compte financier - suppression pour un éts

bonjour, j'ai supprimé le cf de mon éts car je me suis rendu compte qu'il me manquait une écriture. (gfc bud et cofi sur le même poste) - je viens de relancer les contrôles préalables et là j'ai un gros souci : les totaux (balances et journal des valeurs géné) ne sont plus identiques à ceux du contrôle précédent - par ailleurs pour la rubrique 7 contrôle de l'affectation du résultat de l'exercice précédent, ile me dit : contrôle impossible - solde des classes 6 et 7 effectué manuellement ...
Comment rétablir la situation ????

restaurer c'est tout.

coffeeman a écrit:

restaurer c'est tout.

Je ne pense pas qu'une restauration soit la solution, elle remettra juste la comptabilité d' "océaniqu"dans la situation antérieure, c'est à dire qu'il lui manquera cette fameuse écriture ...

La différence de masse entre les nouveaux documents comptables et les anciens est tout à fait normale si vous avez ajouté une écriture, c'est le signe de sa prise en compte ...

Par ailleurs le message sur l'impossibilité de contrôler l'affectation du résultat est aussi normal : les classes 6 et 7 ont déjà été soldées, les écritures correspondantes validées, donc GFC ne peut tout simplement pas refaire cette transaction ...

Si vous n'avez pas d'anomalie bloquante, et que les contrôles préalables vous donnent les mêmes résultats que vos vérifications manuelles préalables de détermination du résultat et de variation du fonds de roulement, je pense que vous ne rencontrerez aucun souci pour produire votre compte financier.

Sur le site de versailles SWAPI il y a un document PDF qui explique cette procédure.

Il ne reste qu'à désinstaller le cofi puis reprendre à zéro...

Pat Hibulaire a écrit:

...
Si vous n'avez pas d'anomalie bloquante, et que les contrôles préalables vous donnent les mêmes résultats que vos vérifications manuelles préalables de détermination du résultat et de variation du fonds de roulement, je pense que vous ne rencontrerez aucun souci pour produire votre compte financier.

Il faut vérifier malgré tout que le compte de résultat ne sorte pas vierge.

Cette mésaventure m'est arrivée sur un établissement rattaché : j'avais saisi les dépréciations dans le brouillard après le solde des comptes de classes 6 et 7 (oubli ) et la machine avait considéré, lorsque j'ai relancé les contrôles du COFI (indispensable puisque j'avais saisi de nouvelles écritures) que le solde des classes 6 et 7 avait été effectué manuellement.

Pour une raison que j'ignore, mais liée à cet incident je suppose, le compte de résultat est alors "sorti" vierge.

Et la pièce n°7, elle sera"vierge" dès qu'une écriture en valeurs générales ou classe 8 est mouvementée

Pendant les étapes du compte financier, il faut tout éditer sur PDF... bien utile pour la suite et cela évite une restauration.....

et cela rappelle aussi que la sauvegarde est un instrument fabuleux
quand on commence un truc comme ça (Cofi ou autre) on fait une svg à blanc (avant toute opération) comme cela on sait d'ou on repart
alors c'est vrai que cela n'empeche pas les conneries et autres oublis mais il vaut mieux refaire tout le boulot et perdre un jour ou deux que d'être complètement bloqué
le top étant de faire les COFI les uns après les autres
je me lance pour le 1 je fais le boulot
je me lance pour le 2 après avoir fait une svg me permettant de revenir à une situation saine...

cette méthode sera plus difficile à mettre en oeuvre quand on aura 7 ou 8 COFI à faire (pour ceux qui les feront )
mais il faudrait tendre vers cela

Bozinchu a écrit:

cette méthode sera plus difficile à mettre en oeuvre quand on aura 7 ou 8 COFI à faire (pour ceux qui les feront )
mais il faudrait tendre vers cela

Je confirme...

Je suis surpris pour avoir fait 11 cofis et devoir revenir sur l'un d'eux. On peut tout à fait supprimer un ER, reprendre son exportation après correction. Les autres n'ont pas été touchés.

Peut être l'AC mais je m'arrange pour que l'état de concordance soit toujours sans solde.

Mais je suis d'accord avec BOZ sur la méthode, c'est préférable d'aller jusqu'au bout de l'un avant de passer au suivant.