En EPLE dans l'académie de Créteil, sortante d'IRA, les points positifs:
- l'économie du loyer,
- la PFR (grosso modo mon "salaire" à l'IRA + 600€ en ajoutant toutes les primes),
- un boulot diversifié,
- l'admiration des profs quand je répare leur photocopieur,
- la formation les premiers mois organisée par le rectorat,
- le site gestionnaire03, le forum, les réunions de district, le gavard...

Les points négatifs:
- le logement (Paris me manque),
- les grèves des profs qui foutent en l'air l'organisation du travail des agents,
- la GRH, on se croirait souvent en maternelle (et les métaplans appris à l'IRA ne servent à rien hormis à faire rire les collègues),
- la formation les premiers mois qui amputent sérieusement la semaine de travail (mais qui valent le coup, surtout par leur coté "soutien psy").
- les horaires 8h-19h de septembre à décembre, 8h-18h30 depuis,
- les relations avec le conseil général...

A lire, l'excellente intervention de Vieil Intendant qui suit, récupérée lors de sa publication sur ce forum:

"Un gestionnaire c'est un combattant, un guerrier... seuls les plus
forts survivent dans ce métier.

Combien j'ai perdu de collègues déchiquetés par un cofi qu'ils
essayaient de désamorcer, explosés par un voyage sur un terrain non
déminé, massacrés au détour d'un conseil d'administration alors qu'ils
croyaient la zone sécurisée, lachement poignardés dans le dos par une
Vie Scolaire traître (ne jamais tourner le dos à une Vie Scolaire et
toujours tirer en premier), bléssés par des mandats non vérifiés,
torturés à mort par des CE sadiques, noyés sous des inventaires
empoisonnés, broyés par photocopieur piégé, engloutis par un GRETA
mangeur d'hommes, écartelés entre travail, famille, pastis.

Je pleure mes amis tombés au champs d'horreur des EPLE, qui n'ont jamais
eu de médaille ni citation pour leur courage. Morts anonymes et oubliés
de tous sauf de leurs frères d'armes. Abandonnés sur le champ de
bataille face à un ennemi supérieur en nombre par leur généraux planqués
bien à l'abri. Leur dépouilles pourissant sur la moquette salie des
bureaux d'intendance.

Mais j'ai aussi connu la fraternité des combattants, le soir en réunion
autour d'un bivouac, égrenant nos batailles et montrant nos blessures
affreuses, nos marques héroiques.


J'ai connu le pire : la RUF, les logiciels de paye et l'horrible SCONET
qui faisait frémir d'effroi les coeurs des plus endircis. J'ai survécu à
mille batailles, vu mes secrétaires tomber autour de moi fauchés par la
mitraille enseignante. J'ai tué aussi.... beaucoup... des CPE, des CE,
des profs, des docs... j'ai même une fois égorgé un secrétaire
général... mais c'est la guerre : c'est eux ou toi.


Et aujourd'hui guerrier couvert de cicatrices glorieuses je suis fier de
tenir encore seul face à la meute hurlante : vieux lions que craignent
les hyénes.

Alors mon jeune ami IRAque, sache que si tu rejoins nos rangs
clairsemés, il faut être prêt à périr. Tu n'as qu'une faible chance de
survivre à notre guerre... mais parfois il vaut mieux mourir fiérement
en défendant un budget sincére que vivre comme un rat dans une
administration centrale.

Sache aussi oublier tout ce que tu auras appris à ton camp
d'entraînement de Bastia, Lyon ou ailleurs. Ta seule chance de survivre
dans l'Intendance est de te trouver un vieux soldat comme moi et de
suivre ses pas et de faire comme lui. Les pertes des IRAques sont de 80 %
durant leur première année au front des EPLE.

Prépare toi. Il te faut maîtriser toutes les techniques de combats à
main nue, savoir manier les codes (dans des mains entrainées un code des
marchés peut être une arme mortelle), ne faire confiance à personne
sauf à tes fréres d'arme (et encore pas à tous ; il y a des buses aussi
dans nos rangs), tirer en premier pour tuer ( un ennemi blessé est
toujours plus dangereux). N'attendre aucune aide, aucun renfort de tes
chefs, ne compter que sur tes capacités et ta calculatrice.

A toi de voir si tu es de le la graine dont on fait les héros inconnus.

Moi je suis déjà entré vivant dans la légende !"

Patience et raison a écrit:

- l'admiration des profs quand je répare leur photocopieur,

faut pas exagérer, tout juste s'ils te disent merci la plupart du temps... et encore, si t'es arrivé dans les 5 minutes qui suivent la découverte de la panne.

souvent, lorsqu'il y a un bourrage papier, le malheureux enseignant bat en retraite vers d'autres matériels mais ne signale pas qu'il a estourbi celui qu'il utilisait... du coup ça râle car elle est "toujours" en panne cette fouttue machine-avec-l'intendant-qui-fout-rien-qui-pourrait-quand-même-réparer-rapidement-on-va-en-parler-en-réunion-syndicale.


autre point positif : heu..... attendez laissez moi quelques heures avant de vous répondre....

Pour ma part, c'est souvent les mêmes enseignants qui viennent me signaler un bourrage.
Soit je peux me déplacer de suite et c'est réglé (ou pas) de suite.
Soit je suis occupée, je leur donne une affiche type ("Le photocopieur est actuellement hors service. Il sera réparé dans les meilleurs délais. Le photocopieur de secours se trouve en salle de réunion - face à l'intendance.") et j'y vais voir quand j'ai le temps.

Vous n'avez pas d'ouvriers d'entretien dans vos bahuts?

Venez découvrir l'enseignement sup', c'est pas si mal.
Possibilité de se retrouver dans un service administratif, vraisemblablement un peu comme au Rectorat, mais plus près des usagers. Ou se retrouver en service financier, on y apprend la budgétaire avec la supervision de la DAF. Simplement la maison est plus petite qu'une académie et si on se débrouille bien, on peut rapidement vous confier des missions diversifiées.
Si ce n'est le salaire qui est encore plus faible qu'en EPLE, j'aime assez.

BUBU a écrit:

Vous n'avez pas d'ouvriers d'entretien dans vos bahuts?

Les OP avec lesquels j'ai pu travailler, quand ils étaient bons, étaient malins, sympa, disponibles... Mais débourrer un copieur, non, je n'ose pas rêver trouver du personnel ouvrier qui le ferait et qui ne ferait pas empirer les choses. Bien content quand on leur demande de mettre le papier dedans et que c'est fait correctement. Faut pas avoir les yeux plus gros que le ventre.

L'intendant zonard a écrit:

BUBU a écrit:

Vous n'avez pas d'ouvriers d'entretien dans vos bahuts?

Les OP avec lesquels j'ai pu travailler, quand ils étaient bons, étaient malins, sympa, disponibles... Mais débourrer un copieur, non, je n'ose pas rêver trouver du personnel ouvrier qui le ferait et qui ne ferait pas empirer les choses. Bien content quand on leur demande de mettre le papier dedans et que c'est fait correctement. Faut pas avoir les yeux plus gros que le ventre.

pour ma part je dois être chanceux car le mien m'a souvent dépanné le copieur de la salle du personnel, maintes fois agressé par des érudits (ou feignant de l'être) bien maladroits.

J'ai commencé comme gestionnaire en EPLE, puis je me suis retrouvée un peu par hasard en université. J'en garde un excellent souvenir et si l'occasion se présente j'y retournerai. Alors que pour certains certifiés je n'étais qu'une "petite gestionnaire de rien du tout", jamais personne n'a fait preuve de condescendance ou de mépris à mon égard à l'université. Niveau rémunération, j'étais chef de la DAF alors j'ai cru qu'ils s'étaient trompés la 1ère fois. Et à la fin de l'année, quand il y a eu le reliquat, le Président et le SG ont fait un geste car ils étaient contents de mon boulot. Faut bouger et après on sait ce qui nous plaît ou ce qui ne nous plaît pas...

Pour ma part, à la sortie des IRA, j'ai commencé comme Agent Comptable. je n'y connaissais rien mais en faisant des horaires de 9h00-23h30, la première année, j'y suis arrivé en ayant un établissement autonome en Dordogne. super département où il y a une super solidarité.
Puis, je suis allé au Rectorat dans un service juridique où, j'ai beaucoup appris. je suis retourné après en EPLE en tant que gestionnaire où j'ai eu grâce à mes deux expériences précédentes beaucoup plus de facilité.
Aujourd'hui, je suis de Retour en Rectorat et sur toutes ses expériences, je peux vous dire que tout dépend de votre supérieur s'il vous prend pour un collaborateur ou un sbire. Alors à l'EN, il vaut mieux sortir les griffes pour ce faire une place. En ce qui concerne les IA, pour la plupart, elles risquent de disparaître peu à peu pour cause de RGPP ou devenir des annexes de rectorat.

Pas de choix de sortie, même pas encore rentrée : je ne suis pas admissible à l'oral du concours interne....

Rhôôô pauvre choupette ! Rappelle-toi que les concours sont des loteries et qu'on les a à l'usure. Bises.

A l'usure,.... heureusement qu'il y aura la réforme des retraites..... pour me faire gagner des années... parce que, vu mon âge, je serais déjà candidate pour être doyenne !

il me restera le concours interne, s'il existe encore ! et le saenes classe exceptionnelle (pas encore assez d'ancienneté cette année), et la liste d'aptitude....

Ce que je voulais, c'était l'année de pause donnée par la formation..... pas être balancée dans la jungle comme ça.... (même si l'année d'Ira n'est pas du repos, je la voyais comme un trève, un temps de réflexion et d'approfondissement de connaissances qu'il m'est impossible d'effectuer actuellement)

Grincheux a écrit:

...Rappelle-toi que les concours sont des loteries et qu'on les a à l'usure. .

Prends garde tout de même à ne pas être en fin de compte le plus usé des deux
A ce petit jeu, on peut avoir des surprises.
Surtout lorsqu'on sait que le jury se renouvelle , lui

Bonjour,

Je suis sortie de l'IRA de Lyon en juillet 2008, j'étais externe. Comme toi j'ai fait le choix de l'ASU alors que j'avais le choix entre les trois univers. Mon premier stage je l'avais fait dans un EPLE et j'avais adoré: métier très varié et t'as pas le temps de t'ennuyer. Aujourd'hui je suis dans un collège 730 élèves avec une SEGPA et je ne regrette pas mon choix. Je dois être un peu maso

Aujourd'hui PFR comprise, logée par NAS. Je touche 1940 euros net par mois et je vis bien.

Si t'es à l'IRA de Lyon. Fais moi signe.

La belle Babel a écrit:

Je touche 1940 euros net par mois et je vis bien.

A nous deux on pourrait se payer une vie de nababs... Si tu es célibataire, rejoins-moi sur la boîte à chats !

Colombane a écrit:

Pas de choix de sortie, même pas encore rentrée : je ne suis pas admissible à l'oral du concours interne....

On parle bien du concours interne d'attaché? Moi je ne trouve pas les résultats. Il faut aller voir où?

Ici mon petit : http://www.publinetd5.education.fr/publinet/Servlet/PublinetServlet?_page=ACCUEIL

Mais il faut encore attendre quelques jours, je pense.

Colombane devait parler du concours d'entrée aux IRA.

Grincheux a raison. Je fais parfois du hors sujet, mais c'était bien du concours d'entrée à l'IRA dont je parlais.
Déçue du résultat, et encore plus déçue du jugement que j'avais porté sur ma copie... attendons la note ...

Courage Colombane, il faut retenter l'année prochaine.

Amiral

Désolé Grincheux, je ne suis pas célibataire.

babel 1983 a écrit:

Désolé Grincheux, je ne suis pas célibataire.

Donc, Grincheux ne tournera pas autour de Babel.

babel 1983 a écrit:

Désolé Grincheux, je ne suis pas célibataire.

Et alors ?

Et alors c'est dommage, vraiment dommage, car j'envisageais de faire plein de petits attachés, à qui j'aurais offert un boulier pour Noël et un Gavard (à colorier) à l'occasion du 6° anniversaire...

babel 1983 a écrit:

Bonjour,

Je suis sortie de l'IRA de Lyon en juillet 2008, j'étais externe. Comme toi j'ai fait le choix de l'ASU alors que j'avais le choix entre les trois univers. Mon premier stage je l'avais fait dans un EPLE et j'avais adoré: métier très varié et t'as pas le temps de t'ennuyer. Aujourd'hui je suis dans un collège 730 élèves avec une SEGPA et je ne regrette pas mon choix. Je dois être un peu maso

Aujourd'hui PFR comprise, logée par NAS. Je touche 1940 euros net par mois et je vis bien.

Si t'es à l'IRA de Lyon. Fais moi signe.

Beaucoup maso oui!
Sinon comment se fait-il que tu ne gagnes pas plus pour ta deuxième année?
Je suis sortie d'ira en 2009 et en ZEP et je gagne autant.

salut,

si tes inquiétudes sont au niveau du salaire, tu ne dois pas paniquer.

le salaire de base d'un attaché est le même partout (point d'indice voté par le parlement).

par contre effectivement nous avons une grosse variation au niveau des primes.

mais même en adm centrale elles sont limitées.

ex : ministère de la justice entre 600 et 700 €uros soit à peine un petit studio avec vue sur le local poubelle (pour Paris).
et reste à ta charge tous les frais annexes au logement, sans compter les transports....

moi j'ai un tout petit collège (prime minimum) et je suis à 391 €uros de prime

à cela s'ajoute mon logement (F4 avec jardin et garage) et les frais annexes (gaz, eau, électricité ).

lorsque mon salaire arrive je n'ai que les frais de téléphone et d'assurance, ca se discute, non ?

chrysemma a écrit:

lorsque mon salaire arrive je n'ai que les frais de téléphone et d'assurance, ca se discute, non ?

Et tes frais d'inscription à Meetic ?

désolé, c'est ma thématique du moment...

Moi, j'ai pas pensé au salaire quand j'ai passé le concours externe d'attaché. Je n'ai fait que 3 années à l'agriculture en catégorie B avec des primes substantielles, mais quelle déconvenue quand je me suis retrouvé attachée stagiaire, échelon 0, sans prime, sans NBI, bref, RIEN. Heureusement, le logement de fonction a amorti ma chute de revenu.
Pourquoi Meetic, je croyais que dans l'EN, on était tous mariés entre nous, mdr!

"" je croyais que dans l'EN, on était tous mariés entre nous, mdr! ""

Lorsque vous rencontrez couples à réunions dont le motif est indifférent mais le point commun est l'appartenance à l'éduc.nat. d'au moins un des membres du couple, vous repérez de suite au milieu des couples en présence, ceux qui sont E.N./E.N. et ceux qui sont mixtes : E.N./autre fonction publique, et plus encore E.N./privé.
Et si vous fréquentez l'excellente association des campeurs universitaires GCU www . gcu.asso.fr (toutes catégories E.N., enseignants, intendances, vie scolaires, CE, ex-TOS, services des conscentrés ou ex-centrés, etc.), les E.N./E.N. - les plus nombreux et surtout les prof/prof- se repèrent nezenmoins comme en plus, comme portant des nez de clown au milieu de la figure, même en slip de bain.
Encore que es ceusses qui ont fauté entre intendance et salle de profs cherchent à se faire oublier, surtout le prof, mais les prof/prof c'est rigolo. Ils sont souvent sur une autre planète que la réelle, même en congé.
Les autres couples, mixtes un petit peu (E.N./autre FP) ou mixtes franchement (E.N./privé) sont bien plus fréquentables. Et ces couples mixtes se reniflent et se repèrent sans qu'il soit besoin d'avouer son identité professionnelle. Enfin je dis cela, je dis rien.
Mais c'est fou ce que la mixité fait du bien.

Bref

J'ai pas de NBI pour la ZEP.

Je suis passé échelon 3 en septembre. Je suis toute nouvelle dans la FP

brefbref a écrit:

"" je croyais que dans l'EN, on était tous mariés entre nous, mdr! ""

Lorsque vous rencontrez couples à réunions dont le motif est indifférent mais le point commun est l'appartenance à l'éduc.nat. d'au moins un des membres du couple, vous repérez de suite au milieu des couples en présence, ceux qui sont E.N./E.N. et ceux qui sont mixtes : E.N./autre fonction publique, et plus encore E.N./privé.
Et si vous fréquentez l'excellente association des (toutes catégories E.N., enseignants, intendances, vie scolaires, CE, ex-TOS, services des conscentrés ou ex-centrés, etc.), les E.N./E.N. - les plus nombreux et surtout les prof/prof- se repèrent nezenmoins comme en plus, comme portant des nez de clown au milieu de la figure, même en slip de bain.
Encore que es ceusses qui ont fauté entre intendance et salle de profs cherchent à se faire oublier, surtout le prof, mais les prof/prof c'est rigolo. Ils sont souvent sur une autre planète que la réelle, même en congé.
Les autres couples, mixtes un petit peu (E.N./autre FP) ou mixtes franchement (E.N./privé) sont bien plus fréquentables. Et ces couples mixtes se reniflent et se repèrent sans qu'il soit besoin d'avouer son identité professionnelle. Enfin je dis cela, je dis rien.
Mais c'est fou ce que la mixité fait du bien.

Bref

Mon cher Bref, je trouve que ton histoire sent un peu le cliché...
c'est dit en toute sympathie bien entendu

C'est comme les propos selon lesquels les agents qui viennent du secteur privé "sont plus souples car ils savent ce qu'est le privé...".

Le pire des gu..lards et des emm...deurs que j'ai dans mon service est issu d'une boite privée réputée pour son peu de caractère "social". Ce type n'est content de rien et considère que sa catégorie n'a "jamais aucun avantage". Mon pire "fonctionnaire", au mauvais sens du terme, vient donc du privé...

En même temps, j'ai une ancienne ouvrière d'usine à l'intendance, comme personnel administratif, qui a l'esprit très ouvert et qui est super compétente.

Je déduis de ma petite expérience que l'ouverture d'esprit vient autant de la personnalité propre de l'individu que de son appartenance à un secteur ou de "l'ouverture" de son mariage.

Quant au sentiment que les profs sont "autocentrés" sur leur petit monde, c'est sûrement vrai... cela dit quelqu'un de mon entourage m'a récemment raconté avoir diné au restaurant à coté d'une tablée occupée par les employé(e)s de la concession BMW du coin... il en a regretté la conversation des profs.

Stoïk a écrit:

Mon cher Bref, je trouve que ton histoire sent un peu le cliché... c'est dit en toute sympathie bien entendu

Du tout, du tout. J'ai pratiqué longtemps et surtout en multiples endroits les campings du GCU - que je recommande absolument et néanmoins mes propos, même si on ne compte plus les couples issus de fréquentations assidues par leurs parents des lieux, autogérés, les sentiments itou, et que même rebelote à la troisième génération, avec une forte probabilité qu'ils soient ensuite des E.N. profs de préférence - et je maintiens que tu repères illico, dans les deux heures , au pire la demi-journée, de ton installation pour peu qu'il y ait eu un apéro, une activité, lesquels people ne sont pas éduc.nat. Et quand tu as un doute, c'est souvent qu'il est fonctionnaire mais d'une autre boutique. Essaye le GCU. Je fais ici une pub par an. Comme pour les détachements.
C'est bon plan pour l'un comme pour l'autre. C'est dire. Mais le GCU engage moins.

Bref