Si on veut être rigoureux, il faudrait voir l'EPLE comme un prolongement de l'Etat. A partir de là, on peut demander à l'unité opérationnelle dans quelle subdélégation globale de crédit s'intègre la subvention. A partir de là c'est soit du fonctionnement, soit du transfert, soit de l'investissement. Si c'est fonctionnement, logiquement on ne pourrait pas faire de l'investissement, si c'est de l'investissement pas de fonctionnement. Si c'est du transfert, normalement on est plus dans la chaîne, donc on fait ce qu'on veut.
Si on veut être réaliste, on fait comme le dit le patron des mineurs. C'est de la ressource affectée, donc dans le silence des textes, on doit pouvoir faire. Même si chaque autorité académique reste maître en la matière.