez !

  

le guil29 a écrit:

quel est le déroulé de l'épreuve ?

c'est quand même précisé dans le règlement de l'examen !!!!  

Lady Gagathe a écrit:

volcan a écrit:

Il faut y aller. Prêt ou pas prêt : il faut y aller, surtout cette année.
Au mieux il y aura une bonne surprise, au pire ce sera une expérience profitable.
Ne pas y aller alors qu'on est inscrit serait une grossière erreur.

quattro a écrit:

je plussois
cà n enlève rien ; c est comme le loto :si on ne gagne pas c est pas grave
mais si on gagne , on est bien content , d autant plus qu on garde son poste ( jusqu à quand ?)

Si je comprends votre propos, je ne suis pas pour autant complètement d'accord. Y aller alors qu'on sait qu'on n'est pas prêt c'est de facto accepter l'échec. Or la nature humaine est ainsi faite qu'à un moment donné on se prend au jeu. On commence par "bah j'y vais, on verra bien, ya très peu de chance mais sait-on jamais... peu importe" et puis on finit par bosser comme un zinzin les dernières semaines pour essayer de rattraper ce qu'on n'a pas fait les mois précédents et forcément, on s'y investit tellement qu'on ne peut s’empêcher de finir par y croire ; pire on VEUT réussir.

Au final la question est : "suis-je prêt à voir entamer mon tout petit capital confiance en cas (probable) d'échec ? Effectivement, par rapport aux autres on s'en cogne (encore que... quand des amis "croient" en vous, on se sent mal de les avoir déçus), mais c'est surtout par rapport à soi-même, à son estime personnelle, et puis sa fierté, son égo, tout ça...
En d'autres termes : Suis-je aujourd'hui assez fort(e) pour assumer l'échec ?

Je suis à 100% d'accord avec toi! J'en suis là, à mon corps défendant et on a beau me dire que je n'ai qu'à y gagner, rien à perdre, je suis dubitative! Je commence malheureusement à me prendre  au jeu alors que je n'ai commencé à potasser qu'il y a une quinzaine de jours!    

Quelles que soient les considérations psychologiques qui nourrissent vos réflexions, et notamment les craintes de l'échec qui sont tout à fait légitimes, je vous déconseille TRÈS fortement de poser un lapin au jury après vous être inscrits. C'est EXTRÊMEMENT mal vu de la part du ministère, à juste titre. Mieux vaut encore les prévenir en amont si vous vous dégonflez.

Faut y aller, au mieux on l'a, au pire on a un entraînement pour l'an prochain....et si on s'organise bien ça permet d'aller voir les amis.....  

Mister ? a écrit:

Quelles que soient les considérations psychologiques qui nourrissent vos réflexions, et notamment les craintes de l'échec qui sont tout à fait légitimes, je vous déconseille TRÈS fortement de poser un lapin au jury après vous être inscrits. C'est EXTRÊMEMENT mal vu de la part du ministère, à juste titre. Mieux vaut encore les prévenir en amont si vous vous dégonflez.

 
Les questions que je me pose par rapport à un éventuel échec (et mon estime de moi qui risque d'en prendre un coup) n'empêche pas qu'il est hors de question de ne pas répondre à la convocation. Je préfère assumer. Mais bon, c'est toujours facile à dire que l'on a rien à perdre, c'est là que je rejoignais Lady Gagathe!
Et puis, c'est comme au boulot ou dans la vie, parfois il faut savoir se faire violence pour avancer! Alors, on y va!   

On n'a rien à perdre et je connais des collègues qui sans mon insistance, estimant n'être pas prêt, n'auraient pas été à l'examen et qui ne seraient donc pas APAENES aujourd'hui.
On ne risque rien, un échec ne fait pas perdre un travail et ne change rien à sa vie professionnelle. Entre une petite blessure d'amour propre et une carrière changée, il n'y a pas à hésiter une seconde ; surtout que maintenant que nous somme attachés de l'Etat et plus du MEN, rien ne dit que le concours 2015 sera aussi accessible.

volcan a écrit:

surtout que maintenant que nous somme attachés de l'Etat et plus du MEN, rien ne dit que le concours 2015 sera aussi accessible.

Je partage cette analyse. Il serait étonnant qu'après avoir uniformisé le corps des attachés, l'administration n'uniformise pas aussi les modalités de l'examen professionnel...

apalove a écrit:

J ai l'impression que cette année ce n'est pas par ordre alphabétique de nom (de jeune fille pour les dames). Moi c 'est S et je passe le 13.02. Mais bon il faut renvoyer le doc pour dire si on va ou pas.

Si, c'est par ordre alphabétique. Mais comme chaque fois, une lettre est tirée au sort pour savoir où l'on commence l'ordre alphabétique, histoire que ce ne soit pas toujours les A qui commencent. Bien sûr, il s'agit du nom de famille.

Hippos a écrit:

volcan a écrit:

surtout que maintenant que nous somme attachés de l'Etat et plus du MEN, rien ne dit que le concours 2015 sera aussi accessible.

Je partage cette analyse. Il serait étonnant qu'après avoir uniformisé le corps des attachés, l'administration n'uniformise pas aussi les modalités de l'examen professionnel...

Comment faut-il comprendre cela ?
Celles et ceux, qui l'ont eu, ont en fait réussi un examen "paquet bonux" ???
Celles et ceux, qui ne l'ont pas eu, sont encore plus mauvais qu'ils ne le pensaient ??? Pensez donc, ne pas avoir réussi un examen "donné" !!!!
   

Sans polémiquer, les taux de "réussite" au principalat dans nos ministères sont objectivement bien plus élevés que presque partout ailleurs. Autour de 30% des présents alors que le taux moyen interministériel semble tourner autour de 7% (ou 17% soit deux ou quatre fois moins, j'ai un doute mémoriel).

Je ne dénigre pas "notre" principalat pour en avoir été lauréat moi même, mais c'est néanmoins une donnée statistique qui ne peut être ignorée, et une harmonisation très probable de cet examen au niveau interministériel ne pourrait nous être que défavorable soyons clair.

Un échec à l'examen ne change rien mais une réussite peut changer la vie professionnelle. Dans certaines académies, on impose des postes d'agent comptable parfois trés lourd à des attachés principaux.