titou a écrit:

J'hésite entre trois réponses :
1) Le diagnostic est incertain : le matériel est dans l'atelier et on essaie de situer la panne !
2) lorsque l'on me dira de quoi souffre le matériel j'appellerais le docteur
3) je lui éclate de rire au nez

Tu as commis une erreur de rédaction pour le 3), c'est :
3) je lui éclate le nez

.... et je me le paye à la première occasion : du style retard, salle dégradée, etc... je suis trés rancunier.

Vieil intendant a écrit:

titou a écrit:

J'hésite entre trois réponses :
1) Le diagnostic est incertain : le matériel est dans l'atelier et on essaie de situer la panne !
2) lorsque l'on me dira de quoi souffre le matériel j'appellerais le docteur
3) je lui éclate de rire au nez

Tu as commis une erreur de rédaction pour le 3), c'est :
3) je lui éclate le nez

.... et je me le paye à la première occasion : du style retard, salle dégradée, etc... je suis trés rancunier.

C'est pas toi qui as détruit un hôtel dans le Maine en 1980 ?

Avez vous remarqué qu'une fois de plus ce post est parti en c.....es !

(et j'ai ma deuxième étoile, preuve que je suis bien une saleté de fonctionnaire, au lieu de bosser je lis ce forum et en plus j'y laisse des posts, honte à moi)

Gestio'nerfdeboeuf a écrit:

Avez vous remarqué qu'une fois de plus ce post est parti en c.....es !

Oui, j'ai remarqué .Les modos vont avoir du ménage à faire .
L'intervention de Nicolas( juste avant celle de VI ) est , parmi d'autres , intéressante

tobias a écrit:

Les modos vont avoir du ménage à faire .

Alors que nous sommes moins bien payés qu'une femme de ménage...
Je propose donc que chacun fasse comme si de rien n'était et reprenne le fil de la conversation juste après l'intervention de Nicolas que je reprends in extenso mais sans la vache qui bouge sa tête:

La vache qui rit, bien qu'elle soit ridicule en déguisement de sapin de Noël, fête terminée depuis un moment, cela dit en passant, a écrit:

J'ai rencontré une situation similaire et c'est moi qui ai demandé un entretien avec le CE et le professeur en indiquant que tous les personnels de l'établissement étaient également dignes de respect et que je n'acceptais pas la manière dont le professeur était venu parler de sa demande (même si je pouvais comprendre une émotion à laquelle nous pouvons tous être sujet) ... j'ai bien rappelé la manière dont les choses s'étaient passées et précisé que je donnerai pas suite à une demande formulée de cette manière car ce n'était pas la première fois que des collègues de l'administration se sentaient blessés par ce professeur ...

Résultat le professeur confus s'est excusé et malgré le tempérament volcanique (du genre VI quanq il voit un cpe ) il est doux comme un agneau lorsqu'il vient à l'intendance ...

Comme quoi, une simple explication peut parfois résoudre des situations difficiles car croyez moi "je l'avais un peu en travers de la gorge" ... parfois avec les récalcitrants il faut certainement des manières plus fortes mais là je laisse les spécialistes s'exprimer ...

tobias a écrit:

Gestio'nerfdeboeuf a écrit:

Avez vous remarqué qu'une fois de plus ce post est parti en c.....es !

Oui, j'ai remarqué .Les modos vont avoir du ménage à faire .
L'intervention de Nicolas( juste avant celle de VI ) est , parmi d'autres , intéressante

Mais non, cela ne part en roupettes. Au debut cela c'est très bien tenu.
C'est seulement la loi du genre pour ce genre de fil qui cause plus de politesse et de relations courtoises - ou seulement intelligentes - que de textes et règlements applicables en l'espèce.

Le truc qui me chagrine c'est qu'il reste cependant des personnages mal éduqués, à leur âge, et que personne ou très peu ne s'en chargent et de leur expliquer deux ou trois choses du savoir vivre et du savoir être en collectivité qui leur seraient indispensables.

Quand cela se passe comme Nicolas l'a bien expliqué, c'est efficace.
Une fois par an c'est tolérable. Pas deux.

Si deux et que le problème vienne toujours de la salle des profs et l'on veuille que cela s'arrête, il y aurait une explication à faire, de faite ici, à la première occasion : en général, à la réunion de pré-rentrée des profs.
Cela suffit en général. Les gens sont prévenus. Ils essuient leurs pieds sur le paillasson avant d'entrer, la permission accordée.

Mais peut-être que si les intendances ouvraient davantage leurs portes et faisait faire le tour de leur métier aux profs, visite gratuite par petits paquets (de même discipline), petite collation à la sortie (il faut récompenser), il y aurait sans doute plus de respect sinon d'intérêt de leur part, tellement il est de totalement ignorants de ce et ceux qui les entourent pour leur assurer confort.

Bon, maintenant pour les gestionnaires qui bossent trop sans la reconnaissance des foules et du ministre, un truc de Boileau que je viens de découvrir dans un site de profs matheux :


L'homme, dont la vie entière
Est de quatre-vingt-seize ans,
Dort le tiers de sa carrière,
C'est juste trente-deux ans.

Ajoutons pour maladies,
Procès, voyages, accidents
Au moins un quart de la vie,
C'est encore deux fois douze ans.

Par jour deux heures d'études
Ou de travaux -- font huit ans,
Noirs chagrins, inquiétudes --
Pour le double font seize ans.

Pour affaires qu'on projette
Demi-heure, -- encore deux ans.
Cinq quarts d'heures de toilette :
Barbe et caetera -- cinq ans.

Par jour pour manger et boire
Deux heures font bien huit ans.
Cela porte le mémoire
Jusqu'à quatre-vingt-quinze ans.

Reste encore un an pour faire
Ce qu'oiseaux font au printemps.
Par jour l'homme a donc sur terre
Un quart d'heure de bon temps.

Avisse aux gestionnaires qui passent plus d'un quart d'heure ici
...

Bref

Bref a écrit:

tobias a écrit:

Gestio'nerfdeboeuf a écrit:

Avez vous remarqué qu'une fois de plus ce post est parti en c.....es !

Oui, j'ai remarqué .Les modos vont avoir du ménage à faire .
L'intervention de Nicolas( juste avant celle de VI ) est , parmi d'autres , intéressante

Mais non, cela ne part en roupettes. Au debut cela c'est très bien tenu.
C'est seulement la loi du genre pour ce genre de fil qui cause plus de politesse et de relations courtoises - ou seulement intelligentes - que de textes et règlements applicables en l'espèce.

Le truc qui me chagrine c'est qu'il reste cependant des personnages mal éduqués, à leur âge, et que personne ou très peu ne s'en chargent et de leur expliquer deux ou trois choses du savoir vivre et du savoir être en collectivité qui leur seraient indispensables.

Quand cela se passe comme Nicolas l'a bien expliqué, c'est efficace.
Une fois par an c'est tolérable. Pas deux.

Si deux et que le problème vienne toujours de la salle des profs et l'on veuille que cela s'arrête, il y aurait une explication à faire, de faite ici, à la première occasion : en général, à la réunion de pré-rentrée des profs.
Cela suffit en général. Les gens sont prévenus. Ils essuient leurs pieds sur le paillasson avant d'entrer, la permission accordée.

Mais peut-être que si les intendances ouvraient davantage leurs portes et faisait faire le tour de leur métier aux profs, visite gratuite par petits paquets (de même discipline), petite collation à la sortie (il faut récompenser), il y aurait sans doute plus de respect sinon d'intérêt de leur part, tellement il est de totalement ignorants de ce et ceux qui les entourent pour leur assurer confort.

Bon, maintenant pour les gestionnaires qui bossent trop sans la reconnaissance des foules et du ministre, un truc de Boileau que je viens de découvrir dans un site de profs matheux :


L'homme, dont la vie entière
Est de quatre-vingt-seize ans,
Dort le tiers de sa carrière,
C'est juste trente-deux ans.

Ajoutons pour maladies,
Procès, voyages, accidents
Au moins un quart de la vie,
C'est encore deux fois douze ans.

Par jour deux heures d'études
Ou de travaux -- font huit ans,
Noirs chagrins, inquiétudes --
Pour le double font seize ans.

Pour affaires qu'on projette
Demi-heure, -- encore deux ans.
Cinq quarts d'heures de toilette :
Barbe et caetera -- cinq ans.

Par jour pour manger et boire
Deux heures font bien huit ans.
Cela porte le mémoire
Jusqu'à quatre-vingt-quinze ans.

Reste encore un an pour faire
Ce qu'oiseaux font au printemps.
Par jour l'homme a donc sur terre
Un quart d'heure de bon temps.

Avisse aux gestionnaires qui passent plus d'un quart d'heure ici
...

Bref

quel lyrisme. un peu de tendresse dans un monde de brutes..

vieil armagnac a écrit:

imaginez quand j'essaie d'expliquer que j'ai une responsabilité sur mes deniers personnels en cas de faute... même pas en rêve !!

Responsabilité même sans faute, vieil armagnac, même sans faute...