Bonjour, J'ai ouvert diverses subventions
pédagogiques du Conseil Général (atelier musique, logiciels
pédagogiques) au Chapitre A2 - Activités éducatives et pédagogiques
financées sur ressources spécifiques.

Dois-je réserver ce chapitre aux crédits d'Etat ?

Si celà est le cas dois-je procéder pour cette année aux régularisations (DBM et réimputations) ?

Sur quel chapitre dois-je ouvrir ces subventions spécifiques du CG ?

En vous remerciant.

Cordialement.

Sur le A2 sont imputées des dépenses pédagogiques financées grâce à une ressource spécifique , ce qui ne signifie pas pour autant qu'il doive s'agir exclusivement de crédits d'Etat.
Je me répète, sans pour autant penser que je me trompe

Spécifiques pour l'activité pédagogique, non pas spécifique pour le bailleur de fonds.

Pour ma part, je réserve le chapitre A2 aux manuels scolaires qu'ils soient finançés par l'Etat ou le conseil général et les droits de reprographie.
Les actions pédagogiques spécifiques de type ateliers finançés par le CG sont inscrites au chapitre N2 : Actions d'animations.

N2 ? Je serais plutôt pour un J 3... enfin, ça dépend du bazar.

barbule a écrit:

Sur le A2 sont imputées des dépenses pédagogiques financées grâce à une ressource spécifique , ce qui ne signifie pas pour autant qu'il doive s'agir exclusivement de crédits d'Etat.
Je me répète, sans pour autant penser que je me trompe

ne pas oublier l'expression de la circulaire de 91 sur le chapitre A2 : "dépenses imputables à un compte de charge par nature unique"
Je sais qu'il y a débat sur l'interprétation de cette expression, mais je ne vois pas d'autre explication que : les comptes qui se trouvent au A2 ne peuvent être imputés sur un autre chapitre.

En conclusion, il est grand temps que notre cadre budgétaire soit modifié.
Cet ensemble de services spéciaux sans réserve N2, J31, J38 ...regroupant des actions pédagogiques aussi improbables que variées ne participe en rien à la sincérité budgétaire.
La nomenclature existante n'est plus pertinente.

invité a écrit:

En conclusion, il est grand temps que notre cadre budgétaire soit modifié.
Cet ensemble de services spéciaux sans réserve N2, J31, J38 ...regroupant des actions pédagogiques aussi improbables que variées ne participe en rien à la sincérité budgétaire.
La nomenclature existante n'est plus pertinente.

On en a l'illustration quotidienne avec les montages plus ou moins acrobatiques qui consistent à prendre les crédits là où ils sont et cela au dernier moment, pour boucher les trous (la subvention ne suffit pas pour la sortie au J3, on peut peut-être prendre sur nos crédits pédagogiques ?)
Conséquence: on ventile les factures (souvent) sans clé de répartition préétablie, on réïmpute (parfois) et on est incapables de chiffrer sérieusement certains domaines de notre activité.

Merci pour vos réponses.

J'ai également envoyé un courriel au rectorat, j'attends sa réponse.