Bonjour,
Je suis secrétaire de direction en collège.
Suite à deux cas positifs parmi nos AED, pratiquement deux semaines d’affilées en novembre 2020, quatre de nos AED ont été déclaré cas contacts et ont donc été obligé de rester chez eux (par deux fois)
A l’époque, j’ai trouvé peu d’information quand aux documents à fournir à l’établissement mutualisateur.
J’ai donc transmis une attestation de service-non fait à l’établissement mutualisateur en précisant les jours d’absence de ces AED, qu’ils étaient cas contact, et en leur donnant les seuls documents en ma possession à ce moment là, les résultats des tests PCR négatifs qui leur ont permis de revenir travailler.
Sur le bulletin de paie du mois de décembre, l’établissement payeur à bien évidemment décompté les jours d’absences de la paie (ce qui semble logique vu qu’il n’y avait pas de document officiel justifiant cette absence)
J’ai appelé l’établissement mutualisateur, pour connaître les documents nécessaires à la justification de ces absences. Il m’a été répondu que je devais envoyer les attestations d’isolement, afin que je reçoive l’attestation de salaire pour les indemnités journalières.
Plus tard, les AED, m’ont fait parvenir une attestation d’isolement de l’assurance maladie chacun, mentionnant la date de début et de fin (cette dernière dépendant du jour du résultat du test). J’ai alors envoyé ces attestations d’isolement à l’établissement mutualisateur (mail et courrier) début janvier.
Et surprise hier matin pour ces AED. Il leur a été décompté sur le salaire du mois de janvier les mêmes absences (aux mêmes dates a peu de chose près) que celles du mois de décembre.
Cela représente entre 200€ et plus de 800€ pour certains AED, par mois.
J’ai appelé l’établissement payeur, qui reconnaît son erreur, mais me précise qu’il ne pourra rattraper cette erreur que sur la paie de février et ne propose, pour le moment, aucune solution.
Comme solution d’urgence, j’ai proposé à nos AED d’entrer en contact avec l’action sociale en faveur des personnels (AS).
Avez-vous d’autres solutions à me proposer ?
L’établissement payeur, n’a-t-il pas moyen de corriger son erreur rapidement ?
N’est-il pas dans l’obligation de nous proposer des solutions ?