promis, juré j'ai parcouru tout le site mais je n'ai pas trouvé la réponse à la question qui me taraude et m'emplis d'angoisse et qui est pourtant d'une importance capitale :
LES DEPRECIATIONS DOIVENT-ELLES ETRE OBLIGATOIREMENT PRATIQUEES ? Même quand on récupère un bahut où il n'existe pas d'inventaire ...

Ben, comment ça sans inventaire ?
Cela veut-il dire que vous n'avez pas de 215, (118 )-218., etc... ? Pas de fiches pour les durées de dépréciations ? Ou pas de liste du matériel en inventaire ?
Votre question manque de précision.

Vieil intendant a écrit:

Ben, comment ça sans inventaire ?
Cela veut-il dire que vous n'avez pas de 215, (118 )-218., etc... ? Pas de fiches pour les durées de dépréciations ? Ou pas de liste du matériel en inventaire ?
Votre question manque de précision.

Il y a 215, 218 etc mais il n'y a pas 281bis
pas de fiches
pas de liste du matériel
Et ouais ...

Sans doute que votre prédécesseur, rageant d’être déprécié dans son quotidien, fit un rejet (symbolique) des dites dépréciations…
(Et que dire des nombreuses autorités destinataires des comptes financiers antérieurs…)

Mais trêve plaisanterie, car la tâche qui vous attend est rude ; inventorier les biens de l'établissement, rechercher les factures correspondantes, tenter de faire coller tout ceci avec les comptes 21 ainsi que les comptes de la classe 1 pour savoir qui a financé quoi, puis les déprécier, les sortir de l’inventaire le cas échéant…

réponse un peu tardive, vacances obligent mais en plus, les comptes ont changé.
J'ai pratiqué ce genre d'exercice il y a quelques années :x :x
bon courage

J'ai encore quelque part les correspondances entre anciens et nouveaux.
Je devrais pouvoir les retrouver si tu es preneur.

En tant que tuteur-sauveteur, il m'est arrivé de refaire à la sauvage les dépréciations de quelques années où elles avaient été "oubliées". Je prenais le chiffre 2001, je le passais en 2005 une fois pour 2002, une fois pour 2003, une fois pour 2004 et une fois pour 2005, en mettant dans le rapport que faute de mieux ça permettait de se rapprocher vraisemblablement de ce qui aurait dû être fait. Et que tout ça serait remis en état lors d'une refonte globale de l'inventaire.