Quelle imputation, ou que pensez vous des comptes en 6. ?

A propose de questions inutiles ou anodines, de quoi parlez vous avec vos 6.

REPONSE a écrit:

A propose de questions inutiles ou anodines, de quoi parlez vous avec vos 6.

On peut par exemple présenter son budget au A1 :
6067 : 5000
6068 : 2000
6063 : 500
615 : 500

Ou :
6. Lettres : 800
6. Langues : 600
6. EPS : 500
etc...

Et je suppose qu'après,on peut ouvrir 6067, 615, 618, ...ou pas

REPONSE a écrit:

Et je suppose qu'après,on peut ouvrir 6067, 615, 618, ...ou pas

On peut, mais il n'y a aucun intérêt à avoir un
6. Lettres 6067
6. Lettres 6068
6. Lettres 6063 etc...
Par contre lors du mandatement il faudra indiquer le compte d'imputation car la compta géné ne connait que les comptes, pas les 6. ou les codes de gestion.

Tout dépend de ce qu'on veut: les 6.sont très bien quand on ne sait pas quel compte on utilisera lors de l'élaboration du budget ou pour faire de la comptabilité analytique. Mieux vaut un 6. qu'un compte 6067 ou 6068 sur lequel on impute tout sur un code de gestion quelque soit la nature de la dépense.

1) Dans le A1, où la lecture analytique prime sur la lecture comptable, je n'utilise que le 6. : le CDI doit pouvoir acheter des consommables pour couvrir les bouquins, et pas que des livres ou des abonnements. Et les profs de lettres ont le droit d'acheter des livres, que je préfère imputer par nature au 61862 plutôt qu'au 6067.

2) Dans le D, où la lecture par comptes est évidemment nécessaire, mais où des dépenses saugrenues et pénibles peuvent arriver sans qu'aucune prévision n'eut pu être faite, en plus des comptes normaux j'utilise un 6. avec une centaines d'écus dessus, juste pour la soif. Au pire ce compte finit en dépassement, je m'en fiche.