Super, je plains ceux qui n'ont toujours pas compris la mise en oeuvre de la 1er... de même les jours fériés lors des textes de l'ARTT en 2000-2002.
Certainement les mêmes qui mettre en oeuvre la RCBC alors qu'ils n'ont pas assimilé les textes de 1985 et 1988 et je ne parle pas de celui 1962,1953 et 1875...mais c'est un autre débat!

Encore une fameuse mesure symptomatique du c......mollisme ambiant.

Ces mesures à l'eau tiède m'insupportent au plus haut point. Voilà en gros comment ça se décide :

1°)On identifie un problème.

2°)On trouve une solution (simple) au problème. Sauf que la solution en question dérange le lobby X, et M. Y, ami d'enfance du ministre, ou encore telle profession qui menace de tout casser si on lui donne pas satisfaction...

3°)On construit une usine à gaz censée résoudre le problème initial parce qu'il faut bien faire quelque chose mais pas se coltiner tous ces inconvénients (genre une décision impopulaire avec sa clientèle son électorat), usine à gaz qui, au final, engendrera de nouveaux problèmes en cascade, sans peut-être apporter un quelconque début d'ombre de possibilité d'esquisse de réponse au problème visé en 1°).

Rinse and repeat... Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué?

Marre du entre deux chaises. Soit on supprime des jours fériés de manière claire, soit on ne les supprime pas, point.

Et on arrête les soirées biture au MIN.E.F.I., parce que je ne vois pas autre chose qu'une bande d'énarques avinés pour pondre de telles bouses (si, à part les mecs qui conçoivent les notices chez Ikéa, mais eux ils ont une excuse, ils sont suédois).

donc, si j'ai bien compris, bientôt on parlera des 1614h...

Curieux que ce truc sorte en période pré-électorale...

Moi j'aimerais bien ne travailler que 1614 heures....

entropie a écrit:

donc, si j'ai bien compris, bientôt on parlera des 1614h...

Dans le JDD ce matin, cette mesure est abandonnée.Mais attendons demain....

Gentil Intendant a écrit:

Encore une fameuse mesure symptomatique du c......mollisme ambiant.

Ces mesures à l'eau tiède m'insupportent au plus haut point. Voilà en gros comment ça se décide :

1°)On identifie un problème.

2°)On trouve une solution (simple) au problème. Sauf que la solution en question dérange le lobby X, et M. Y, ami d'enfance du ministre, ou encore telle profession qui menace de tout casser si on lui donne pas satisfaction...

3°)On construit une usine à gaz censée résoudre le problème initial parce qu'il faut bien faire quelque chose mais pas se coltiner tous ces inconvénients (genre une décision impopulaire avec sa clientèle son électorat), usine à gaz qui, au final, engendrera de nouveaux problèmes en cascade, sans peut-être apporter un quelconque début d'ombre de possibilité d'esquisse de réponse au problème visé en 1°).

Rinse and repeat... Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué?

Marre du entre deux chaises. Soit on supprime des jours fériés de manière claire, soit on ne les supprime pas, point.

Et on arrête les soirées biture au MIN.E.F.I., parce que je ne vois pas autre chose qu'une bande d'énarques avinés pour pondre de telles bouses (si, à part les mecs qui conçoivent les notices chez Ikéa, mais eux ils ont une excuse, ils sont suédois).

100% d'accord avec toi sauf pour la stigmatisation des énarques qui relève du gros populisme bien épais.

Je partage ton avis sur les mesures à l'eau tiède et le poids des lobbies, qui conduisent à l'adoption de demi-mesures "usines à gaz" d'efficacité douteuse et qui s'empilent avec toutes celles déjà prises.

Cette complexité inutile induit une inefficacité de l'administration qui ne lui est pas imputable et qui ruine sa réputation. les responsables n'en sont pas les énarques mais bien les politiques et les administrés-électeurs qui ne regardent pas plus loin que le bout de leur nez et se laissent manipuler soit par des lobbyistes soit par des politiques, généralement par les deux...

Morale de l'histoire : la solidarité ne se décrète pas .

Stoïk a écrit:

100% d'accord avec toi sauf pour la stigmatisation des énarques qui relève du gros populisme bien épais.

Petite précision, il s'agit plus d'ironie qu'autre chose... il ne faut pas prendre au sérieux tout ce que j'écris, loin de là même...

Une fois, j'ai même traité de "fonctionnaire" un interlocuteur du privé au sujet de son formalisme bureaucratique pénible.

Vu le métier que nous exerçons, mieux vaut faire preuve d'auto-dérision, et en rire qu'en pleurer...

Stoïk a écrit:

les responsables n'en sont pas les énarques mais bien les politiques et les administrés-électeurs
qui ne regardent pas plus loin que le bout de leur nez et se laissent
manipuler soit par des lobbyistes soit par des politiques, généralement
par les deux...

Tiens, en parlant de populisme bien épais, tes propos me rappellent cette antienne de pilier de bistro : "Que moi, que si j'étais le gouvernement, que ça serait pas pareil"...

OLRIK a écrit:

Super, je plains ceux qui n'ont toujours pas compris la mise en oeuvre de la 1er... de même les jours fériés lors des textes de l'ARTT en 2000-2002.
Certainement les mêmes qui mettre en oeuvre la RCBC alors qu'ils n'ont pas assimilé les textes de 1985 et 1988 et je ne parle pas de celui 1962,1953 et 1875...mais c'est un autre débat!

Exactement.

S'ils s'emmellent dans les 1600 1607 bientôt 1614 - à moins que ce ne soit que fuites mal-intentionnelles - moinsse les cadeaux très variables des CT, c'est qu'en plus de coûteux et à l'origine comme on va nous l'expliquer des déficits français, c'est qu'ils ne fonctionnent pas bien (à lire au deuxième degré ou au troisième) et qu'ils n'ont pas tout compris.

Bref .

Gentil Intendant a écrit:

...

Stoïk a écrit:

les responsables n'en sont pas les énarques mais bien les politiques et les administrés-électeurs
qui ne regardent pas plus loin que le bout de leur nez et se laissent
manipuler soit par des lobbyistes soit par des politiques, généralement
par les deux...

Tiens, en parlant de populisme bien épais, tes propos me rappellent cette antienne de pilier de bistro : "Que moi, que si j'étais le gouvernement, que ça serait pas pareil"...

Le populisme, c'est "tout de la faute des politiques", "tous pareils", "tous pourris" et autre assertions simples et définitives... certainement pas la mise en cause de l'électeur (c'est à dire nous).

Ma remarque n'est donc qu'à demi populiste.


Et "pilier de bistrot", ça s'écrit avec un t, banane

Les graphies BISTRO et BISTROT sont attestées et acceptables en français en tant que synonymes de BISTROQUET.

L'étymologie du mot est discutée. Une variante est que le mot signifierait "Vite" en russe.

Une étymologie populairele fait dériver du russe bistro (en cyrillique : быстро) signifiant « vite » et datant de l’occupation russe de Paris (1814—1818). Les soldats russes n’avaient pas le droit de boire et étaient donc pressés de le faire, craignant l’arrivée d’un gradé.
Énervés, ils criaient alors : « быстро, быстро ». Cette étymologie, avance Alain Rey, « doit être écartée pour des raisons chronologiques, en l’absence d’attestations du mot pendant près de trois quarts de siècle. »
Source : Wikipédia

Accessoirement, le russe n'accentue pas la syllabe finale, le "o" se prononçant plutôt "a".

Ceci étant j'ai toujours entendu cette origine étymologique au mot.

Pour en revenir au sujet initial, l'information que cette seconde journée de solidarité serait supprimée le lendemain de son annonce n'est pas surprenante; la posture adoptée par Vous-Savez-Qui (pour parler comme dans Harry Potter) est celle du catastrophisme et corrélativement du Seul qui aura, pauvre martyr des sondages, le courage d'y répondre par des décisions difficiles, un budget rigoureux (pour qui ?), mais-il-faut-en-passer-par-là.

Par conséquent, balancer dans l'opinion publique des propositions à faire peur ou des bouteillons censés faire "prendre conscience" que la situation économique est très sérieuse et qu'"en face" on promet n'importe quoi démagogiquement, ça va bien dans la logique. En plus ce sera surtout les fonctionnaires qui trinqueront, ceux-là, on peut taper dessus à loisir. Enfin, ceux qui restent...

Grincheux a écrit:

Les graphies BISTRO et BISTROT sont attestées et acceptables en français en tant que synonymes de BISTROQUET.

L'étymologie du mot est discutée. Une variante est que le mot signifierait "Vite" en russe.

Voilà une semaine commence mal pour moi!

Stoïk a écrit:

Voilà une semaine (...) commence mal pour moi!

Une semaine QUI commence mal...

C'est bien ce que je disais, la semaine commence mal!

Je sens que je vais aller au bistrot, tiens...

La commission permanente et le chef d'établissement ont-ils vraiment besoin d'un bled?