Vol de denrées dans un lycée de l'Isère

Vu sur le site du Figaro :

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2011/12/13/01016-20111213ARTFIG00331-les-quatre-ripoux-d-une-cantine-condamnes.php

C'est bien le volatile ; t'es aussi fort que le Saturnin. Comme quoi l'expression "cervelle d'oiseau" renferme une réalité incontestable.

Le Nanard avait mis cette actualité en info du jour.... mais lui, comme c'est un bolchévique, il n'avait pas cité Le Figaro.

Aïe...
"Pan sur le bec" comme dirait le Canard Enchainé.



Faut que j'apprenne à être plus vigilant, moi, surtout que le vieux chien étoilé a tout son temps pour vérifier les infos

Cela me rappelle "madame la proviseur " avec l'intendant en blouse blanche et son doigt dans le pot de confiture...quelle image qui à l'époque un des nôtres avait fait une belle feuille au journal "le monde" au courrier des lecteurs.

OLRIK a écrit:

Cela me rappelle "madame la proviseur " avec l'intendant en blouse blanche et son doigt dans le pot de confiture...quelle image qui à l'époque un des nôtres avait fait une belle feuille au journal "le monde" au courrier des lecteurs.

À l'époque, pas mal de proviseurs et de principaux ont découvert le sérieux de ce genre de séries. De l'anthropologie à la petite semaine, de la sociologie de bistrot. Avant ils souriaient des aventures et déconvenues des autres. Là c'était eux les devenus khons, car trop caricaturaux.

La proviseure à elle seule faisait tout. Tout bien. Les autres beaucoup moins bien. Le scénario ? C'était cela en arrière plan.

Tellement loin des réalités, du moins des réalités de leurs vécus, perso, en propre, d'eux-mêmes, quoi ! De leur vraie vie. Tellement qu'ils ont compris ce que pouvaient bien ressentir les gabelous, les flics, les gendarmes, les juges, voire les toubibs, les infirmières ou les concierges, lorsque leurs professions respectives étaient mises en scène, à longueur de feuilleton.


Mais pourquoi payent-ils donc tous la redevance télé ?


Bref .

Joëlle Mazart, assistante sociale sans faiblesse de la série "Pause-café", se heurtant à un proviseur et une administration caricaturaux à souhait, avait ouvert le bal de ces productions télévisuelles débiles "peu consistantes".

A l'époque, je ne me rendais compte de rien, j'avais 14 ans.

Certains proviseurs (surtout au féminin d'ailleurs) ont tiré la couverture à eux depuis...