Bonjour,
Dans mon établissement où je suis arrivée en septembre les tarifs Demi pension ont été votés en juin, "expérimentation"avec DP 2 jours et 3 jours (en plus des DP 4 et 5)
1ère interrogation: base de découpage: 270 jours/an...?!(sep/déc: 105, puis 90j puis 75 j)
Je m'interroge sur le calcul du prix journalier à rentrer dans GFE
Exemple: DP 2 jours: prix à l'année 229.50, prix pour 105 j :89.25 euros
Pour calcul prix journalier: 89.25:105= 0.85  (DP: 2 jours) oui, mais, si on suit même procédure pour DP 5jours: 157.50 euros: 105 jours= 1.5 Alors donc, dans ce cas on n'est plus dans le bénéfice du forfait? merci
 

Déjà, laisse tomber GFE et passe à Sconet. Sconet, ça a été la galère la première année sur la partie "secrétariat" mais maintenant, ça fonctionne et pour les droits constatés, c'est très bien.

Donc on passe à Sconet et on oublie ces débilités de 270 jours.

Deuxième point les forfaits modulés. La base absolue de la réussite des forfaits modulés, c'est qu'il n'y ait pas proportionnalité des tarifs, sinon c'est la gamelle assurée. Des forfaits modulés doivent impérativement tenir compte de la part fixe du service qui ne va pas baisser au prorata quand le nombre de repas hebdomadaire va diminuer. Une règle qui en vaut une autre c'est que 20% de repas en moins (4 repas au lieu de 5) n'entraine pas une diminution de plus de 12-14%. On peut reprendre le coefficient pour les autres forfaits,c'est à dire pour chaque repas en moins 14% de diminution du prix ou travailler sur un autre mode de calcul du prix mais il faut que ces propositions (en plus d'assurer l'équilibre du service ce qui est validé par d'habiles simulations) soient acceptées par le CA et validées par la CT.

Si les prix des forfaits qui doivent être rentrés dans le bousin ne répondent pas aux critères arithmétiques et administratifs, les problèmes qui se profilent seront bien plus ennuyeux qu'une question informatique.

Les 270 jours correspondent à une base forfaitaire "universelle" qui ne s'impose plus.

Dans mon établissement, nous décomptons le nombre de jours "réels" d'ouverture du service d'hébergement et je calcule le montant des remises d'ordre de manière à ce qu'il soit équivalent au montant de la pension (ou demi-pension) annuelle divisé par le nombre de jours "ouvrables".

C'est plus clair pour les parents.

Reste le problème des jours de la fin juin, où les élèves ne sont plus présents dans l'établissement, sauf les jours d'examen, et pour lesquels nous n'accordons pas de remise d'ordre. Mais si des élèves se présentent à la restauration, nous sommes évidemment ouverts et nous ne refusons aucun rationnaire...

merci beaucoup

Bonjour,
Je procède de la même façon ; je compte 5 jours de repas * 36 semaines = 180 jourq, desquelles j'enlève les jours vaqués.
Par ailleurs, je fais aussi attention à repartir mes jours en 3 trimestres, de manière à :
- Faire en sorte que le dernier trimestre soit le plus leger en charge pour les familles qui payent leurs vacances avant de régler la cantine...
- Faire en sorte que le montant à payer ne soit pas inférieur au montant de la bourse à taux plein, de manière à nous éviter les longues et interminables listes de familles à rembourser pour ...de petites sommes (par exemple : 4,30 €).
Et, cela fonctionne.
Je n'ai qu'un forfait 1 de 5 jours. Soit les élèves sont DP, soit ils sont externes.
Et si les externes veulent se restaurer de manière ponctuelle, ils payent le prix fort... C'est disuasif... Et cela permet une meilleure gestion en cuisine, où nous travaillons beaucoup avec des produits frais.