J'ai saisi 2 fois la même subvention à 2 dates différentes. Je ne m'étais pas rappelé que la création d'un code n'avait pas pu se faire car il n'en existait pas auparavant pour ce chapitre. Merci pour votre aide.

Cette seconde DBM saisie n'a pas encore été présentée au CA pour info (type 24). Bien entendu, elle apparaît dans le budget.

Si elle apparait dans le budget c'est que tu l'as validée, donc il faut annuler tes lignes, en passant une nouvelle DM mais avec des -, tu la nommes DBM de régul , et voilà, normalement c'est bon.

Il n'est pas indispensable d'annuler une DBM pour info saisie deux fois ; il suffit de ne pas utiliser les crédits ouverts par erreur.

OK mais ça ne facilite pas le contrôle de l'AC sur les dépassements de
chapître lors des réceptions des mandats.

V.I qu'est-ce que cet avatar ???

Bon alors je suis pas d'accord avec toi O Zeus, roi de l'Olympe, parce que dans la foultitude de tâches à mener ça conduit tout droit à l'erreur autant la rectifier tout de suite non ????

Je ne dis ça mais je ne suis qu'une humble servante au sein du Panthéon...

Même si l'on doit reconnaître que , sur un plan pratique, Quercy et Lina n'ont pas tort, il n'en demeure pas moins que sur le plan de la théorie comptable , VI a parfaitement raison .

Les effets de ce qu'il énonce sont certes plus faciles à gérer lorsque le gestionnaire est aussi l'AC .Je vous rejoins tous les deux sur ce point.

pourquoi ne pas faire un engagement au chapitre et compte concerné ? comme cela tu es sûr de ne pas utiliser ces crédits ouverts indument.

paulin a écrit:

pourquoi ne pas faire un engagement au chapitre et compte concerné ? comme cela tu es sûr de ne pas utiliser ces crédits ouverts indument.

Euh... un gestionnaire est quand même sensé avoir un cerveau en état de marche... sinon il fait CPE !

Quercy a écrit:

OK mais ça ne facilite pas le contrôle de l'AC sur les dépassements de
chapître lors des réceptions des mandats.

Si si ça le facilite beaucoup : on passant plusieurs fois les DBM on diminue le risque de dépassement de chapitre.

brainman a écrit:

Quercy a écrit:

OK mais ça ne facilite pas le contrôle de l'AC sur les dépassements de
chapître lors des réceptions des mandats.

Si si ça le facilite beaucoup : on passant plusieurs fois les DBM on diminue le risque de dépassement de chapitre.

DBM pour info dit ressources affectées. En bonne logique un mandat sur ressources affectées doit être accompagné (ou suivi de prés ) par l'OR correspondant.
De plus l'ordonnateur est responsable des ouvertures de crédits et des déficits si les recettes ne sont pas conformes au prévisions (je simplifie, pas taper ). Avec les regroupements comptables, il va falloir que les ordos et les gestionnaires apprennent à se passer du parapluie du comptable et assument pour leur gestion leur erreurs.

A ce propos, une tite critique de GFC :

je ne suis pas comptable mais je trouve que la réception des DBM est hyper opaque en compta géné.

réception du budget, on valide, et hop, c'est envoyé. Aucun détail, tout au plus peut-on visualiser le budget par chapitre, sans mention de ce qui a changé.

brainman a écrit:

A ce propos, une tite critique de GFC :

je ne suis pas comptable mais je trouve que la réception des DBM est hyper opaque en compta géné.

réception du budget, on valide, et hop, c'est envoyé. Aucun détail, tout au plus peut-on visualiser le budget par chapitre, sans mention de ce qui a changé.

J'aurais tendance à partager cet avis, a priori
Mais après reflexion, ne peut-on pas se dire que l' historique des ouvertures de crédits , édité dans la foulée de la DM, suffit à suivre les modifcations ?

pour moi cela prouve qu'il est très difficile d'anticiper, car finalement toutes ces DM constituent une exception à la sincérité du budget , c'est encore une exception EN non ????ne me tapez pas merci

Nanard pour les chocolats ce sera par la voie postale

brainman a écrit:

A ce propos, une tite critique de GFC :

je ne suis pas comptable mais je trouve que la réception des DBM est hyper opaque en compta géné.

réception du budget, on valide, et hop, c'est envoyé. Aucun détail, tout au plus peut-on visualiser le budget par chapitre, sans mention de ce qui a changé.

La remarque est judicieuse et je la partage.
Mais dans cette critique que je fais, c'est le gestionnaire qui parle, pas le comptable.
Le contrôle de légalité du budget et des DBM est fait - et doit être fait - par les autorités de tutelle ; pas par le comptable.
Et pour ce qui est des DBM pour info, le comptable doit être rigoureux sur la production des OR et le suivi de la classe 4. Faire les OR deux fois dans l'année comme je l'ai vu est une hérésie et un dysfonctionnement grave.

Ce sont de nouvelles méthodes de travail que doivent apprendre les comptables... et les ordonnateurs. Plus de séparation, plus de rigueur, plus de respect des textes et des compétences de chacun.
C'est le défi de la réforme des regroupements comoptables ; défi que peu d'entre nous sont en mesure de relever (et je m'estime concerné aussi). défi qui passera je me tue à le répéter par une formation sérieuse, continue et efficace. Pas une pseudo-formation par des comptables ou tuteurs qui se contenteront de retransmettre aux nouveaux les mêmes erreurs qu'on leur a apprises. Ah combien de fois n'ai-je pas entendu le fameux : "on a toujours fait comme ça et on n'a jamais eu d'observation ou de problème".
Vous avez dit crier dans le désert ?

Ben N@n@rd, effectivement le : " Ca a toujours fonctionnné comme ça" , me gonfle au plus haut point !!!!

Pour les DM pour infos je demande à ce que me soit joint les notifications de subventions, je sais c'est du boulot en plus pour le GM, mais pour l'AC comme pour le GM c'est gagnant !!!!

Pour répondre à V I :

"Euh... un gestionnaire est quand même sensé avoir un cerveau en état de marche... sinon il fait CPE "

je me place dans mon agence comptable où, sans personne pour assumer réellement les fonctions de gestionnaire et où l'agent comptable a d'autres chats à fouetter, nous sommes plusieurs à faire des bons de commande et engagements. Cela évite donc de dépenser des crédits que nous n'avons pas et n'aurons pas.