Néthou

Si je parle CB, c'est parce que c'est le moyen de paiement utilisé dans mon exemple. Accessoirement, c'est aussi celui que je connais le mieux à titre personnel, puisque mon métier n'est pas de gérer de l'argent. 

Mais du coup, j'ai une autre question pratique (tournant autour du même thème, désolée, c'est juste que je cherche à comprendre). J'ai lu l'histoire de GM appelés à acheter en urgence dans la grande surface du coin de quoi faire des sandwiches pour les participants d'un voyage scolaire dont ils n'avaient pas été prévenus qu'il fallait les nourrir. Comment paient--ils dans ce cas ?

(parenthèse) a écrit:

Mais je ne suis pas sûre de comprendre : tu es en train de me dire que c'est la présence d'un gestionnaire en EPLE qui change les paramètres ? J'aurais plutôt imaginé que c'était le statut juridique même de l'EPLE qui faisait sa particularité, car j'imaginais le gestionnaire plutôt comme une sorte de technicien chargé (outre le bon fonctionnement de son établissement) de la mise en place de solutions juridiques, comptables, financières, matérielles... (technicien n'étant pas péjoratif dans ma bouche, le mot signifiant plutôt "qui a la maîtrise technique" dans ces circonstances). J'ai mal compris ?

Oui c'est bien cela, mais pourquoi as-tu besoin de vérifier ou d'en connaître sur la réglementation et les procédures que doit respecter ledit gestionnaire ?
Lorsqu'un enseignant a besoin d'un matériel pédagogique, il en fait la demande (au CE ou au gestionnaire selon), et si l'achat est possible il est réalisé, peu importe que ce soit auprès de tel ou tel fournisseur ni comment celui-ci a été rémunéré.

La (lourde) réglementation sur l'achat public n'est nullement destinée à faire suer les enseignants ni à les empêcher de travailler mais à empêcher les gestionnaires et les CE de faire n'importe quoi avec l'argent public telles les commandes à la boîte du beau-frère.

Forcément c'est lourd de contraintes.

(parenthèse) a écrit:

Anathase, tu as perdu, je ne représente pas la société d'impression à la demande concernée, ni aucune structure commerciale cherchant à démarcher un EPLE, ni aucune structure commerciale d'ailleurs.

Tu peux être qui tu veux : professeur, commercial, clown, martien, contrôleur de la DGFIP ou Schtroumpf... Mon propos est suffisamment factuel pour s'adresser à un public large et aux intentions diverses qu'il convient de ramener à deux ou trois réalités règlementaires qu'on peut juger lourdingues mais qui sécurisent les achats.

(parenthèse) a écrit:

Néthou

Si je parle CB, c'est parce que c'est le moyen de paiement utilisé dans mon exemple. Accessoirement, c'est aussi celui que je connais le mieux à titre personnel, puisque mon métier n'est pas de gérer de l'argent. 

Mais du coup, j'ai une autre question pratique (tournant autour du même thème, désolée, c'est juste que je cherche à comprendre). J'ai lu l'histoire de GM appelés à acheter en urgence dans la grande surface du coin de quoi faire des sandwiches pour les participants d'un voyage scolaire dont ils n'avaient pas été prévenus qu'il fallait les nourrir. Comment paient--ils dans ce cas ?

Sur facture.
La plupart des établissements scolaires ouvrent un compte dans le supermarché ou le bricoleur du coin.

Bref, rien de bien compliqué; encore faut-il s'être donné les moyens, dans votre cas, de trouver un imprimeur qui pourra facturer le travail demandé (et un imprimeur sérieux ne fera aucune difficulté sur ce point). Qu'est-ce qui peut poser problème sur ce point ?

L'absence d'un représentant de la partie finance et droit porte préjudice à tout projet.
Techniquement, pour que ça se fasse, un enseignant va payer de sa poche en pensant qu'il pourra être remboursé.
Rien n'est moins sûr... Même si le CE insiste.

Même avec une carte bleue, je pense que tu exploses le plafond autorisé sur une transaction par l'agent comptable.
J'espère en outre pour toi que ne s'ajoute pas à cela des frais de change...

Athanase Volapük a écrit:

(parenthèse) a écrit:

Anathase, tu as perdu, je ne représente pas la société d'impression à la demande concernée, ni aucune structure commerciale cherchant à démarcher un EPLE, ni aucune structure commerciale d'ailleurs.

Tu peux être qui tu veux : professeur, commercial, clown, martien, contrôleur de la DGFIP ou Schtroumpf... Mon propos est suffisamment factuel pour s'adresser à un public large et aux intentions diverses qu'il convient de ramener à deux ou trois réalités règlementaires qu'on peut juger lourdingues mais qui sécurisent les achats.

Aurait-on affaire à quelqu'un qui passe un concours ?
Mais pourquoi faire tant de mystères ?

Bizarre.... ca sent le projet commercial qu’on veut monter.
Pour les réponses c’est simple : la M9-6.
Sur ce, vu que ça n’apporte rien aux collègues, on ferme.