Bonjour,

Plein le dos de traiter des reconstat' sur les droits constatés pour un 1 OU 2 JOURS d'absence, montant inférieur à 8€, alors que la règle voudrait qu'on les laisse de côté.

C'est perte de temps et contraire au texte. Gros boulot de traitement en DC  dans GFE et dans GFC pour les trop-perçus.

Est-ce que vous avez laissé tomber de votre côté ?

Que dit le règlement du SRH ? Si les remises sont dues il faut bien les traiter...

Raizonnable a écrit:

Bonjour,

Plein le dos de traiter des reconstat' sur les droits constatés pour un 1 OU 2 JOURS d'absence, montant inférieur à 8€, alors que la règle voudrait qu'on les laisse de côté.

C'est perte de temps et contraire au texte. Gros boulot de traitement en DC  dans GFE et dans GFC pour les trop-perçus.

Est-ce que vous avez laissé tomber de votre côté ?

La règle ne dit pas cela.

Raizonnable a écrit:

Bonjour,

Plein le dos de traiter des reconstat' sur les droits constatés pour un 1 OU 2 JOURS d'absence, montant inférieur à 8€, alors que la règle voudrait qu'on les laisse de côté.

C'est perte de temps et contraire au texte. Gros boulot de traitement en DC  dans GFE et dans GFC pour les trop-perçus.

Est-ce que vous avez laissé tomber de votre côté ?

Message très surprenant.

Déjà il faudrait que l'acte de la CT ou le règlement du SRH prévoit une remise pour un ou deux jours d'absence. Je n'en ai jamais vu. Un ou deux jours c'est lorsque le SRH est fermé pour cause de grève par exemple, pas pour absence de l'élève. Si c'est pour des sorties il faut fournir des repas froids aux DP pour éviter ça.

En suite aucun texte ne dit qu'on ne fait pas de remise d'ordre pour des montants inférieurs à 8 €. Faut relire les textes.

Enfin accepteriez vous qu'un commerçant vous facture des articles non achetés et refuse de vous remboursez au motif qu'il ne veut pas se compliquer la vie pour 4 ou 8 euros ?
Un peu de sérieux on a des obligations et on ne peut pas "laisser tomber"  des rectifications de recettes fausses sous prétexte que ça fait trop de travail.

A mon sens il faut avant tout revoir votre organisation pour limiter les RO et les traiter, par exemple, dans la reconstatation du trimestre suivant.

Dans la Zone, j'avais mesure que mes établissements avaient tout simplement un mouvement (entrant ou sortant) d'élève par jour, tout au long de l'année scolaire. Pour les inscriptions et désinscriptions sauvages à la DP, c'était donc pire encore, alors les petites remises d'ordre de passage, c'était pas ça qui m'inquiétait !

Et j'en étais arrivé à la technique suivante, éprouvée et imparable :

- les DC étaient calculés le premier jour du trimestre (le 10 septembre au plus tard pour le premier trimestre), les factures envoyées illico, l'ordonnancement de la recette aussi.
- les familles qui n'étaient pas contentes avaient alors tout le loisir de me raconter leur vie et de me donner les arguments pour des changements nécessaires. Et surtout pour faire leur demande de bourse !
- le dernier jour du trimestre (pas la veille !), je validais un bordereau rectificatif des DC qui reprenait toutes les modifications que j'avais saisies au fil du trimestre. Et rectification de l'ordonnancement (OR complémentaire ou ORR), mais une seule fois.
- dès le lendemain je n'avais plus qu'à réappuyer sur le bouton pour lancer les DC du nouveau trimestre et rebelote et dix de der.

J'ai tendance à procéder à l'identique sauf que c'est plus facile à faire dans une agence comptable que dans un établissement rattaché. J'imagine pondre l'AOR de fin de trimestre avec le mandat des bourses le dernier jour du trimestre. Je me fais égorger.

Xena a écrit:

J'imagine pondre l'AOR de fin de trimestre avec le mandat des bourses le dernier jour du trimestre. Je me fais égorger.

Pourquoi ? Par qui ?

Mon agent comptable... Parce qu'il faudrait qu'il bosse pendant les 'permanences'.

Xena a écrit:

Mon agent comptable... Parce qu'il faudrait qu'il bosse pendant les 'permanences'.

Qu'il crève ! J'ai toujours bossé pendant "les permanences".
Mais ce que je disais peut s'appliquer, pour être concret, au jour du dernier service à la DP.

Mes gestionnaires, quand ils faisaient ce que je leur recommandais (si seulement ils l'avaient toujours fait...), débarquaient en masse le vendredi après-midi du départ en vacances. Comme tout le travail était toujours à jour, dans ces mandats et recettes de la veille des vacances, il n'y avait rien de vraiment traumatisant dedans, on pouvait valider les choses assez vite après des vérifications qui n'étaient pas pénibles. Moi je pouvais envisager de partir en vacances quand ça m'arrivait malgré tout, un peu fourbu, pas le vendredi à 17 heures mais éventuellement après 19h30, mais mon travail accompli.