Bonjour
 
Suite à un séjour prévu  à l'origine en mars 2020,le voyagiste nous a informé le 01/05/2020 qu'il pouvait établir un avoir de la totalité de l'acompte conformément à l'ordonnance
ou à défaut un remboursement avec des pénalités (moitié de l'acompte),le proviseur a choisi l'avoir.
En septembre le voyagiste nous a proposé l'organisation d'un séjour pour janvier 2021;compte tenu des incertitudes sanitaires le proviseur a refusé.
Il y a une semaine le voyagiste propose le remboursement anticipé de l'avoir sans préciser de conditions,je demande donc des précisions quant aux éventuelles pénalités.
Le voyagiste vient de repréciser dans une lettre introductive aujourd'hui que nous avions de facto renoncé à l'avoir en refusant le séjour proposé tout en envoyant un formule de remboursement
qui réduit de moitié les pénalités annoncées et prévoit par ailleurs une clause d'irrévocabilité de l'acceptation et de renoncement à tout recours.
Je ne sais plus trop quoi penser de tout cela sachant qu'il est tentant de récupérer ses "billes "alors qu'il est encore temps.
Qu'en pensez vous et d'autres collègues ont t'ils eu ce genre de proposition?

Il vous le fait au bluff.
L'établissement n'est pas obligé d'accepter une proposition de nouveau voyage et l'avoir reste valable. Et si aucun contrat n’a été conclu durant les dix-mois de validité de l’avoir, le professionnel ou l’association, doit vous rembourser l’intégralité des paiements effectués au titre du contrat résolu.

Nous avons eu les 2 cas de figure:

- un voyagiste espagnol qui nous a remboursé 60% de la somme versée. On a joué la prudence car on ne sait pas si l’organisme sera toujours solvable dans un an, et vu qu’ils sont à l’étranger, ça aurait été compliqué d’effectuer quelque démarche que ce soit.
- un voyagiste français qui nous a envoyé un avoir valable jusqu’à fin 2021. Pour celui-ci, nous attendons la fin de validité de l’avoir pour être remboursés.

catiteo a écrit:

Nous avons eu les 2 cas de figure:

- un voyagiste espagnol qui nous a remboursé 60% de la somme versée. On a joué la prudence car on ne sait pas si l’organisme sera toujours solvable dans un an, et vu qu’ils sont à l’étranger, ça aurait été compliqué d’effectuer quelque démarche que ce soit.

Comment justifier les 40% manquants en comptabilité ? L'OR n'a pas été fait de la totalité ?

Peut être est t'il possible d'utiliser le mécanisme de la transaction qui nécessite le passage en CA  et permettra d'avoir la
justification des écritures

catiteo a écrit:

Nous avons eu les 2 cas de figure:

- un voyagiste espagnol qui nous a remboursé 60% de la somme versée. On a joué la prudence car on ne sait pas si l’organisme sera toujours solvable dans un an, et vu qu’ils sont à l’étranger, ça aurait été compliqué d’effectuer quelque démarche que ce soit.
- un voyagiste français qui nous a envoyé un avoir valable jusqu’à fin 2021. Pour celui-ci, nous attendons la fin de validité de l’avoir pour être remboursés.

On va se retrouver avec des remboursements (si on nous rembourse... ) en fin d'exercice qui vont venir gonfler nos FDR...   Et après, on va nous écrêter!

gaston a écrit:

Peut être est t'il possible d'utiliser le mécanisme de la transaction qui nécessite le passage en CA  et permettra d'avoir la
justification des écritures

Oui c'est une possibilité.

Stroubok a écrit:

On va se retrouver avec des remboursements (si on nous rembourse... ) en fin d'exercice qui vont venir gonfler nos FDR...   Et après, on va nous écrêter!

Euh non.... cela va jouer uniquement sur la trésorerie puisque les OREV sont pris en compte dans le résultat de l'exercice 2020 et que le remboursement ne donnera pas d'OR en classe 7.

volcan a écrit:

Stroubok a écrit:

On va se retrouver avec des remboursements (si on nous rembourse... ) en fin d'exercice qui vont venir gonfler nos FDR...   Et après, on va nous écrêter!

Euh non.... cela va jouer uniquement sur la trésorerie puisque les OREV sont pris en compte dans le résultat de l'exercice 2020 et que le remboursement ne donnera pas d'OR en classe 7.

Me voilà rassuré...