Bonsoir,

Notre établissement vient d'être accrédité Erasmus et on doit mettre en place des mobilités individuelles.
Parmi les options proposées, il y a le versement d'un forfait permettant de couvrir les charges du voyage.
Problème: quand les charges sont nettement inférieures au forfait, doit-on laisser le reliquat aux familles, sachant que ce dernier peut-être élevé?
Et dans l'affirmative, ne risque t-on pas de devoir justifier cet écart ultérieurement à l'agence Erasmus? avec reversement à la clé...

Merci de vos réponses, pour ceux qui ont déjà cette expérience.  

Pour moi, c'est acquis en effet.

Erasmus fonctionne au forfait de manière indépendante du coup réel de l'action. C'est une bourse.
Donc l'excédent profite à la famille. Je vais même plus loin en cas d'audit Erasmus vérifie que tu as bien versé le montant intégral de la bourse.

  ATCQ est un spécialiste d'Erasmus.

Merci de vos réponses

Bonjour,

Et si on dépasse par exemple le forfait "frais de voyage" lorsqu'on passe par un prestataire. J'imagine que l'établissement doit combler l'écart sur ses fonds propres.

invit. a écrit:

Bonjour,

Et si on dépasse par exemple le forfait "frais de voyage" lorsqu'on passe par un prestataire. J'imagine que l'établissement doit combler l'écart sur ses fonds propres.

Bonjour,

Même réponse que celle de l'ami ATCQ : "Erasmus fonctionne au forfait de manière indépendante du coup réel de l'action".

Ceci dit, rien n'empêche d'avoir d'autres sources de financement pour les mobilités (Collectivités, familles, autres...) et même au contraire, l'agence Erasmus apprécie de voir dans nos bilans définitifs qu'elle n'est pas seule à financer et cela peut jouer positivement sur la note finale et donc la notification définitive.

La notion de forfait, dans ce cadre-là, n'est pas dans notre "culture EPLE", on doit donc faire un effort pour l'intégrer.

Néanmoins je la trouve pertinente, elle va dans le bon sens, celui de la simplification.