j'ai besoin de votre avis :
Voila mardi soir, j'étais d'astreinte de soirée et à 19h20, alors que je remontais de la DP, j'ai reçu un coup de fil d'1 des CPE qui me disait qu'il y avait un problème d'accompagnateur pour la soirée théatre (la quatrième en quinze jours !), et que je devais dans les trois minutes venir pour accompagner la dite sortie.
Un peu interloquée, j'ai refusé de m'exécuter.

Le lendemain le proviseur-adjoint a lancé une réflexion à la cantonade sur le thème de l'obligation pour les personnels d'astreinte de palier à ce genre de défaillance.

Aujourd'hui, réunion de direction, le sujet revient sur le tapis de la part de la CPE. J'ai affirmé que je ne me sentais nullement responsable de la mauvaise organisation des sorties facultatives du soir et du fait que leur multiplication déciment les accompagnateurs (mardi un contractuel qui travaille dans un lycée voisin et le prov-adj.).
Ai-je eu tord ?

Enfin "last but not least", (mesure de représaille ?), la vie scolaire m'annonce qu'à partir de la rentrée de février elle cesserait de mettre un surveillant à la surveillance du système de pointage de la demi-pension, car c'est du travail d'intendance.
Et chez vous sur ce dernier point comment cela est-il organisé ?

C'est marrant, je vois pas le chef d'établissement dans ton histoire...

1) vous lancez à la cantonade que c'est dommage que certains proviseurs adjoints parlent sans rien connaître des problèmes et au Droit

2) vous sollicitez par écrit votre proviseur pour lui expliquer que c'est la dernière fois que celà se produit et qu'il s'agit d'une faute professionnelle grave.

3) au SAH les survillants surveillent et l'intendance contrôle les entrées si nécessaire

Bonjour,
je suis dans un établissement où il n'y a plus d'élèves mais seulement des enseignants en formation, mais çà ne change pas beaucoup. Ceci dit, j'étais gestionnaire matérielle dans un poste précédent et les astreintes je connais. Cela ne concerne pas les problèmes pédagogiques mais uniquement les problèmes matériels: fuites en chaufferie, alarmes défectueuses....etc.
Pour ce qui est du pointage à la demipension, ce n'est pas un problème d'intendance mais bien de vie scolaire. L'intendant doit vérifier le respect des règles d'hygiène, l'équilibre des repas, bref, rien à voir avec la surveillance des élèves.
Espérons que la réaction du CE était dûe à un moment de fatigue.
Bon courage.

Malheureusement, la CE, avec qui j'entretiens des relations cordiales par ailleurs, ne s'implique jamais dans ces problèmes car elle veut garder l'illusion que l'etablissement est une grande famille où tout le monde il est beau tout le monde il est gentil !

AUBEGM a écrit:

Malheureusement, la CE, avec qui j'entretiens des relations cordiales par ailleurs, ne s'implique jamais dans ces problèmes car elle veut garder l'illusion que l'etablissement est une grande famille où tout le monde il est beau tout le monde il est gentil !

y'a des moments où on s'en fout de la cordialité: on n'est pas au pays des Bisounours !!! et si ta gentille CE veut laisser faire elle n'a qu'à assumer le bocson qui ne manquera pas de se manifester un de ces jours.

pourquoi des cadres "supérieurs" ne veulent ils pas se comporter en professionnels et pas en abbé Pierre ou en chiffe molle ?

V.M.B a écrit:

AUBEGM a écrit:

Malheureusement, la CE, avec qui j'entretiens des relations cordiales par ailleurs, ne s'implique jamais dans ces problèmes car elle veut garder l'illusion que l'etablissement est une grande famille où tout le monde il est beau tout le monde il est gentil !

y'a des moments où on s'en fout de la cordialité: on n'est pas au pays des Bisounours !!! et si ta gentille CE veut laisser faire elle n'a qu'à assumer le bocson qui ne manquera pas de se manifester un de ces jours.

pourquoi des cadres "supérieurs" ne veulent ils pas se comporter en professionnels et pas en abbé Pierre ou en chiffe molle ?

Tout à fait d'accord.
La raison en vient probablement de pourquoi ils sont devenus chefs à une époque. Si le motif était Tout Sauf La Classe, cela peut expliquer.

Il serait urgent qu'elle remette en ordre de fonctionner l'équipe, son adjoint pédagogique en premier (c'est le plus compliqué) même si la conséquence en sera qu'elle ne fera plus la bise à tout le monde . Lui suggérer qu'elle a aussi la mission de le former à de bonnes pratiques de management. Sinon celui-ci, si d'aventure il devient chef - il aura forcément appréciation dithyrambique dans son dossier - en sera un autre de pitoyable.


Bref

AUBEGM a écrit:

j'ai besoin de votre avis :
Voila mardi soir, j'étais d'astreinte de soirée et à 19h20, alors que je remontais de la DP, j'ai reçu un coup de fil d'1 des CPE qui me disait qu'il y avait un problème d'accompagnateur pour la soirée théatre (la quatrième en quinze jours !), et que je devais dans les trois minutes venir pour accompagner la dite sortie.
Un peu interloquée, j'ai refusé de m'exécuter.

Le lendemain le proviseur-adjoint a lancé une réflexion à la cantonade sur le thème de l'obligation pour les personnels d'astreinte de palier à ce genre de défaillance.

Aujourd'hui, réunion de direction, le sujet revient sur le tapis de la part de la CPE. J'ai affirmé que je ne me sentais nullement responsable de la mauvaise organisation des sorties facultatives du soir et du fait que leur multiplication déciment les accompagnateurs (mardi un contractuel qui travaille dans un lycée voisin et le prov-adj.).
Ai-je eu tord ?

Enfin "last but not least", (mesure de représaille ?), la vie scolaire m'annonce qu'à partir de la rentrée de février elle cesserait de mettre un surveillant à la surveillance du système de pointage de la demi-pension, car c'est du travail d'intendance.
Et chez vous sur ce dernier point comment cela est-il organisé ?

Encore un coup tordu venant de la vie scolaire qui n'a pas su anticiper cet évènement.
J'imagine moins les surveillants venant faire la plonge en cas de grève des agents. Idem pour le proviseur-adjoint.
Ta réaction fut la bonne.

AUBEGM a écrit:

Malheureusement, la CE, avec qui j'entretiens des relations cordiales par ailleurs, ne s'implique jamais dans ces problèmes car elle veut garder l'illusion que l'etablissement est une grande famille où tout le monde il est beau tout le monde il est gentil !

C'est un problème récurrent en EPLE.

Mon CE agit comme cela en couvrant le CPE chaque fois qu'il attaque l'Intendance.

De toute façon la responsabilité incomberait au CE pour défaut d'organisation du service en cas de problème.

Et qui t'aurait remplacée dans l'établissement pour "faire l'astreinte" ? S'il y avait eu un problème et que tu étais partie au spectacle avec les élèves.... !

Si tu préfères les sorties, annonce le bien haut et refuse toutes les astreintes..... puisqu'il n'y a besoin de personne....

Très bonne idée ! Et pourquoi le gestionnaire ne se fendrait-il d'une sortie au théâtre de temps en temps ?

Allons-y gaiement

Merci à tous d'avoir pris un peu de votre temps pour me répondre, ça fait du bien parfois de partager avec d'autres collègues ses petits soucis.

Si la Vie Scolaire veut jouer à ce petit jeu là, prévenir le CE que tu es bien gentil, mais pas un pigeon et que toi aussi tu peux jouer au jeu des représailles... et qu'il va falloir remette de l'ordre dans sa grande famille.

Dans mon ets, c'est la meme chose, dès qu'on fait une reflexion au CPE, il menace de ne plus faire le passage à la cantine.
Je travaille dans un clg de 480 élèves dont 360 dp.Le même cas s'est présenté. J'ai dit au CE que j'enlevais le logiciel de pointage et que les surveillants allaient pointer avec une liste tous les jours à la cantine car toute absence à la dp est considérée comme une absence normale et doit être justifiée par les parents.
Pour moi, c'est plus facile car je me trouve dans un clg et en lycee c'est plus compliqué.

Comment un CE qui défend ses CPE envers et contre tous (enfin surtout l'intendance)?
nan c'est pas possible....
Trêve de bavardages : des personnels de catégorie A (oui les CPE...) qui se comportent comme ca méritent ......je m'autocensure...

Pour finir un CPE qui se permetterait de m'intimer l'ordre de pallier une insuffisance pédagogique aurait le droit de se faire voir chez les grecs (et encore c'est pas sympa pour Héllènes...).

Bon je pense néanmoins qu'il y a des CPE super dans notre ministère : le seul hic c'est que j'ai pas encore trouvé !!!).

Moi si, j'ai trouvé un CPE sympa et compétent... Je suis gâté, non? Le jour où il partira, ça fera drôle dans le bahut.

FG

c'est pour cela que le bat blesse
un EPLE ne tourne pas, que parce qu'il y a des gens compétents
il faut aussi qu'il y ait une véritable symbiose
on aime travailler avec une personne et/ou un groupe et tout roule
il suffit que l'on change une pièce par une autre et c'est toute la machine qui est grippée

Il y a quelque temps, je me suis engueulee avec le CPE. Monsieur avait decrete que si une personne fait un rapport sur le comportement d'un éleve (degradation, insulte) que cette personne devait recevoir l'élève, telephoner et recevoir les parents.

Je lui ai répondu categoriquement : "Je ferai votre boulot quand j'aurai votre paie à la fin du mois et comme ce ne sera jamais le cas donc chacun son boulot et sa m....
Depuis les rapports sont tendus mais il est hors de question de faire le boulot des autres.

marie1 a écrit:

Il y a quelque temps, je me suis engueulee avec le CPE. Monsieur avait decrete que si une personne fait un rapport sur le comportement d'un éleve (degradation, insulte) que cette personne devait recevoir l'élève, telephoner et recevoir les parents.

Je lui ai répondu categoriquement : "Je ferai votre boulot quand j'aurai votre paie à la fin du mois et comme ce ne sera jamais le cas donc chacun son boulot et sa m....
Depuis les rapports sont tendus mais il est hors de question de faire le boulot des autres.

C'est un c..-
tournable.
Voir avec le CE pour le c...-
tourner en ridicule.

Bref

P.-S.

J'élève ici les plus hautes protestations à l'endroit de la modération
qui se permet de censurer des mots français tel que "contourner"


CONTOURNER, verbe trans.CONTOURNER, verbe trans.
I.− [Cf. contour I] A.− Vx ou littér. Donner forme à (quelque chose) en traçant ou en réalisant les contours. Contourner un ornement de manière baroque. La pierre qu'ils [les architectes du XV^e s.] fouillaient comme le bois et contournaient comme le fer (L. Hourticq, Hist. générale de l'Art. La France, 1914, p. 103). Il [le sculpteur] a contourné cette créature (...) qui se détache enfin de la masse de l'univers (Valéry, Variété I, 1924, p. 69). La tante Zoé, en contournant de ses fins ciseaux la trompe d'un éléphant sacré (Gyp, Souvenirs d'une petite fille, 1928, p. 195). − Spéc., MÉCAN. Usiner (une pièce) en suivant un profil déterminé. Synon. profiler.
− P. métaph. Dans ce livre, je contourne mon écriture, ce qui oblige à ne pas glisser en ligne droite (Cocteau, La Difficulté d'être, 1947, p. 177).
− Absol., PEINT. ,,Dessiner les contours`` (Pern. 1787).

B.− Suivre les contours de (une surface, une figure). Chemin, route qui contourne un lac, un champ, une ville. Ces genoux minces que la jupe de velours contournait (A. de Noailles, La Nouvelle espérance, 1903, p. 217). Lorsque le soleil vient de contourner le toit du mas (J. de Lacretelle, Amour nuptial, 1929, p. 7). − ANAT. Faire le tour de. Le muscle contourne telle partie, tel organe.

C.− [Le suj. est un être animé] 1. Faire le tour de (pour éviter, pour ne pas pénétrer dans). Contourner la foule, un rassemblement; l'armée contourna Paris par le Sud : 1. ... [il] n'avait pu venir à temps à Saint-Loup, parce qu'il lui avait fallu suivre une longue courbe, en contournant la ville du couchant à l'orient.
A. France, Vie de Jeanne d'Arc, 1908, p. 341.
2. Des bandes silencieuses d'étourneaux et de grives venant du Sud, passèrent très haut, mais contournèrent la ville...
Camus, La Peste, 1947, p. 207.
− P. métaph. Rien ne l'entamait plus; le monde extérieur le contournait (A. Arnoux, Zulma l'infidèle, 1960, p. 198).

2. Éviter (un obstacle matériel) en suivant ses contours. Contourner un obstacle, un fossé, un mur, une muraille, un piège, un pilier. Navire qui contourne un récif. Synon. éviter : 3. Le grand luxe, c'est l'espace. Pouvoir traverser une pièce d'un bout à l'autre sans avoir à contourner une table et des fauteuils.
Green, Journal, 1950-54, p. 262.
− Emploi pronom., vx. Contourner (un organe); se diriger en contournant : 4. Il [le nerf sciatique] se glisse ensuite le long du péroné; et se contournant vers le tiers supérieur de cet os, il se divise...
Cuvier, Leçons d'anat. comp., t. 2, 1805, p. 279.


3. Fig. Éviter de respecter en employant des moyens détournés. Contourner la loi, le règlement. Synon. tourner, passer outre.


II.− [Cf. contour II] A.− Donner à (quelque chose) une forme compliquée, en courbant en plusieurs sens, en déformant. 1. [Concr.] Déformer (le corps, une partie du corps). Synon. partiels contorsionner, tordre. Dès qu'il parlait, il la [sa bouche] contournait de droite à gauche (Sue, Les Mystères de Paris, t. 7, 1842-43). Des cigognes (...) contournant leur cou démesuré (Du Camp, En Hollande, 1859, p. 89) : 5. ... ayant bâillé à la manière des chattes, s'étant étirée, ayant contourné dans tous les sens ses petits bras et ses toutes petites mains gracieuses, elle [Chrysanthème] se redresse résolument.
Loti, Madame Chrysanthème, 1887, p. 125.

2. [Abstr.] Contourner son style, ses idées. Synon. compliquer, tortiller.

B.− Emplois pronom. 1. Sens passif. a) Présenter une forme compliquée, généralement courbe. Ornements, volutes qui se contournent; se contourner en (forme de) : 6. ... deux piliers couplés présentaient leurs chapiteaux formés de têtes de vache, dont les cornes se contournaient en croissant isiaque.
T. Gautier, Le Roman de la momie, 1858, p. 162.

b) Faire de nombreuses courbes (lignes, voies) : 7. Personne pour nous indiquer la route; toujours les mêmes petites rues, qui montent, descendent et se contournent sans motif plausible, comme les sentiers d'un labyrinthe.
Loti, Aziyadé, 1879, p. 283.


2. Emploi réfléchi. a) Donner à son corps, à une partie du corps une apparence courbe. Le (...) [pinson] s'était accroupi, se contournant en boule (Verlaine, Œuvres complètes, t. 3, Dédicaces, 1890, p. 114).
b) Prendre une telle apparence. (Voir) se contourner en tous sens, Les trompes des éléphants (Cendrars, Du monde entier au cœur du monde, 1957, p. 61). Rem. 1. On rencontre ds la docum. un ex. du part. prés. adjectivé. Ce mouvement retenu, sinueux, contournant et revenant (Alain, Système des beaux-arts, 1920, p. 314). 2. La docum. atteste en outre a) Contournable, adj. (ds Ac. Compl. 1842, Besch. 1845, Littré). Qui peut se contourner, ou être contourné. Un bois, un rocher, un obstacle, une difficulté contournable. [Abstr.] Que l'on peut éviter, tourner. Une loi contournable. b) Contournage, subst. masc. α) Action de donner des contours recherchés ou forcés; résultat de cette action. Le style de Louis XV, avec ses baroques contournages (Mazaros, Histoire des corporations françaises d'arts et métiers, 1874, p. 272 ds Littré). β) Mécan. ,,Opération par laquelle une machine-outil confère de manière continue à une pièce une forme ou un contour curviligne déterminés`` (Lar. encyclop. Suppl. 1968).




Prononc. et Orth. : [kɔ̃tuʀne], (je) contourne [kɔ̃tuʀn]. Ds Ac. 1694-1932. Étymol. et Hist. [Ca 1200 indirectement attesté par son dér. régressif contour; 1311 contorner « être situé (en parlant d'une terre) » (Mercr. av. St Luc, Arch. C.-d'Or, B 495 ds Gdf. Compl.), attest. isolée]; A. 1. Ca 1360 « tourner, se tourner (vers ou contre quelqu'un ou quelque chose) » (Baudoin de Sebourc, V, 137; VIII, 636 ds T.-L.) − début xvii^e s. ds Hug.; 2. 1512 « entourer (ici, de ses bras, sens fig.) » (Lemaire de Belges, Illustrations de Gaule et Singularités de Troie, II, 13 ds Hug. : une femme si legerement contournee en tes embrassemens); 1575 (Thevet, Cosmographie universelle, VIII, 3, ibid. : Ceste isle [...] est toute contournee et entouree de rochers); d'où 1761 « faire le tour de quelque chose » (Rapport de M. de Salvert, 28 oct., Ms. Arch. de la Mar. ds Jal : L'ennemi continuant de me Contourner, vint se remettre à tribord); 3. 1651 B.-A. « tracer les contours d'une figure » (R. F[réart] de Chambray, trad. fr. du Trattato di Pittura de Léonard de Vinci, p. 6 ds Brunot t. 6, 2, p. 695); 4. 1721 pot. « façonner (un vase) » (Trév.). B. 1548 au propre « tortiller » (N. Du Fail, Baliverneries d'Eutrapel, p. 155 ds IGLF : [Eutrapel] contournant sa barbe); 1803 au fig. contourné « trop compliqué, peu naturel (ici, en parlant du style de quelqu'un) » (Chateaubriand, Génie du christianisme, t. 1, p. 4). D'un lat. vulg. *contornare, attesté seulement au viii^e s. (Gloses de Reichenau, éd. H. W. Klein, p. 160, n^o 360 : convertantur : conturnent), composé de cum et de tornare (tourner*). Le sens A 3 est dû à l'infl. de l'ital. contornare. Fréq. abs. littér. : 520. Fréq. rel. littér. : xix^e s. : a) 542, b) 665; xx^e s. : a) 868, b) 867

marie1 a écrit:

Il y a quelque temps, je me suis engueulee avec le CPE. Monsieur avait decrete que si une personne fait un rapport sur le comportement d'un éleve (degradation, insulte) que cette personne devait recevoir l'élève, telephoner et recevoir les parents.

Je lui ai répondu categoriquement : "Je ferai votre boulot quand j'aurai votre paie à la fin du mois et comme ce ne sera jamais le cas donc chacun son boulot et sa m....
Depuis les rapports sont tendus mais il est hors de question de faire le boulot des autres.

Oh le beau !!!! Un comme je les aime !!!
Pas grave.
S'il se plaind de la bouffe : il va faire la cuisine !
Si la Vie Scolaire est sale : il la nettoie !
Si son imprimante n'a plus d'encre : il va au magasin en chercher !
S'il est pas content : il se prend deux baffes !

Moi ce que j'aime chez VI, c'est souvent ses conclusions !