polaire a écrit:

Euh, m'excuse... mais si c'est le comptable qui respecte pas les délais de paiement, on fait quoi ?

Les intérêts moratoires sont dus quand même. Et l'ordo est en droit de passer un savon légitime au comptable.

Dis-moi, Etoile de la banquise, très sympa ton avatar.
"T'es à tomber, ma poulette. Avec des mirettes pareilles et des gambettes qui doivent être tout aussi avenantes, tu dois pas être la dernière à affoler les demi-sels." Pardon, syndrome Audiard, ça doit être contagieux...

Edité par moi-même: ce fil absurde est issu d'une discussion très sérieuse.

Isaac Newton a écrit:

Les intérêts moratoires sont dus quand même. Et l'ordo est en droit de passer un savon légitime au comptable.

Dis-moi, Etoile de la banquise, très sympa ton avatar.
"T'es à tomber, ma poulette. Avec des mirettes et des gambettes qui doivent être tout aussi avanantes, tu dois pas être la dernière à affoler les demi-sels." Pardon, syndrome Audiard, ça doit être contagieux...

Isaac, en tant que modérateur, tu devrais commencer par modérer tes propres ardeurs...

C'est le syndrome Audiard, je vous dis. C'est pathologique.
Mais je me soigne. C'est à base de racines d'eucalyptus, cela ne fait effet qu'à long terme.

Isaac Newton a écrit:

Dis-moi, Etoile de la banquise, très sympa ton avatar.

T'as vu ? En plus ça me donne un air intello....

Mmmm, effectivement, genre méditation intensive sur le fait ou non de devoir changer le canapé.

polaire a écrit:

Isaac Newton a écrit:

Dis-moi, Etoile de la banquise, très sympa ton avatar.

T'as vu ? En plus ça me donne un air intello....

ouais bin restons sur l'air car t'es loin d'avoir les paroles pour la chanson

bof, moi de toute façon, j'aime que les chansons d'amour :

Y avait une fois un pauvre gars Et lonlon laire Et lonlon la Y avait une fois un pauvre gars Qui aimait celle qui ne l'aimait pas. Elle lui dit : Apporte-moi d'main, Et lonlon laire Et lonlon la Elle lui dit : Apporte-moi d'main, L' cœur de ta mère pour mon chien. Va chez sa mère et la tue, Et lonlon laire Et lonlon la Va chez sa mère et la tue, Lui prit l' cœur et s'en courut Comme il courait, il tomba Et lonlon laire Et lonlon la Comme il courait, il tomba Et par terre, le cœur roula. Et pendant que le cœur roulait Et lon, lon laire, Et lon, lon la, Et pendant que le cœur roulait, Entendit le cœur qui parlait. Et le cœur disait, en pleurant Et lonlon laire Et lonlon la Et le cœur disait, en pleurant : T'es-tu fait mal, mon enfant ?

C'est aussi gore que l'avatar de Débit dans tous les sens.

Ben quoi, elle est pas rigolote, ma chanson ?