je sais mais comme on est aussi bavardes, l'une que l'autre, faut soit que je prévois des sandwichs pour diner soit que je te consacre un après-midi...

polaire a écrit:

Je retourne à mes premières amours : collège

Merci d'envoyer la nouvelle adresse postale pour les cadeaux du GJQ.

(Pardon, un vieux réflexe.)

LFDG a écrit:

polaire a écrit:

Je retourne à mes premières amours : collège

Merci d'envoyer la nouvelle adresse postale pour les cadeaux du GJQ.

(Pardon, un vieux réflexe.)

J'en reviens au GFQ par une autre porte : je connais quelques uns d'entre vous et je vais non seulement garder le contact via l'IZ et le forum, mais comme j'en ai parlé avec une autre collègue en cours de mobilité, surtout, surtout, je serais très honorée de garder le contact aussi par le réseau des professionnels (Linkedin).

Et Grincheux, sinon, je te rejoins... Je passe du côté sombre de la force.

@ Xena : Cool !

Xena a écrit:

LFDG a écrit:

polaire a écrit:

Je retourne à mes premières amours : collège

Merci d'envoyer la nouvelle adresse postale pour les cadeaux du GJQ.

(Pardon, un vieux réflexe.)

J'en reviens au GFQ par une autre porte : je connais quelques uns d'entre vous et je vais non seulement garder le contact via l'IZ et le forum, mais comme j'en ai parlé avec une autre collègue en cours de mobilité, surtout, surtout, je serais très honorée de garder le contact aussi par le réseau des professionnels (Linkedin).

Et Grincheux, sinon, je te rejoins... Je passe du côté sombre de la force.

C'est quoi ton blaze sur LinkedIN

Je te l'envoie par mail...

Xena a écrit:

Je te l'envoie par mail...

 

Xena a écrit:

je sais mais comme on est aussi bavardes, l'une que l'autre, faut soit que je prévois des sandwichs pour diner soit que je te consacre un après-midi...

Faut qu'on se fasse un repas ensemble alors !
En plus je suis nulle en vin de ton bled c'est l'occasion 

Fougère a écrit:

Faut qu'on se fasse un repas ensemble alors !

Préparé par super cuistot ?

bonjour à tous,
l'arrêté du 29 décembre 2022 relatif à l'organisation du service des comptables, précisé chez nous à l'Educ Nat par la note de service du 5 avril 2023, rappelle, entre autres, le gros allègement des opérations de remise de service entre comptables. Le problème, si j'ai bien tout compris après m'être renseigné, c'est que ces nouvelles dispositions ont bien été intégrées dans Opale mais pas dans GFC où la remise de service reste, comme à mon époque maintenant lointaine, une opération plus lourde assimilable à un mini compte financier.
D'où mon questionnement (indirect) qui en découle : à quoi conseillez vous d'être particulièrement vigilants en arrivant (en particulier pour les étab passés sous Opale)? merci d'être aussi précis que possible. Je me doute bien que plus il y a d'opérations régularisées ou soldées au moment de la remise de service, mieux c'est. Mais ça ne dit pas forcément à quoi il faut (ou vous estimez qu'il faudrait) être vraiment attentif en compta géné. Merci pour vos contributions.

tu fais fait sortir de l'université l'IZ ?

oki a écrit:

tu t'es fait sortir de l'université l'IZ ?

Oui, comme un malpropre. Je ne m'étendrai pas en commentaires mais globalement ces gens sont bien à plaindre.

gauguin45 a écrit:

l'arrêté du 29 décembre 2022 relatif à l'organisation du service des comptables, précisé chez nous à l'Educ Nat par la note de service du 5 avril 2023, rappelle, entre autres, le gros allègement des opérations de remise de service entre comptables. Le problème, si j'ai bien tout compris après m'être renseigné, c'est que ces nouvelles dispositions ont bien été intégrées dans Opale mais pas dans GFC où la remise de service reste, comme à mon époque maintenant lointaine, une opération plus lourde assimilable à un mini compte financier.

Forcément ! GFC exige une tenue de comptabilité manuelle quotidienne exigeante, mais quand on a pris le pli c'est plus un problème. Dans mes établissements l'EDDS était intégral et supervisé par quinzaine, on aurait pu sortir "un petit cofi" une vingtaine de fois par an sans effort supplémentaire.

Alors qu'Op@le assure une comptabilité des tiers intégrale, toute opération est rattachée à une personne, et la liste des opérations sur les différents tiers constitue ce qui fut l'EDDS d'antan (je caricature). Op@le est donc un véritable progrès de ce point de vue.

gauguin45 a écrit:

à quoi conseillez vous d'être particulièrement vigilants en arrivant (en particulier pour les étab passés sous Opale)? merci d'être aussi précis que possible. Je me doute bien que plus il y a d'opérations régularisées ou soldées au moment de la remise de service, mieux c'est. Mais ça ne dit pas forcément à quoi il faut (ou vous estimez qu'il faudrait) être vraiment attentif en compta géné.

Eh bien il faut faire très attention aux "tiers génériques", utilisés pour certaines opérations qui continuent à être suivies en compta annexe, comme les cartes des commensaux dans Turbise. C'est pas nouveau.

Le problème ensuite, c'est que les restitutions comptables d'Op@le sont incomplètes et d'une fiabilité douteuse. On ne peut pas non plus (facilement) faire une analyse financière comme on pouvait le faire avec Cogefi, qui me permettait de tout savoir sur tout en quelques clics (et le temps d'infuser mon thé pendant que le processeur traitait toutes les données). GFC était véritablement meilleur.

C'est cool. On a besoin de l'expertise de l' IZ sur Opale mais il risque de faire une dépression !

Sincèrement, j'utilise les écritures validées par compte et ça me donne ce que j'avais avec les eds... Sauf que je sors celui que je veux quand je veux. Je viens de faire le 4128.

ça fait mal l'IZ, je ne pensais pas qu'il était capable d'inviter aussi rapidement une nouvelle recrue à partir, est ce parce que la marche était trop grande entre nos compétences en EPLE et celles attendues en université, ou bien c'est ton caractère :O qui n'est pas passé ?

Passer de quatre à trois lettres... Intéressant aussi.

oki a écrit:

ça fait mal l'IZ, je ne pensais pas qu'il était capable d'inviter aussi rapidement une nouvelle recrue à partir, est ce parce que la marche était trop grande entre nos compétences en EPLE et celles attendues en université, ou bien c'est ton caractère :O qui n'est pas passé ?

J'ai été recruté par une DGS qui était déjà en grande fragilité sur son poste. Le temps que je sois libéré, ça n'avait pas progressé, et elle a eu des problèmes personnels qui l'ont éloignée quelques semaines, et déstabilisée. A son retour c'est devenu carrément infernal, et peut-être même un peu aussi parce que je commençais à embrayer sur les changements qu'elle me demandait d'impulser. Et elle s'est faite virer.

Dès lors mon temps était compté. J'ai considéré que le nouveau DGS serait intéressé par tous les projets que je poussais, et que j'ai été obligé, pendant toute l'année 2023, de faire avancer en mode underground. Parce que sans chef, je ne pouvais pas m'exposer, je n'aurais pas été couvert, et ça aurait nui à la démarche. Mais j'ai continué à placer mes pions.

Ca a dérapé quand l'une de mes adjointes a fait un accident de trajet et s'est absentée au pire moment, en pleine clôture. Il a fallu que je fasse son travail en plus du mien et celui d'un absentéiste absolu (un gars qui a fait environ dix jours de présence sur tout 2023 !) sur une fonction essentielle et hyper-technique, et je devrais aussi compter avec l'autre poste d'adjoint du DAF qui a été concrètement vacant pendant le plus clair du temps où j'y étais (recrutement totalement raté, on avait pris le seul candidat et c'était pas le bon). Je peux faire le boulot de deux personnes assez facilement, ceux qui me connaissent sur le terrain y sont habitués. Mais celui de quatre cadres A, dans un environnement nouveau, avec le petit personnel qui se plaint constamment de tout et notamment de devoir travailler, sans chef pour me soutenir, et en devant solutionner les khonneries inextricables d'autres services hors le périmètre de ma direction, là clairement j'y arrivais plus.

Donc des gens très bienveillants et sympathiques m'ont pilonné et piétiné pendant deux mois, et quand le nouveau DGS est arrivé, j'étais en burn-out bien soigné. Toujours présent tous les jours, même pas de télétravail, à faire avancer les choses tous les jours contre tout et tout le monde, mais clairement je n'étais plus que l'ombre de moi-même. Le nouveau chef a mis le pied sur la pédale de la poubelle pour m'y précipiter sans chercher à en savoir plus. De toutes manières la fac avait fait un gros déficit en 2023 (merci Bruno M., entre autres), et c'était pas plus mal de désigner un coupable.

Tout ce que je peux dire, c'est que le contribuable est quand même bien gentil de donner tout cet argent à cet établissement-là. C'est beau, la confiance !

L'herbe n'est donc pas plus verte ailleurs !

Avant ton départ de l'EPLE, tu incitais les personnes à fuit la catastrophe annoncée Op@le. Tout allait s'effondrer, il fallait fuir. Finalement, tu reviens. Qu'est ce qui a changé depuis ?

Par ailleurs, ce que j'apprécie dans ton récit sur ce que tu as vécu dans le sup', c'est que toutes les difficultés rencontrées sont liées aux personnels présents. A aucun moment, tu n'envisages avoir pris part à la situation subie si ce n'est qu'en tant que victime des méchants.

C'est bien d'écrire sa propre légende : "Je peux faire le boulot de deux personnes assez facilement", "en devant solutionner les khonneries inextricables d'autres services hors le périmètre de ma direction", "j'étais en burn-out bien soigné. Toujours présent tous les jours, même pas de télétravail, à faire avancer les choses tous les jours contre tout et tout le monde" (ce genre de propos aide bien les collègues en difficulté à se sentir mieux).

Je suis certain que tu as à disposition une infaillible statistique zonienne qui montrera que le sup' est un enfer pour les personnels qui bossent, non ? Ou bien une autre qui soulignera que les gens dévoués sont les premiers à subir.

retour en EPLE a écrit:

L'herbe n'est donc pas plus verte ailleurs !

Elle ne l'a jamais été que pour des gens crédules. Je savais très bien que je partais pour un truc compliqué et risqué. J'étais le seul candidat sur le poste, et j'ai été accueilli par "votre prédécesseur a saboté le poste". De fait à mon arrivée, je n'avais RIEN : pas d'adresse électronique fonctionnelle, donc zéro historique des échanges entre mon service et le reste de l'université. Et une équipe incomplète, démotivée, pas formée.

retour en EPLE a écrit:

Avant ton départ de l'EPLE, tu incitais les personnes à fuir la catastrophe annoncée Op@le. Tout allait s'effondrer, il fallait fuir. Finalement, tu reviens. Qu'est ce qui a changé depuis ?

Ce qui a changé, c'est que sur la quarantaine de candidatures que j'ai envoyé, aucune n'a trouvé grâce aux yeux des recruteurs. Je suis tricard, est-ce parce que c'est moi, ou parce que les gens qui viennent des EPLE sont considéré comme des nazes, ou le fait d'être passé 18 mois seulement sur les deux précédents postes ? Donc j'ai été obligé de me faire réintégrer en tant qu'attaché dans mon rectorat, et, dans sa grande sagesse, il m'a nommé sur l'un des cinquante postes de l'académie où il n'y a jamais de gestionnaire. Ils n'ont bizarrement pas fait le choix de me prendre dans les services pour que je puisse y élargir mon expérience professionnelle, cherchant à me faire progresser personnellement.

retour en EPLE a écrit:

Par ailleurs, ce que j'apprécie dans ton récit sur ce que tu as vécu dans le sup', c'est que toutes les difficultés rencontrées sont liées aux personnels présents. A aucun moment, tu n'envisages avoir pris part à la situation subie si ce n'est qu'en tant que victime des méchants.

Comme tu peux le lire ci-dessous, les méchants sont à la fois :

* les personnels partis : mon prédécesseur, ses deux adjoints qui sont partis au moment où j'arrivais ou juste après
* des gens extérieurs à la baraque : le conducteur du tramway qui a donné un coup de frein idiot et fait faire une sale chute à ma principale collaboratrice se trouvant à bord ; les candidats qui ne se sont pas bousculés pour l'autre poste d'adjoint...
* des gens pas encore arrivés : le nouveau DGS

En fait il y a un problème structurel d'ambiance de travail chez les administratifs de cet établissement. Aucune culture de la qualité comptable et de gestion, aucune remise en question des pratiques, pas de mise en application sérieuse et sincère de la GBCP dix ans après le décret. J'ai été recruté pour aider ma DG à remettre tout ce petit monde au pas, c'était pas pour faire un atelier gâteau au yaourt en CP ! Donc oui, il y a eu des oppositions de partout, et même des coups tordus. J'assume parfaitement d'avoir dérangé tout un tas de gens dans leur confort et leurs certitudes. Je l'ai fait avec respect et courtoisie, et ce que j'ai apporté a aussi enchanté pas mal de monde dans la maison, en particulier des enseignants et élus, qui m'ont gratifié de précieux encouragements comme "enfin quelqu'un qui cherche des solutions au lieu d'ajouter des problèmes", ou, mais ça c'est comme en EPLE, "pour la première fois depuis 20 ans j'ai compris ce qui se passait avec le budget/le cofi". De la part de professeurs d'université qui sont des géants dans leur spécialité, qui forment des chercheurs à des trucs incroyables, je peux vous assurer que ça m'allait droit au coeur et que ça m'a bien aidé à supporter le reste.

retour en EPLE a écrit:

C'est bien d'écrire sa propre légende (...) (ce genre de propos aide bien les collègues en difficulté à se sentir mieux).

Et j'en remets une couche !

Les collègues en difficulté peuvent rester en EPLE, aller dans une université, n'importe où, et y trouver leur équilibre, aucun problème. Mais prendre un emploi fonctionnel sur la suggestion de l'autorité de contrôle où l'on vous dit "c'est le merdier là-bas, on rêve d'avoir un jour un budget raisonnablement conforme à la réglementation et dans les délais", et quand le directeur général qui vous recrute comme son adjoint vous accueille avec "méfiez-vous de tout et de tout le monde", il y a des gens que ça amuse, c'est mon cas, et d'autres qui devraient se dire qu'il vaut mieux passer son tour. Je m'empresse de préciser, pour ajouter à la légende, que j'ai pris un poste aussi évidemment merdique et dangereux en perdant plus de 10 k€ annuels nets sur le bulletin de salaire, en plus du logement de fonction (et j'étais alors logé à Paris dans un endroit qui au prix du marché vaut 3k€ par mois). J'y ai trouvé mon intérêt, et cette expérience, pour être non concluante, aura été extrêmement formatrice et enrichissante pour moi.

retour en EPLE a écrit:

Je suis certain que tu as à disposition une infaillible statistique zonienne qui montrera que le sup' est un enfer pour les personnels qui bossent, non ? Ou bien une autre qui soulignera que les gens dévoués sont les premiers à subir.

En l'occurrence je n'ai pas écouté ma cheffe, qui m'a prescrit de me barrer. J'ai mis ça sur le compte de la rancoeur d'avoir elle-même été débarquée, mais son analyse de la situation était la bonne. On n'obéit jamais assez à son chef ! Cela dit, j'ai vraiment cru que ça pourrait marcher, et sans ce foutu accident de trajet, je pense encore qu'il y avait un chemin. La légende dit que l'IZ n'abandonne pas quand ça devient pénible au lieu d'être seulement difficile.

L'intendant zonard a écrit:

Ils n'ont bizarrement pas fait le choix de me prendre dans les services pour que je puisse y élargir mon expérience professionnelle,

On a toujours beaucoup de choses à reprocher aux services académiques, mais ils ne sont quand même pas fous...  


Pour le reste: "When the legend become facts, print the legend !"

Merci l'IZ pour ton retour d'expérience qui me semble parfaitement sincère.
Les contribuables qui savent pleurent déjà depuis longtemps.
Ton expérience montre qu'il est difficile d'envisager faire carrière dans la fonction publique aujourd'hui, puisque plus tu montes dans les grades plus tu te retrouves confronté à l'emmerdement sommital, il est clairement plus confortable de rester en bas les fesses au chaud à se plaindre de devoir juste travailler. 
Quelle tristesse notre fonction publique.

Je suis toujours étonné par le caractère tranché des opinions sur l'IZ depuis toutes ces années : il y a les partisans et les adversaires du personnage. Les premiers sont (sans doute) nombreux (mais plutôt discrets). Les seconds sont très acides dans leurs propos et souvent non inscrits (invités).
Ce qui selon moi est très injuste, étant donné tout ce que le bonhomme (que je ne connais pas) a donné à cette profession et à ce forum. Il mérite mille mercis et une immense reconnaissance. L'expérience dans le SUP n'est pas concluante, cher IZ? pas grave, t'inquiètes, il y en aura peut-être une autre positive. Mais en ne tentant rien, on ne risque pas grand chose. J'ai quitté les bahuts car j'avais fait le tour du métier. Je suis parti dans les services administratifs où j'ai fait des belles choses, raté quelques autres, rencontré des gens super et subi des cons. Je reviens en bahut avec bonheur. Et pour la suite, on verra bien.
Mais si vous êtes depuis 20 ans dans votre bahut et que vous n'en pouvez plus, s'il vous plaît, ne soyez pas trop rude, ne découragez pas (ils n'ont pas besoin de cela) celles et ceux qui s'y investissent, celles et ceux qui s'y sont investis et y croient encore, celles et ceux qui veulent s'y investir et, bien sûr, celles et ceux qui l'ont quitté et y reviennent après une expérience malheureuse. Plus que jamais, il faut rester solidaire, professionnel et ne pas se prendre trop au sérieux, la vie peut taper fort parfois.

oki a écrit:

Merci l'IZ pour ton retour d'expérience qui me semble parfaitement sincère.
Les contribuables qui savent pleurent déjà depuis longtemps.
Ton expérience montre qu'il est difficile d'envisager faire carrière dans la fonction publique aujourd'hui, puisque plus tu montes dans les grades plus tu te retrouves confronté à l'emmerdement sommital, il est clairement plus confortable de rester en bas les fesses au chaud à se plaindre de devoir juste travailler. 
Quelle tristesse notre fonction publique.

Analyse très pertinente ! 

C'est bref, concis et tellement vrai.

gauguin45 a écrit:

il faut rester solidaire, professionnel et ne pas se prendre trop au sérieux

Tes encouragements me redonnent du carburant pour les prochaines galères. Et tu as résumé tout ce que je cherche à faire en trois concepts, c'est bluffant !
En général les gens qui n'aiment pas le lapin pensent que je me prends au sérieux. Pourtant je fais vraiment attention à bien montrer que non. A part ça, si on arrêtait de parler de ma g. ?

Oui ! Parlons de moi plutôt. Et en bien, SVP ! 

Qui c'est cet Isaac Newton ? Le vieux pervers spécialiste de la sérendipité qui a bénéficié des conseils d'un bon secrétaire ?

Nan mossieu.. Isaac c'est le spécialiste des bourses

L'intendant zonard a écrit:

 A part ça, si on arrêtait de parler de ma g. ?

Alors que je le fais très bien tout seul...
 

Isaac Newton a écrit:

Oui ! Parlons de moi plutôt. Et en bien, SVP ! 

ça aussi tu l'as toujours très bien fait toi-même...


Enfin, grâce à vous, un fantôme est réapparu.
Comme quoi les EHPAD sont plus ouverts au monde qu'on ne veut bien le dire...

polaire a écrit:

Nan mossieu.. Isaac c'est le spécialiste des bourses  

Polaire, éternelle groupie transie de Newton, qu'est ce qu'elles ont donc de spéciales les bourses d'Isaac ?


Pff ça me ramène 15 ans en arrière ce genre de post...