Jusqu' à vendredi dernier car depuis c'est plutôt , et là , logés ou pas, je vois pas bien la différence !

M'en parle pas  

Je suis en litige avec l'Administration qui refuse de m'accorder ma NAS. J'en suis au recours hiérarchique.

C'est quand même incroyable en 2015 d'en être à ce point alors qu'on habite à côte de nos EPLE.

Bonjour grrrrr,

Pouvez-vous expliquez plus clairement votre situation car je suis convaincue ( oui oui, je suis une woman , n'en déplaise à ( peut être ) personne )) que de par là existent quelques collègues bienveillants qui pourront peut être vous aider ?

Refus dérogation NAS alors qu'un agent collectivité loge et que le CE a comme par hasard obtenu sa dérog.

Je perds quand même de l'argent tous les mois sur mon salaire.

Recours avec aide syndicale et médiateur.

je suis très heureux dans un appart en loc très sympa,dans une jolie commune,j'ai par ailleurs une maison à 200 bornes,louée,dans une belle région aussi.(sud Papouasie occidentale).
l'appart est à 30 bornes du lycée,je n'ai aucune envie de vivre dans le logement minable,endroit pas terrible,ni d’être séparé de ma femme toute la semaine qui ne viendrai de toues façons pas dans cet endroit.
je compte les années avant la retraite étant bien conscient que si l'obligation de loger me revient,j'ai un problème....ça fait épée de Damoclès,
mais j’attends toujours qu'on me dise pourquoi,même si on en connait des raisons "techniques",un attaché perd des centaine d’euros de salaire en étant logé ,et pas un proviseur ni un cpe....il parait qu'on nous considère en nous bombardant "adjoints gestionnaires" ah ?..
ni pourquoi les logements en général sont si..disons très très moyens !

Je ne suis plus logé depuis janvier dernier mois au cours duquel j'ai changé d'environnement professionnel.
Quel bonheur de ne plus avoir à penser aux lumières pas éteintes ou aux portes pas fermées ou encore de veiller au portail se fermant mal.
Je vis à 14 km de mon travail et dès lors que je sors de mon bureau, mon esprit s'évade, je n'y pense plus du tout ;  en tous les cas beaucoup moins qu'en EPLE.
En rentrant chez moi, je peux m'arrêter faire une course ou autre ce n'est que du plaisir...
Côté finance, il y a forcément une incidence mais moindre au regard du régime indemnitaire de mon nouvel employeur.

La pause déjeuner, quand on est logé, est quand même plus agréable :-)

Je prends une grosse pause déjeuner d'1 h 30 tous les jours chez moi et je déconnecte quasiment pendant tout ce temps (tout en laissant quand même le talkie-walkie allumé à côté de moi au cas où il y aurait une urgence, ça en plus du téléphone fixe "de fonction" branché dans le logement).

J'apprécie également le parking enseignants : quand j'ai des invités, pas de problème pour se garer, j'ai 40 places disponibles.

Pas de problème avec d'éventuels cambrioleurs : clôture de 3 mètres de hauteur, caméras de surveillance, interphone en bas de l'immeuble des logements puis porte sécurisée du domicile pour finir.

Mais c'est vrai que nous avons la chance inestimable d'avoir un agent d'accueil très performant qui s'occupe de toutes les lumières demeurées allumées et portes non fermées et qui fait sa ronde tous les soirs.

Malheureusement cet agent part à la retraite très prochainement et je pense qu'on va être nettement plus "emmerdés" après...

Merci pour votre précieuse intervention , si votre vie en dans cet établissement scolaire vous convient, et bien tant mieux.
Je vous souhaite même  d'obtenir un nouvel excellent agent d'accueil qui vous fermera bien toutes les portes et assumera les amplitudes horaires de votre établissement !

je répète à chaque fois combien je suis choqué quand je lis que le fait d'être logé, c'est pire que le mitard du bagne de l'enfer. Je conçois que ce n'est pas toujours drôle, j'admets bien volontiers que je suis bien content de ne plus être logé et que ça m'em...bêtterait de l'être à nouveau, mais de là à décrire le logement de fonction comme une brimade sans nom... je trouve que c'est vraiment avoir une profonde méconnaissance des difficultés que rencontrent certains de nos compatriotes. Non, désolé, je ne peux pas, je trouve ce discours totalement indécent

Mais il est vrai qu'ici, ce n'est pas tout à fait le même type de discours...

juste un truc : pourquoi avoir lancé un fil de discussion si c'est pour rejeter par principe, sans autre forme de procès et guère plus d'arguments la première opinion qui ne semble pas vous convenir ?

Ah, au fait, je vous souhaite très sincèrement de ne pas vous retrouver un jour dans une situation, quelle qu'elle fut, telle que vous vous retrouviez contraint à demander à réintégrer votre logement

Dup' a écrit:

je répète à chaque fois combien je suis choqué quand je lis que le fait d'être logé, c'est pire que le mitard du bagne de l'enfer. Je conçois que ce n'est pas toujours drôle, j'admets bien volontiers que je suis bien content de ne plus être logé et que ça m'em...bêtterait de l'être à nouveau, mais de là à décrire le logement de fonction comme une brimade sans nom... je trouve que c'est vraiment avoir une profonde méconnaissance des difficultés que rencontrent certains de nos compatriotes. Non, désolé, je ne peux pas, je trouve ce discours totalement indécent

Mais il est vrai qu'ici, ce n'est pas tout à fait le même type de discours...

juste un truc : pourquoi avoir lancé un fil de discussion si c'est pour rejeter par principe, sans autre forme de procès et guère plus d'arguments la première opinion qui ne semble pas vous convenir ?

Ah, au fait, je vous souhaite très sincèrement de ne pas vous retrouver un jour dans une situation, quelle qu'elle fut, telle que vous vous retrouviez contraint à demander à réintégrer votre logement

 

Tout à fait d'accord !

Rien que le titre de la discussion sous entend que l'on est forcément malheureux en logement de fonction...

Après un peu plus de 10 ans en logement de fonction, j'ai sauté le pas et acquis mon propre logement.

Le logement de fonction a représenté un avantage financier indéniable, mais comme pour les témoignages un peu plus haut, a fini par me peser (on ne peut s'empêcher de veiller à l'extinction de l'ensemble des lumières, portail bien fermé, etc). Je finissais par avoir l'impression d'être en astreinte permanente. De plus, lorsque l'entente avec le CE est cordiale, les relations de voisinage ne posent pas de problème, dans le cas inverse...

Aujourd'hui, je déconnecte bien plus facilement lorsque je suis "chez moi", je dois bien l'avouer.

Ed a écrit:

Après un peu plus de 10 ans en logement de fonction, j'ai sauté le pas et acquis mon propre logement.

Le logement de fonction a représenté un avantage financier indéniable, mais comme pour les témoignages un peu plus haut, a fini par me peser (on ne peut s'empêcher de veiller à l'extinction de l'ensemble des lumières, portail bien fermé, etc). Je finissais par avoir l'impression d'être en astreinte permanente. De plus, lorsque l'entente avec le CE est cordiale, les relations de voisinage ne posent pas de problème, dans le cas inverse...

Aujourd'hui, je déconnecte bien plus facilement lorsque je suis "chez moi", je dois bien l'avouer.

Comme Bachelor, j'ai un agent d'accueil qui fait une ronde tous les soirs pour fermer quelques lumières et fermer les portes. Je ne suis pas souvent dérangé. Le logement est un vrai plus lorsqu'il est d'une surface raisonnable et en bon état notamment au centre ville.

je suis logé gratos dans une région de m...e et ça m'a permis d'acheter et faire évoluer une propriété dans une région géniale, je ne vais pas me mettre à chialer!

Je rebondis sur la pause du midi. Je prends également une longue pause le midi. C'est quelque chose que j'apprécie énormément.  La surface de mon logement ( 140 m2 ) en plein centre ville est également appréciable ainsi que le parking privatif...   Cependant, je ne coupe jamais rééllement car mon salon donne sur la cour de l'établissement ainsi que ma chambre.  Mais je pense que le pire puisse être des relations conflictuelles avec le CE  qui ne peuvent que se poursuivre hors boulot.  
Ce logement me permet de retaper tranquillement une maison que j'ai achetée..    En région parisienne, ça doit être un sacré avantage vu le prix des loyers. Ca l'est déjà sur la métropole lilloise où j'habite.

V.M.B a écrit:

je suis logé gratos dans une région de m...e et ça m'a permis d'acheter et faire évoluer une propriété dans une région géniale, je ne vais pas me mettre à chialer!

Presque pareil.

Je suis logé gratos dans une région et un logement magnifique et ça m'a permis d'acheter et faire évoluer une propriété dans une région géniale, je ne vais pas me mettre à chialer!

Mieux: je suis logé gratos dans une région et un logement magnifiques et ça m'a permis d'acheter et de faire évoluer deux propriétés, l'une au bord de la mer, l'autre dans ma ville actuelle.  


Mais j'ose à peine parler de "propriétés" car ces maisons ne sont pas très grandes      

Moi j'interviens juste pour signaler que j'ai justement une maison à vendre dans un petit village viticole à 20 Km de la mer et que si ça intéresse quelqu'un on peut me joindre sur ma messagerie...

néthou a écrit:

Moi j'interviens juste pour signaler que j'ai justement une maison à vendre dans un petit village viticole à 20 Km de la mer et que si ça intéresse quelqu'un on peut me joindre sur ma messagerie...

Ici "Le bon coin", faites vos offres!

quel département ?

Cheshire a écrit:

Rien que le titre de la discussion sous entend que l'on est forcément malheureux en logement de fonction...

C'est le fil des gens qui le ressentent ainsi. C'est bien, ceux qui n'apprécient pas le logement peuvent ainsi voir la lumière au bout du tunnel. Moi qui suis pro-NAS, je n'ai pas l'intention de venir gâcher la fête ici, il en faut pour tous les goûts. Mais quand même  pour remettre un peu de bon sens : "des centaines" d'euros en moins sur le salaire, par rapport aux collègues de Bercy, ma calculette ne les a pas trouvées. D'un point de vue purement économique, la perte en PFR correspond peu ou prou aux charges (énergie, abonnements), et l'on s'économise en dur l'ensemble du loyer.

Citation :

Juste un truc : pourquoi avoir lancé un fil de discussion si c'est pour rejeter par principe, sans autre forme de procès et guère plus d'arguments la première opinion qui ne semble pas vous convenir ?

Ah, au fait, je vous souhaite très sincèrement de ne pas vous retrouver un jour dans une situation, quelle qu'elle fut, telle que vous vous retrouviez contraint à demander à réintégrer votre logement.

Si vous écrivez ça, c'est que vous n'avez pas lu mon histoire. Ce qui prouve que c'est vous qui êtes indécent .
Mais c'est peut être être logé sans motif valable qui est plus indécent encore !

Ed a écrit:

Après un peu plus de 10 ans en logement de fonction, j'ai sauté le pas et acquis mon propre logement.

Le logement de fonction a représenté un avantage financier indéniable, mais comme pour les témoignages un peu plus haut, a fini par me peser (on ne peut s'empêcher de veiller à l'extinction de l'ensemble des lumières, portail bien fermé, etc). Je finissais par avoir l'impression d'être en astreinte permanente. De plus, lorsque l'entente avec le CE est cordiale, les relations de voisinage ne posent pas de problème, dans le cas inverse...

Aujourd'hui, je déconnecte bien plus facilement lorsque je suis "chez moi", je dois bien l'avouer.

Moi, ce que je trouve indécent c'est : un LP de 300 élèves avec 4 personnels logés et 1 dérogation de CE . Un attaché logé ( depuis presque 30 ans ) , un CPE ( parceque syndiqué ) , un agent d'accueil, un personnel ATTEE entretien  et quand on revient des vacances des problèmes identiques à ceux d'un établissement sans personnel logé , ça, c'est là ou je suis actuellement et non logée.
Le "pire" est que ces collègues sont des bons collègues de travail et que je ne suis pas jalouse du tout !

Bien sur, j'ai retrouvé une certaine joie de vivre lorsque j'ai quitté mon logement de fonction parce que l'environnement immédiat était une véritable abjection à mon encontre . Tant mieux pour eux si certains se sentent aussi peinard que mon chef gestionnaire, car de sa zénitude vient aussi ma tranquillité professionnelle ! Je ne vais pas m'en plaindre!
Je pense qu'avoir un logement de fonction a des avantages et des inconvénients mais  qu'il ne faut pas être dupe de ce que l'on met dans sa balance .

Quelle histoire? A part un nombre de smileys qui me ferait croire que vous êtes la femme de M9.6 à donf (à moins que vous ne soyez M9.6 à donf), quelques considérations sur votre tristesse depuis vendredi dernier et un post dépourvu de toute argumentation en réaction à celui de bachelor, je n'ai pas lu grand chose ; et si votre histoire est décrite sur d'autres fil, et bien, oui, j'avoue très franchement que ces jours ci, je me suis plus intéressé à d'autres sujets qu'aux incroyables aventures de No GES foldingue

Je ne vais pas tenter de discuter avec vous car vous n'avez pas l'air d'y être disposé. Je voudrais juste dire que j'ai particulièrement apprécié le post d'ED qui, sans faire masquer les inconvénients du logement, en a reconnu les avantages financiers.

Maintenant, si cet aspect ne vous intéresse pas, je peux vous envoyer mon RIB...

Dup' a écrit:

...Maintenant, si cet aspect ne vous intéresse pas, je peux vous envoyer mon RIB...

C'est prévu par la M9.6, ça???

Non, je ne suis ni M9.6 à donf si sa femme même si oui je suis mariée  .
Oui j'avais un autre pseudo sous lequel j'ai raconté mon errance de gestionnaire harcelé comme l'on fait tant d'autre avant moi , en même temps et après moi .
Ne vous méprenez pas, ceux qui choisissent d'être logé pour l'argent uniquement, n'ont à mon avis peut être pas tous rempli la balance avec tous les critères , et puis après tout, chacun sa pondération !



Ne pas s'apitoyer sur soi et regarder droit devant !