APAE 2015

A ce stade je rappelle que, sans l'aide pugnace d'une formatrice à la prépa académique à cet examen pro, je ne j'aurais certainement jamais eu, ni la première ni la douzième fois. Et cela n'aurait rien eu à voir avec mes états de service ni mes supposées capacités professionnelles.

Je partage l'avis d'IZ. Sans mon AC, ancien membre du jury APAE, je ne serais certainement pas arrivé à avoir ce concours du 1er coup

oui les gars, je suis aussi de votre avis, cela fait partie de la préparation cette écoute des formateurs

Bonjour,

Il est quand même étonnant que dès qu'une personne émet des doutes sur l'objectivité d'une telle promotion, ses propos soient aussitôt vilipendés....Est-il interdit de dire qu'un entretien d'une demi heure n'est en rien légitime pour permettre de juger les qualités d'encadrement d'une personne?
Est-il interdit de dire qu'il y a des personnes dans les écoles de fonctionnaires qui n'ont rien à y faire mais qui sont pourtant titularisées malgré des comportements et des stages catastrophiques?

Titularisé depuis 6 ans, j'ai vu des choses aberrantes, pathétiques. Remettre en cause le système est une chose saine. Si le fait de devenir attaché principal était rationnel ça se saurait...

On a tous vu des collègues qui ont réussi le concours mais qui ne sont pas "compétent" sur le terrain. Bien sur qu'on a droit de "critiquer" les concours. Une fois la critique faite, que proposez vous alors à la place ?

Moi j'ai vu des "compétents" en EPLE se ramasser en service ou vice-versa
Des "incompétents" se révéler n'être pas si mauvais (et là aussi vice versa)

Faut arrêter aussi de penser que le jury est composé de truffes incapable de déceler les immenses qualités qui font de vous une personnalité hors du commun.
Je fréquente des personnes depuis des années sans les connaitre...comment le jury pourrait vous connaitre sans vous avoir jamais vu?
Simplement sur les 30 minutes que vous passez ensemble.
Ce n'est donc qu'à travers ce prisme, forcement faux, de cette demi-heure que vous serez juger et non à l'aune d'une carrière, si riche soit elle.

mgf a écrit:

Bonjour,

Il est quand même étonnant que dès qu'une personne émet des doutes sur l'objectivité d'une telle promotion, ses propos soient aussitôt vilipendés....Est-il interdit de dire qu'un entretien d'une demi heure n'est en rien légitime pour permettre de juger les qualités d'encadrement d'une personne?
Est-il interdit de dire qu'il y a des personnes dans les écoles de fonctionnaires qui n'ont rien à y faire mais qui sont pourtant titularisées malgré des comportements et des stages catastrophiques?

Titularisé depuis 6 ans, j'ai vu des choses aberrantes, pathétiques. Remettre en cause le système est une chose saine. Si le fait de devenir attaché principal était rationnel ça se saurait...

Oui c'est vrai, il y a sûrement des erreurs de casting. Que proposes tu de plus objectif ?

Obtenir une promotion grâce à l’entretien d'évaluation et à des rapports élogieux de son chef d'etablissement ? La pratique montre que parfois (souvent ?) cette appréciation dépend moins des qualités intrinsèques de l'évalué que du caractère de l'évaluateur. A titre personnel en 1 ans je suis passé de top à très nul. Dans le même établissement et les mêmes tâches bien sûr, le CE avait changé entre temps.

Il y a aussi le système de promotion des collectivités avec là une vrai marge de manœuvre des recruteurs pour donner des responsabilités avec à terme (parfois court) le grade correspondant. Et on en arrive à des conseils territoriaux avec des cadres complètement nuls mais originaires de la communes que le  Président...

mgf a écrit:

Est-il interdit de dire qu'un entretien d'une demi heure n'est en rien légitime pour permettre de juger les qualités d'encadrement d'une personne?

Pas interdit, mais inexact.
Le principe du concours et de l'entretien est légitime, mais comme expliqué plus haut, et notamment par vous-même, le système n'est pas infaillible et quelquefois le jury non seulement se plante mais se fait même "piéger" par le candidat.

Quand mon père siégeait au jury du concours externe d'attaché, le "principe" était que c'était le jury qui "menait" (et donc "maîtrisait") la conduite de l'entretien; or il arrivait qu'au hasard d'une question, ce soit le candidat qui mène un peu le jury là où il le souhaitait plutôt que le contraire. Auquel cas loin d'être vexé le jury lui reconnaissait beau joueur ce mérite qui jouait fort en sa faveur.

Le recrutement n'est pas une science exacte et ce dans tous les domaines, regardez l'équipe de France, y'a eu des hauts et des bas   tous au bus!!!
On ne vilipende pas ceux qui critiquent les jurys et leurs décisions mais on ne peut accepter comme cela de mettre en doute l’honnêteté ("à la tête du client") de ceux qui choisissent et le mérite de ceux qui sont choisis.
Comme le dit très justement l'IZ, les suites des carrières (après les concours, examens...) sont contrastées, pleins de surprises (bonnes ou mauvaises)... On doit penser aux suites grh mais on a peu de temps. Les bons "comédiens" passent très bien les oraux mais ne sont pas forcément de bons cadres au quotidien car là on ne peut pas tricher très longtemps.

M9.6 à donf a écrit:

Les bons "comédiens" passent très bien les oraux mais ne sont pas forcément de bons cadres au quotidien car là on ne peut pas tricher très longtemps.

Ah ? Pourtant dans mon cas, ça marche.

mgf a écrit:

Il est quand même étonnant que dès qu'une personne émet des doutes sur l'objectivité d'une telle promotion, ses propos soient aussitôt vilipendés....Est-il interdit de dire qu'un entretien d'une demi heure n'est en rien légitime pour permettre de juger les qualités d'encadrement d'une personne?

Une promotion basée sur un entretien est forcément subjective et l'introduction du RAEP prouve qu'il y a volonté d'améliorer ce point. Mais quel système serait plus adapté ?

Se baser sur les comptes rendus d'évaluation ? R.F. témoigne avec justesse du caractère encore plus subjectif de ce critère.

L'introduction d'épreuves écrites comme dans d'autres ministères ? Ce serait plus objectif sur des connaissances pures mais en est-on encore à mesurer ce genre de choses à ce stade ? Les retours de cette année qui insistent sur le fait que les questions s'orientent de moins en moins vers des connaissances académiques mais de plus en plus sur une mise en perspective de son propre parcours, me laissent penser le contraire. Et je trouve cette tendance bienvenue dans le cadre d'un concours APAE et non AAE.

mgf a écrit:

Est-il interdit de dire qu'il y a des personnes dans les écoles de fonctionnaires qui n'ont rien à y faire mais qui sont pourtant titularisées malgré des comportements et des stages catastrophiques?

Titularisé depuis 6 ans, j'ai vu des choses aberrantes, pathétiques. Remettre en cause le système est une chose saine. Si le fait de devenir attaché principal était rationnel ça se saurait...

J'ai forcément vu des choses un peu étranges mais pas de dérives graves telles que celles évoquées, ce qui ne revient pas à dire que je remets en cause ce témoignage, forcément subjectif

Il est tout aussi sain de savoir remettre en cause le système que de savoir aussi se remettre en cause quand les résultats ne sont pas à la hauteur des espoirs et des efforts fournis. De plus, si chacun peut être fondé à critiquer, il lui appartient dès lors de proposer.

Alors qu'elle est votre proposition ?

Comme dans l'ensemble des métiers, qui est le plus à même de juger quelqu'un que le supérieur hiérarchique? Ne sommes nous pas nous mêmes les supérieurs d'autres personnes? Nos entretiens se basent sur quoi si ce n'est sur le travail fourni par les agents? Si en effet, les évaluations sont tronquées et non scrupuleuses, autant ne pas en faire. Nous savons tous qu'une formidable évaluation ne permettra pas une progression de carrière plus rapide. Mais n'est-ce pas là que le bât blesse?
A partir de là, en effet, il peut arriver, pour diverses raisons, fondées ou pas, que le supérieur en question ne vous supporte pas. Dans ce cas, il existe un N +2...La fonction de gestionnaire ou d'agent comptable (ou le cumul des deux, puisque ce sont celles ci les plus commentées dans ce forum) permet de bénéficier de la reconnaissance d'un certain nombre d'acteurs.

Il n'est quand même pas extrêmement compliqué de juger un "avant et un après" arrivée dans un établissement, une implication, des situations comptables...Autrement dit, un contrôle continu ponctué le cas échéant par un entretien de bilan au rectorat en présence du chef d'établissement. Une promotion au mérite en somme. Juste une anecdote. J'ai eu l'occasion de travailler 4 ans avec une personne de catégorie B brillante et professionnellement irréprochable. Nettement meilleure que de nombreuses catégories supérieures. Cette personne restera sans-doute catégorie B jusqu'à sa retraite puisque totalement désemparée lorsqu'il s'agit de passer un oral. Certes, on pourrait considérer cela comme un défaut mais que lui demande t-on dans son travail?
D'être reconnue par son supérieur et par la communauté éducative...Pas de vanter les mérites de la LOLF ou de la GPEC. Bref, tout cela était déjà risible à l'IRA, ça continue...

Quant à la mise en perspective du parcours, admettons. Du moment que le parcours est rectiligne et prédéfini...

Enfin, les cas "étranges" sont justement très nombreux puisque le seul bémol qui peut être apporté à leur désastreuse contribution est l'entretien d'évaluation dont l'impact est pratiquement inexistant (juste une possibilité éphémère de blocage dans l'échelon).

mgf a écrit:

J'ai eu l'occasion de travailler 4 ans avec une personne de catégorie B brillante et professionnellement irréprochable. Nettement meilleure que de nombreuses catégories supérieures. Cette personne restera sans-doute catégorie B jusqu'à sa retraite puisque totalement désemparée lorsqu'il s'agit de passer un oral. Certes, on pourrait considérer cela comme un défaut mais que lui demande t-on dans son travail?
D'être reconnue par son supérieur et par la communauté éducative...Pas de vanter les mérites de la LOLF ou de la GPEC. Bref, tout cela était déjà risible à l'IRA, ça continue...

Pas d'accord : à un attaché on demande de prendre la parole devant un consil d'administration, lequel se montre parfois qui plus est franchement hostile. Rien de risible à considérer qu'un fonctionnaire, excellent par ailleurs, n'atteindra pas la catégorie A s'il n'est pas raisonnablement capable de relever ce défi.

Quant aux "cas étranges" de passagers clandestins ne foutant rien ou de cinglés bien installés, ma réponse ne variera pas : c'est à l'encadrement de faire le boulot et de déclencher le changement. Si j'encadre une tanche et que je ne suis pas foutu de faire bouger les lignes, alors c'est la preuve irréfutable de mon insuffisance. Si l'on découvre que l'encadrement ne fait pas ce travail essentiel, alors il faut se demander comment faire pour l'y aider.

Je parlais d'une perte de moyens dans le cadre de ce genre d'oral, pas en milieu professionnel. Ses prestations oratoires ou son contact humain avec l'ensemble de la communauté éducative étaient, au risque de me répéter, irréprochables...
Quant aux cas problématiques, si le proviseur ou le gestionnaire ont le pouvoir de les signaler par de multiples rapports d'insuffisance professionnelle , ils ne peuvent rien faire de plus efficace ou de plus rapide. Nous ne sommes pas dans le cadre de la faute grave. Sans omettre les syndicats qui protègent par principe ....

Ces réponses outrecuidantes de "je sais tout, j'ai tout vu et tout vécu" démontrent qu'en effet, la route est longue avant de changer quoique ce soit....

Bye.

L'intendant zonard a écrit:

M9.6 à donf a écrit:

Les bons "comédiens" passent très bien les oraux mais ne sont pas forcément de bons cadres au quotidien car là on ne peut pas tricher très longtemps.

Ah ? Pourtant dans mon cas, ça marche.

moi on m'a grillé depuis longtemps mais tu connais bien mon côté clandestin

En jet lag toute la journée...

Bonjour,

ce message a pour objet le retour d'expérience sur l'examen passé, et réussi (13/20), cette année. Sans jugement sur la qualité du concours, de son organisation, de ses jurys, .... car les règles du jeu sont les mêmes pour tous et surtout il n'est pas possible de les changer par l'intermédiaire de ce forum.

Bref présentation: je suis attaché depuis 20 mois..... j'ai 39 ans et je suis sorti de l'IRA de Lyon en septembre 2013 avec affectation en tant que responsable du contrôle de paye, des recettes et du recouvrement au sein de l'agence comptable de l'Université *******. Auparavant j'ai été professeur des écoles pendant 6 ans dont 2 ans comme directeur et j'ai également une dizaine d'année d'expérience dans le privé.

Déroulement de l'oral:

• mon jury était composé d'un agent comptable d'EPLE, d'un IGAENER et d'une DRH d'Université. Plutôt chanceux donc sur ce coup là d'avoir deux membres issus de l'enseignement supérieur (l'agent comptable d'EPLE n'a d'ailleurs posé aucune question).
  
• J'ai commencé ma présentation orale en disant que j'avais le sentiment de ne pas être à ma place devant le jury pour cette épreuve. Evidemment, cette entrée en matière a eu pour effet d'intriguer le jury. Pourquoi ai-je commencer par dire ça ? Parce que comme ma présentation l'indique, je ne suis attaché que depuis 20 mois donc il me fallait bien trouver une entrée particulière. J'ai ensuite expliqué pourquoi finalement j'étais venu: soutien de ma hiérarchie, volonté de prendre plus de responsabilité et surtout parce que j'avais le sentiment que cet examen ne venait pas "récompenser" le mérite d'une carrière mais bien le potentiel que l'on pouvait trouver chez un candidat.... et là j'ai indiqué en déroulant ma carrière que partout où j'étais passé, mes responsables m'avaient confiés de plus en plus de responsabilités, signe de confiance.... et j'ai conclu sur cette notion de confiance en disant que 30 minutes s'étaient courts pour provoquer la confiance... mais que c'était possible.
  
• Les questions ont quasiment été exclusivement posées par la DRH d'Université qui était très intéressée par mon travail de contrôle de paye pour ****. Je n'ai pas su répondre à deux de ses questions (pourtant facile) mais j'ai su dire que je ne savais pas (c'est toujours mieux que d'inventer). L'IGAENER m'a également posé des questions sur la COMUE. Aucune question sur le premier degré (qui était pourtant dans mon parcours pro) ni sur le second degré (Ouf !! car mes souvenirs étaient vagues.... ).
  
• La dernière question de l'IGAENER a été: que pensez-vous de l'équipe de rugby de LYON !!!! plutôt marrant et surtout plutôt bon signe car j'ai le sentiment que lorsqu'une bonne impression a été faite au jury, les dernières questions sont plus cools, en tout cas, différentes.... Le jury cherche aussi à sonder l'humain qui se cache derrière le fonctionnaire, autrement dit, l'individu qui se cache derrière le masque de la personne.
  

conclusion
A la sortie de l'oral j'étais plutôt confiant car le "feeling" était bien passé avec le jury. J'ai eu beaucoup de chance d'avoir un jury orienté enseignement supérieur. En outre, et si je compare à l'expérience malheureuse de l'année dernière (malheureuse car échec à 11/20 mais toutes les expériences sont bonnes à prendre), j'ai eu le sentiment que l'épreuve avait changé. En effet, l'année dernière s'était, pour moi en tout cas, question pour un champion.... cette année, peut-être les effets du dossier RAEP, j'ai eu le sentiment que c'était plus axé sur la personnalité et la manière d'être.
Encore une fois, le jury était totalement différent donc difficile de comparer (l'année dernière, il n'était pas question de faire de l'humour avec le jury - j'ai essayé - alors que cette année s'était possible... sans rentrer dans la familiarité bien sûr).

Voilà j'espère que ce retour d'expérience permettra à ceux d'entre vous n'ayant pas réussi cette année de se remotiver pour l'année prochaine et de trouver quelques clés. Une de ces clés à mon avis est de lire et relire les rapports de jury pour savoir ce qui attendu exactement.

Bonne journée,

Merci db69, pour ce témoignage éclairant et depuis un point de vue atypique. Une question : qu'est-ce qui te fait penser que l'IGAENR vient du sup ?

je crois qu'il m'a indiqué en tout début d'entretien une de ses missions qui étaient en lien avec l'enseignement supérieur (je ne me souviens plus laquelle). Donc, tu as raison de dire que rien ne permet de dire qu'il "vient" du sup mais en tout cas, il en avait une bonne connaissance.... j'ai donc fait un raccourci intellectuel !!

Cdlt,

Bonjour DB69, merci pour ce retour d'expérience qui permet surtout de ne pas avoir "peur" de cet examen pro.
Par contre, une petite question statutaire, il me semblait que pour passer cet examen, il fallait être depuis 3 ans (appréciés au 31/12 de l'année du concours) Attaché de classe normale, or je lis que vous êtes attaché depuis 20 mois ??
comment avez vous pu participer dans ce cas à cet examen professionnel ?
peut-être que vos années en qualité d'enseignant ont été prises en compte ?
Merci

il s'agit en effet de mes années de professeur des écoles (Cat A).

En sortant de l'IRA en septembre 2013, j'avais l'ancienneté nécessaire ainsi que les conditions d'échelon (échelon 7 en l'occurrence).
J'ai donc pu passer l'examen pro dès le mois de février 2014 soit après 7 mois après ma titularisation dans le corps des attachés.

Cdlt,

Félicitations tout de même pour cette promotion fulgurante

pour l'instant, puisque je ne change pas de poste en septembre, c'est surtout mon banquier qui me félicite   !! parce que passer du salaire d'un professeur des écoles à celui d'un APAE échelon 4, ça vous change la vie !!
Cdlt,

Bonjour,
Est-ce qu'un collègue récemment promu à l'APAE 2015 pourrait donner quelques conseils de rédaction du rapport d'activité en vue de préparer celui de 2016 ??
Merci tout plein

Sujet récemment abordé ici.

masterpoupette a écrit:

Bonjour,
Est-ce qu'un collègue récemment promu à l'APAE 2015 pourrait donner quelques conseils de rédaction du rapport d'activité en vue de préparer celui de 2016 ??

Tout d'abord, il n'est pas inutile de rappeler l'intitulé exact de l'exercice en question :
Dossier de reconnaissance des acquis de l'expérience professionnelle

Ensuite , voyez donc ici ...
http://www.fonction-publique.gouv.fr/publications/collection-ressources-humaines-35

Fiche descriptive     Reconnaissance de l'acquis de l'expérience professionnelle (RAEP) (fiche pratique) - 193.14 Ko

...et /ou là :
https://gestionnaires.actifforum.com/search?mode=searchbox&search_keywords=RAEP&show_results=topics

Merci bien !!!
Une réponse sur un plan un peu hors de l'ordinaire que de tracer ses expériences sur le plan chronologique peut-être ???
Il semblerait qu'il serait idéal de faire part de ses expériences par le biais d'un plan dynamique ....

Bonjour

Quelqu'un aurait-il des news sur la publication du rapport de jury ? Rien à l'horizon pour le moment...

Bonjour,

Je pense que comme d'habitude, il devrait être publié en septembre ou octobre.
Bonne journée à tous.

Merci pour cet énooooOrme taf !!!

Très intéressant 

Mouais, je soupçonne le masque d'argent d'être un membre éminent du jury 2015 pour disposer d'une telle mine de renseignements. Merci pour ces précieuses informations.
D'ailleurs candidat malheureux de la saison 15, il me semblerait opportun de créer le fil APAE 2016.
Et puisqu'on est jamais aussi bien servi que par soi-même, je vous propose de clôturer 2015 et de vous rendre désormais sur APAE 2016.
Vous allez penser que je veux commander mais petit 1 je suis un seigneur sith inter-galactique et petit deux un attaché principal doit être investi pleinement dans ses missions.
Bonnes vacances à toutes et tous, bonnes révisions pour les plus courageux(ses) et à la rentrée pour de nouvelles aventures.