Dans un même GRETA, j'ai autant de modalités de participation à l'utilisation de locaux que d'eple qui jouent.
Je souhaite me diriger vers un seul mode de calcul id pour tous qui ait, de préférence, une relation avec le coût et qui soit :
- incitatif pour l'eple d'accueil
- intéressant pour le greta
- politiquement correct pour la coll terr vis à vis du fait qu'elle paie déjà le fonctionnement et qu'elle est un gros client !
Je suis preneur d'idées (pour alimenter les débats de la prochaine commission financière que j'espère faire créer en même temps que l'on ouvrira le cie aux gm avec voix consultative).

par expérience, il faut que cette charge reste contrôlable et supportable par le greta . Déterminer des critères précis et adaptés aux formations est également très difficile chacun tirant la couverture à soi et le but étant aussi de ne pas décourager les établissements accueillant des formations au fonctionnement peu couteux. bref, c'est aussi compliqué que d'estimer le montant réel de la participation du SAH aux charges communes quand il n'y a pas de compteurs décomptant. Alors j'ai fini par "imposer" un taux fixe appliqué au chiffre d'affaire. on peut aussi en appliquer un aux heures stagiaires ou en proposer un pour les enseignements généraux et un pour les enseignements professionnels.

ici on ne factrure plus au Gréta l'utilisation des locaux
la CT refuse
il faut dire qu'elle finance 99% des actions Gréta
elle en vait un peu marre de payer deux fois de l'electricité
une fois sur la subvention de fonctionnement de l'EPLE
une autre fois sur les actions de formations qu'elle mène dans les dits EPLE
ça se défend mais j'ai autant d'arguments pour expliquer et justifier le contraire....

Je m'orienterais plutôt vers une participation versée aux eple quitte à ce qu'elle soit, en tout et partie, déduite par la coll de sa subv de fonctionnement de manière à ne pas s'exposer à la distorsion de concurrence.

Dans mon Greta, l'assiette du reversement aux EPLE est l'heure stagiaire. Chaque heure stagiaire réalisée dans un centre déclenche le versement de :

- 0,06 € pour les frais administratifs divers
- 0,13 € pour les frais de locaux au sens large dont naturellement les fluides, et c'est bien naturel que du monde en plus dans les locaux consomment plus, je ne vois pas en quoi une CT verrait à y redire (dans le pire des cas ça permet aux EPLE rattachés de faire des réserves, y a pas de quoi en faire des troubles du sommeil)
- enfin et surtout, 0,63 € pour les frais pédagogiques du J1. Etant entendu que c'est une somme qui est aussi calculée pour chaque heure de remise à niveau en lettres ou en maths, avec une dépense symbolique quand elle existe, mais que ça fait la moyenne avec les heures stagiaires qui consomment à l'atelier des matières d'oeuvre coûteuses.

Exceptionnellement, sur exigences d'un client qui paie plus cher, on peut ajouter au pot pour permettre à l'établissement de payer l'or massif pour la formation "robinetterie pour appartement de banquier".