C'est sur un coup comme ça que tu pourrais utilement placer la balise "spoiler", tu vois...
Tu viens de ruiner le suspense pour tous ceux qui n'ont pas lu cette nouvelle !!!

Les autos tamponneuses de Stéphane Hoffman : à la fois drôle, sensible et féroce voire corrosif !

Winnie a écrit:

Tu viens de ruiner le suspense pour tous ceux qui n'ont pas lu cette nouvelle !!!

post publié à 22h40, censure à 22h42... même le boss n'aura pas lu ce résumé !!!!

Mad Max a écrit:

... même le boss n'aura pas lu ce résumé !!!!

Si, c'est moi qui ai modéré après lecture.

Limonov : outrancier, instructif, un aventurier provocateur, un poète à scandales, un roman passionnant, sauf que tout est vrai, indispensable pour comprendre la situation russe (Limonov est opposant à Poutine et souvent en prison), où les clivages politiques sont différents des nôtres, où l'on peut être national-bolchevique-fasciste et chanteur punk à la mode en même temps.
Enfance dans une ville provinciale en Russie, ça commence comme un thriller violent, New-York, déchéance, puis il devient une sorte de majordome chez un milliardaire, Paris, vie littéraire, participe aux guerres de Yougoslavie d'une manière active, revient en Russie et intervient dans la vie politique.
"J'ai un physique agréable, mais je mords. Attirant et venimeux. Des gens
comme moi, on devrait les fusiller, qu'ils n'aillent pas répandre leur
venin. Les États ont bien raison, ils s'y prennent même trop tard, il
faudrait abattre préventivement les êtres capables de détruire. Je suis
un chien enragé."

A la maison, je vais commencer:
 

Mais dans les transport, je prends plutôt un livre de poche, celui-ci ces jours-ci:

delph a écrit:

Limonov :

ça ?

Oui, c'était il y a un mois.
J'ai découvert Rufin,"Rouge Brésil", très bien écrit, sur une trame historique, et "Katiba" sorte de polar politique (Rufin connait très bien les arcanes de la diplomatie internationale, vu son parcours).

Ruffin a aussi écrit "GLOBALIA" très différent de ses autres livres

l'Esprit du Mal de W.P. Blatty

Russule a écrit:

Le CPE a écrit:

"L'école une affaire d'état ?"

Pascal Jacob.

Un bien bel ouvrage avec des morceaux de réflexion dedans. Vraiment bien (en plus compréhensible par un piou-piou, c'est dire comme c'est accessible).

Je n'ai pas lu ce livre.
Mais en jetant un coup d'oeil au pitch, je me sens moyennement emballée : l'auteur, philosophe, se réfère à Rousseau, à Célestin Freinet. Rousseau qui niait la nécessité d'éduquer les foules : cela entrave la Nature.

A l'heure de l'enfant-roi qui-ne-sait-plus-lire-parce-que-la-console-c'est-trop-bien, je trouve l'idée un peu dépassée.

La lecture de ce livre s'impose, alors, parce que justement l'auteur montre les fondements philosophiques des errements des pédagogistes. Surtout, il montre comment doivent s'articuler la famille, l'école et l'Etat. Très accessible, en effet !

La mort simplement. A.H.Japp

En ce moment (enfin chez moi le soir, pas là au bureau) je lis Graham Robb : Une histoire buissonnière de la France
Mais je viens de terminer « Oxymore, mon amour», dictionnaire inattendu de la langue française de Jean-Loup Chiflet, cadeaux que me firent gendre et fille-aînée pour Noël.

"le cercle littéraire des amateur d'épluchures de patates", un chouette roman épistolaire sur l'occupation allemande des îles anglo-normandes. Des choses terribles sont dites mais avec émotion et pudeur.

Maljuna Kris a écrit:

Mais je viens de terminer « Oxymore, mon amour», dictionnaire inattendu de la langue française de Jean-Loup Chiflet, .

Moi j'attends la publication de " Zeugme , mon amour " .

Jean-Loup, si tu nous lis

FARPI a écrit:

La mort simplement. A.H.Japp

Il y a aussi :
"Tout simplement vivre" de Nathalie TISSE

 

André Compte Sponville

Le Sexe ni la mort

Tikehau a écrit:

"le cercle littéraire des amateur d'épluchures de patates", un chouette roman épistolaire sur l'occupation allemande des îles anglo-normandes. Des choses terribles sont dites mais avec émotion et pudeur.

J'ai lu et c'est sympa

j'ai lu ce livre et j'ai aimé

zen-attitude a écrit:

FARPI a écrit:

La mort simplement. A.H.Japp

Il y a aussi :
"Tout simplement vivre" de Nathalie TISSE

C'est peut être pas mal non plus...

ça va zen?

Un certain nombre d'évidences, cependant ce petit bouquin devrait rester à portée de main sur le bureau de certains !!

"L'image de soi", de Christophe André et j'enchaînerai sur "Les états d'âme" du toujours même auteur
j'ai assisté à une des conférences de ce psychiatre dans un zénith, tellement il y avait de monde, vraiment intéressant, humour et savoir !!

Tiens, je relisais récemmment cet opuscule si utile dans notre métier :

Et puis une copine qui se paie le luxe d'arriver à Angoulême avec pas assez de bouquins en stock avec elle :

Biographie de Philip Dick et plongée dans son univers.

En 1974 en voyant un bijou représentant un poisson, Philip K Dick est mis sur la piste d'une révélation essentielle :
L'Empire romain n'est pas mort et il continue sa lutte contre les chrétiens, mais l'Empire romain a été remplacé par les USA, Nixon et le FBI, et lui Philip Dick a été choisi pour être le représentant des chrétiens persécutés.
Pourquoi la SF ? Parce qu'il s'agit d'un genre méprisé et considéré comme mineur, à l'image des Gentils et des premiers chrétiens, qui ne faisaient pas parti du peuple élu.
Les 8000 pages de l'Exegèse qu'il a écrit à la fin de sa vie n'ont jamais été publiées.
Il reste l'un des auteurs les plus géniaux de SF, avec plusieurs adaptations cinématographiques.
Sa vie intérieure, passablement instable et quelque peu paranoïaque, interfère constamment avec ses romans.
il transpose dans ses intrigues sa vie personnelle. Les tirages du Yi king lui servent à la fois imaginer les chapitres d'un roman et à guider les choix de sa vie sentimentale.
Il a un peu touché du LSD, mais ses drogues habituelles étaient plutôt les amphétamines, grâce auxquelles il pouvait écrire très rapidement, et les médicaments autorisés.

Tout est Fatal de Stephen King

@yhen : Ravage de BarJAVEL !!

"Wilt, tome1" de Sharp.

Pour amateurs d'humour anglais.
J'adore...

Ovide et les métamorphoses

Mémoire d'un paysan bas-breton de Jean-Marie Déguignet (1834-1905).
Un énorme pavé, mais, que du bonheur.