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| L'avenir des chefs | |
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+7Maudinou C'est_pas_compliqué Jess Tionnaire Gastounette OLRIK aazute Fondateur 11 participants | |
Auteur | Message |
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aazute ***
Nombre de messages : 1098 Date d'inscription : 21/06/2006
| Sujet: Re: L'avenir des chefs Lun 5 Mar 2007 - 19:09 | |
| comme quoi tant que l'envie d'aller bosser le matin est là, tout n 'est pas perdu.... comme quoi on peut se contenter de son grade parce qu'on en a fait le choix, et ne pas se sentir floué et malheureux pour autant..... | |
| | | Slash *
Nombre de messages : 265 Localisation : Right next door to hell Date d'inscription : 27/01/2007
| Sujet: Re: L'avenir des chefs Lun 5 Mar 2007 - 20:09 | |
| - Gastounette a écrit:
- en privilégiant la promotion interne de tous ces gens qui donnent au quotidien les preuves de leur compétence [...] Il faudra bien remplacer les AAENES qui partent à la retraite, pourquoi pas en priorité par ces personnes compétentes qu'il va falloir redéployer de toute façon?
Malheureusement, à la différence d'autres ministères et des entreprises, le MEN et les Rectorats n'ont pas mis en place une gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC). Les services de GRH se limitent à une gestion administrative du personnel. Dans quelques années, beaucoup de collègues partiront à la retraite, et les établissements perdront donc énormément de compétences. On verra dans quelle situation se trouveront les AAENES fraichement nommés, et les CASU nouvellement promus (issus par exemple d'une préfecture ). | |
| | | YAKA **
Nombre de messages : 751 Localisation : au four et au moulin Date d'inscription : 06/12/2006
| Sujet: Re: L'avenir des chefs Lun 5 Mar 2007 - 21:10 | |
| - aazute a écrit:
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comme quoi tant que l'envie d'aller bosser le matin est là, tout n 'est pas perdu....
comme quoi on peut se contenter de son grade parce qu'on en a fait le choix, et ne pas se sentir floué et malheureux pour autant..... ...pas forcément le choix, qd on est GM SEUL dans un clg paumé, avec des semaines qui ressemblent à des mois de travil; ben....j'admire ENORMEMENT les collègues qui ont eu le couage et la volonté , en plus, de s'investir pour préparer un concours ; en ce qui me concerne, rétamée l'année ou j'ai été reçue SASU, submergée dés a 1èee année par un lyucée démentiel, j'ai laissé tomber ; je n'en veux qu'à moi ; dans mon clg actuel, c'est guère mieux côté boulot, mais j'ai fait le choix de passer les week end en famille....alors.... Mais tt de même emplyer des personnes pour faire un boulot destiné à une cat prof "supérieure", ce sont tt de même de belles économies, et ce, pour tous les grades. si je n'aimais pas ce que je fais, y'a longtemps que j'aurais laissé tomber. Mais, je suis et reste heureuse, au moins mon boulot (de dingue) me plait | |
| | | Ana64 **
Nombre de messages : 415 Localisation : Près, tout près des vagues ... Date d'inscription : 20/07/2006
| Sujet: Re: L'avenir des chefs Lun 5 Mar 2007 - 21:36 | |
| Bravo Gastounette ! Pendant toutes les années où j'étais SASU GM, je croyais très naivement qu'un jour on bénéficierait d'une certaine reconnaissance et que l'on serait promue ... en vain ! J'ai donc décidé un beau jour de passer le concours d'AASU et je l'ai eu. Bien sur il a fallu quitter mon petit collège sympa pour un collège "usine à gaz" mais bon ....
Par contre, je persiste et maintiens que les SASU gm DOIVENT, pour avoir fait la preuve de leurs compétences, en particulier dans les petits bahuts où il faut savoir tout faire, être promus SANS TARDER au grade d'ADAENE. Ce serait la moindre des choses | |
| | | YAKA **
Nombre de messages : 751 Localisation : au four et au moulin Date d'inscription : 06/12/2006
| Sujet: l'avenir des chefs Lun 5 Mar 2007 - 22:34 | |
| - Ana64 a écrit:
- Bravo Gastounette ! Pendant toutes les années où j'étais SASU GM, je croyais très naivement qu'un jour on bénéficierait d'une certaine reconnaissance et que l'on serait promue ... en vain ! J'ai donc décidé un beau jour de passer le concours d'AASU et je l'ai eu. Bien sur il a fallu quitter mon petit collège sympa pour un collège "usine à gaz" mais bon ....
Par contre, je persiste et maintiens que les SASU gm DOIVENT, pour avoir fait la preuve de leurs compétences, en particulier dans les petits bahuts où il faut savoir tout faire, être promus SANS TARDER au grade d'ADAENE. Ce serait la moindre des choses bon ne révons pas par contre nos chefs bien-aimés tentent par tous les moyens de faire transformer le poste d'AA de leur secrétariat en poste de SASU (plus chic pour eux) (et ainsi une façon suppl pour certains tordus de continuer, à tenter l'intimidation avec leur GM B)...s'uis entièrement d'accord, les secrétaires d'étab font un boulot de B...mais restons logique : si transfo, alors aussi transfo pour les GM!!!! si non, je n'ose même pas imaginer la situation. Le syndiquat des CE est certainement + écouté que les notres !!! | |
| | | sasu-suz Invité
| Sujet: Re: L'avenir des chefs Lun 5 Mar 2007 - 22:37 | |
| j'ai répondu à Miss Parker sur le sujet du concours interne d'AENES mais ma réponse convient certainement mieux sur ce sujet de l'avenir les candidats au concours d'AENES enfin en ce qui me concerne sont bien découragés !!! faut-il vraiment s'accrocher pour ce concours ? j'ai le sentiment de ramer en pleine tempête depuis que j'ai pris connaissance du relevé de conclusions. faut-il s'accrocher à la fonction publique d'Etat dans ces conditions ? SASU GM dans un petit bahut rural 230 élèves, j'ai pris un grand coup derrière la tête. Je vais me relever !! mais pour le moment je suis plutôt gagnée par le découragement. Moi qui aime mon métier malgré les difficultés, j'aime relever le défi mais quand je constate le peu de cas que l'on fait de notre volonté de toujours faire mieux, c'est déprimant. Mais hauts les coeurs !!! demain il faut que je retrouve ce plaisir - j'avoue tout de même que l'idée m'a effleurée "d'aller voir ailleurs" une réorientation professionnelle peut-être?? |
| | | C'est_pas_compliqué **
Nombre de messages : 504 Date d'inscription : 29/10/2006
| Sujet: Re: L'avenir des chefs Mar 6 Mar 2007 - 6:03 | |
| - Slash a écrit:
- Malheureusement, à la différence d'autres ministères et des entreprises, le MEN et les Rectorats n'ont pas mis en place une gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC). Les services de GRH se limitent à une gestion administrative du personnel.
Dans quelques années, beaucoup de collègues partiront à la retraite, et les établissements perdront donc énormément de compétences. On verra dans quelle situation se trouveront les AAENES fraichement nommés, et les CASU nouvellement promus (issus par exemple d'une préfecture ). Je me demande si la nouvelle organisation en Budgets Opérationnels de Programme (BOP académique) ne va pas compliquer cette affaire de recrutements prévisionnels pourtant déjà insuffisants . Le MEN a fait des progrès en matière de prévisions mais les décisions qui devraient en découler ne suivent pas convenablement . Comment par exemple sont comptabilisés les gens entrant en "surnombre" pour anticiper les départs prochains dans chacune de ces académies ? Ils vont plomber la performance du BOP . Avantage donc à l'académie qui n'anticipe pas si j'ai bien compris . CpC | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: L'avenir des chefs Mar 6 Mar 2007 - 8:37 | |
| La performance du BOP ne s'apprécie pas directement au regard des compressions de personnels.
Il n'y a à ma connaissance aucun indicateur de performance de la sorte dans le programme enseignement public du 2nd degré ou dans le programme vie de l'élève. J'ai pourtant scruté les bleus budgétaires 2006 et 2007. Tout ce que j'ai trouvé c'est l'augmentation des postes d'infirmières et d'assistantes sociales pour les établissement en ZEP (bleu 2006, enseignement second degré).
Par contre la fongibilité asymétrique est clairement faite pour cet objectif. Dire que l'on peut utiliser les crédits de personnels pour autre chose, mais interdire l'inverse avec en plus un effet cliquet sur ces mêmes dépenses de personnels, là oui le but c'est d'atteindre la masse critique à plus ou moins long terme.
Quant à la GPEC, elle est difficile à mettre en place rien que pour les EPLE. Rien n'est défini quant à la répartition des tâches, et du coup difficile de fixer les compétences (la réforme de l'évaluation et les fiches de postes vont dans le bon sens pour ça).
Mais le hic c'est le Mammouth, même si notre nombre est réduit, nous les administratifs , ITARF et autres choses non-pédagogues sommes tout de même bien nombreux. Je me demande même si on ne dépasse pas les effectifs de l'équipement (115 000, avant la décentralisation) qui comprend administratif et leurs "enseignants", ingénieurs, techniciens. |
| | | aazute ***
Nombre de messages : 1098 Localisation : gardianne et costieres Date d'inscription : 21/06/2006
| Sujet: Re: L'avenir des chefs Mar 6 Mar 2007 - 9:12 | |
| yaka
""mais j'ai fait le choix de passer les week end en famille....alors....""
et oui, c'est un choix, comme je le disais plus haut.
je ne pense pas que la politique prévisionnelle GRH de notre ministère soit dictée, ni par la reconnaissance du service fait (et bien fait), ni par l'idée éventuelle de favoriser la carrière des individus
elle obéit à une logique comptable point/ | |
| | | invité Invité
| Sujet: Re: L'avenir des chefs Mar 6 Mar 2007 - 11:09 | |
| - Citation :
- une cat B qui fait le boulot d'un A, c'st moins cher ; idem pour les C qui font le boulot de B
Un SASU GM dans tous les collèges un AENES GM dans tous les lycées Un APASU GM de son établissment et GC pour au moins 3 établissements. Un CASU GM ET GC entre 5 et 10 établissements De belles économies en |
| | | C'est_pas_compliqué **
Nombre de messages : 504 Date d'inscription : 29/10/2006
| Sujet: Re: L'avenir des chefs Mar 6 Mar 2007 - 20:26 | |
| - Jean-Mic a écrit:
- La performance du BOP ne s'apprécie pas directement au regard des compressions de personnels.
Il n'y a à ma connaissance aucun indicateur de performance de la sorte dans le programme enseignement public du 2nd degré ou dans le programme vie de l'élève. J'ai pourtant scruté les bleus budgétaires 2006 et 2007. Tout ce que j'ai trouvé c'est l'augmentation des postes d'infirmières et d'assistantes sociales pour les établissement en ZEP (bleu 2006, enseignement second degré). Par contre la fongibilité asymétrique est clairement faite pour cet objectif. Dire que l'on peut utiliser les crédits de personnels pour autre chose, mais interdire l'inverse avec en plus un effet cliquet sur ces mêmes dépenses de personnels, là oui le but c'est d'atteindre la masse critique à plus ou moins long terme. Quant à la GPEC, elle est difficile à mettre en place rien que pour les EPLE. Rien n'est défini quant à la répartition des tâches, et du coup difficile de fixer les compétences (la réforme de l'évaluation et les fiches de postes vont dans le bon sens pour ça). Mais le hic c'est le Mammouth, même si notre nombre est réduit, nous les administratifs , ITARF et autres choses non-pédagogues sommes tout de même bien nombreux. Je me demande même si on ne dépasse pas les effectifs de l'équipement (115 000, avant la décentralisation) qui comprend administratif et leurs "enseignants", ingénieurs, techniciens. En fait, ma réflexion n'était pas directement liée à l'incidence de compression de personnel sur le BOP qui nous concerne ici en tout premier, celui qui découle du programme "second degré public" . Mais au contraire la présence de personnels en surnombre . Essentiellement des profs recrutés en prévision du départ des papys qui va faire boum . En fait compression et surnombre sont liés, je le crains . Le BOP en question comme celui qui dérive du programme "vie de l'élève" est décliné dans chaque académie . Où le recteur se retrouve chef bi-bop pour les collèges-lycées . Il y aura donc à partir de maintenant comparaison entre les performances de chaque académie via les BOP . Sans entrer dans le détail des indicateurs (peu nombreux) et de leur pertinence (ou leur non pertinence), ni dans la fiabilité du renseignement qui les nourrira en provenance des EPLE et des boutiques rectorales, ni dans le fait que les différentes académies ne partent pas à égalité de dotation au regard des différentes populations scolaires, il va y avoir comparaisons de fait des performances académiques, quelques soient leurs imprécisions voire erreurs, fatales, au moins les premières années . Alors, je reviens à mon propos premier, les surnombres : Soit deux académies comparables en termes de population scolaire et de type de population, et en terme de dotation . L'une, fourmi (de gré ou de force), incorpore des personnels profs en surnombre et en voie de formation/insertion dans le système pour anticiper le départ des vieux schnocks . Elle charge sa balance . L'autre, cigale (de gré ou de force), fait dans le flux tendu . Le rendement annuel de la seconde sera validé bien meilleur que celui de la première si l'on se fie aux indicateurs performance élèves comparés aux finances engagées, à supposer bien sûr la même excellence des équipes pédagogiques et gestionnaires et des exécutions de leurs projets d'établissements respectifs qui entraîneront des résultats équivalents aux examens des valeureux pioux-pioux. Que fera la première, épinglée à la première publication des résultats comparés des deux académies ? Je l'ignore, mais comme elle risquera de se voir pénalisée et priée de faire des efforts elle ira faire des économies ailleurs . Où ira t'elle chercher à votre avis ? Par exemple, dans l'arrière cuisine de la boutique . Et hop, si j'ai trop de profs parce que je prévoie, je me vois contraint de compresser à l'intendance ... Le BOP étant fait de neuf dixième de salaires si mes souvenirs sont bons . J'aimerais bien que quelqu'un m'assure que je me trompe dans mon approche de l'affaire . CpC | |
| | | Hippos Admin
Nombre de messages : 3916 Localisation : Un peu plus à l'ouest, je vous prie. Date d'inscription : 03/05/2006
| Sujet: Re: L'avenir des chefs Mar 6 Mar 2007 - 21:36 | |
| Bonsoir, Je ne sais pas si tu te trompes, mais j'aurais une approche différente.
De ce que je vois de la gestion des surnombres dans mon académie (et il n'y a pas de raison de croire que ce soit différent ailleurs), il n'y a pas forcément de différence budgétaire entre les deux académies de ton exemple.
Ce que nous appelons surnombres, ce sont les personnels enseignants que le ministère nous impose alors que nous n'avons pas les emplois budgétaires pour les « asseoir ». Avant la LOLF, on s'en inquiétait peu. Mais depuis, avec la perspective menaçante du contrôleur financier, on veille à prévoir la rémunération de ces gens-là dans le budget académique. Eh oui, avec la LOLF, on ne raisonne plus seulement en plafond d'emplois mais aussi en masse salariale.
Donc on « gage » des HSA pour payer les profs en surnombre (à raison, grosso modo, d'une quarantaine d'HSA par tête de pipe). La balance est chargée en humains, mais pas en moyens financiers, qui ne changent pas. Donc si le ministère mesure les résultats scolaires à l'aune des BOP, la 1ère académie de ton exemple ne sera pas nécessairement plus mal vue que la 2nde car elle ne paraîtra pas nécessairement moins rentable, les dotations restant équivalentes.
On pourrait même conclure à l'inverse : à résultats équivalents, la 1ère académie (celle avec surnombres) est plus efficace car elle a obtenu les même résultats avec moins d'heures devant élèves. En effet, par définition des surnombres, le ministère ne donne pas les HP (les emplois) qui vont avec, donc il faut puiser dans les HSA pour les payer ; or, en masse salariale, 1 HP = env. 2 HSA. Pour chaque prof en surnombre, on perd l'équivalent d'un prof en heures devant élèves ! _________________ Hippos Il faudrait essayer d'être heureux, ne serait-ce que pour donner l'exemple. (Jacques Prévert)Les règles de modération sur le forum.C'est le propre et la richesse d'un forum que de partager les vécus et conseils qui peuvent parfois diverger, il ne faut pas s'emballer pour cela. Participez dans le respect de l'autre, dépersonnalisez et dépassionnez vos interventions, vous aurez alors à apporter aux autres. ©Alomero. | |
| | | Gastounette **
Nombre de messages : 825 Localisation : droit vers la sortie de secours Date d'inscription : 27/11/2006
| Sujet: Re: L'avenir des chefs Mar 6 Mar 2007 - 21:50 | |
| J'avoue ne pas être suffiesemment compétente sur ce sujet pour contredire CpC ou Hippos: je les crois tous les deux sur parole et je suis sûre d'avoir raison Mais quelque chose me chiffonne dans le raisonnement de Cpc: - C'est_pas_compliqué a écrit:
- Soit deux académies comparables en termes de population scolaire et de type de population, et en terme de dotation .
L'une, fourmi (de gré ou de force), incorpore des personnels profs en surnombre et en voie de formation/insertion dans le système pour anticiper le départ des vieux schnocks . Elle charge sa balance . L'autre, cigale (de gré ou de force), fait dans le flux tendu . Le rendement annuel de la seconde sera validé bien meilleur que celui de la première si l'on se fie aux indicateurs performance élèves comparés aux finances engagées, à supposer bien sûr la même excellence des équipes pédagogiques et gestionnaires et des exécutions de leurs projets d'établissements respectifs qui entraîneront des résultats équivalents aux examens des valeureux pioux-pioux. Cette démonstration part du postulat que des élèves aux "caractéristiques" identiques ne peuvent qu'avoir les mêmes résultats, quel que soit le nombre de profs qu'on leur affecte. Alors que j'imaginais que plus de profs voulait dire classes moins chargées, apprentissage facilité, suivi individualisé, performance accrue. Donc, soit cet élément est pertinent et le raisonnement de CpC ne se tient pas (du moins dans la démonstration car je crois que la conclusion est bonne par contre), soit j'ai tort et cela revient à dire qu'au delà d'un certain nombre, des profs en plus ne servent à rien. Pas certaine que cette conclusion soit plus heureuse mais elle a peut-être l'avantage d'expliquer pourquoi, malgré des sommes toujours plus importantes, l'EN peine à atteindre ses objectifs. Ceci expliquant cela, c'est peut-être le pourquoi et la justification des indicateurs de performance: mettre ce problème en évidence (et pas seulement pour l'EN bien sûr) en mettant en avant l'efficience et non plus la seule efficacité (bon d'accord, j'arrête de dire des gros mots). | |
| | | Jess Tionnaire **
Nombre de messages : 555 Date d'inscription : 30/03/2006
| Sujet: Re: L'avenir des chefs Mar 13 Mar 2007 - 11:23 | |
| Je fais remonter le sujet : les collègues de la zone B n'ont peut-être pas eu l'occasion de lire le BO du 22 février... | |
| | | C'est_pas_compliqué **
Nombre de messages : 504 Date d'inscription : 29/10/2006
| Sujet: Indicateur de performance BOP Inspection LOLF Académie Mar 13 Mar 2007 - 12:01 | |
| - Jess a écrit:
- Je fais remonter le sujet : les collègues de la zone B n'ont peut-être pas eu l'occasion de lire le BO du 22 février....
C'est une bonne idée. - Jean-Mic a écrit:
- La performance du BOP ne s'apprécie pas directement au regard des compressions de personnels.
Il n'y a à ma connaissance aucun indicateur de performance de la sorte dans le programme enseignement public du 2nd degré ou dans le programme vie de l'élève. (...) à propos d'indicateurs de performance dont parle Jean-Mic , je viens de scanner un volumineux papier mais bien fait pour qui veut bien capter leur fabrication, leur utilisation, les dérives possibles dans leur exploitation . Comme on en causait il y a longtemps chez les CPE, je l'ai publié là-bas, forum CDI. http://forumcpe.actifforum.com/le-CDI-f4/Les-Indicateurs-Performance-de-l-etablissement-LOLF-p2350.htm#2350 ou http://forumcpe.actifforum.com/le-CDI-f4/Les-Indicateurs-Performance-de-l-etablissement-LOLF-p2351.htm#2351 Il faut remonter en tête de gondole, le truc pèse quatre contributions
CpC | |
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