@nethou : j'ai consigné par écrit les faits les plus marquants (sinon j'aurais écrit un pavé) depuis le mois de novembre. J'avais pris RDV avec le médecin de prévention en janvier, qui m'a confirmé que les mesures prises (dont les notes sur les dysfonctionnements) étaient exactement ce qu'il fallait faire.
J'ai remis cette liste à ma CE la veille de l'entretien pro de la secrétaire, qui a reconnu qu'elle ne maîtrisait pas tout (euphémisme). Du coup, le CR de son entretien fait figurer toutes ces lacunes, le manque de compétences et l'absence de maîtrise des missions du poste (elle occupe ce poste depuis 6 ans, cad depuis son recrutement). Ma CE, qui a procédé à son entretien l'an dernier, a dû revoir à la baisse toutes les appréciations notées par l'ancien gestionnaire lors de l'entretien en 2018.
Mon désespoir vient de là : malgré l'évidence, elle reste et personne n'y peut rien. En tout cas, c'est le message qu'on nous a fait comprendre plus haut. D'où mon post = qu'est-ce que je peux faire ? A part muter, mais ce n'est pas juste car je me suis beaucoup investie sur ce poste, et je n'ai pas forcément envie de tout recommencer ailleurs (sans compter l'organisation personnelle). Et dans quelle mesure je peux faire remonter ces constats notés au fil de l'année ? La DIVET a constaté les lacunes l'an dernier, l'AC les constate régulièrement, le référent handicap a bien noté une certaine "lenteur", la DRH a été alertée depuis le mois de novembre mais rien ne bouge: "La demande de mutation doit être à l'initiative de l'agent". Et comme elle ne compte pas aller ailleurs (à 57 ans elle "n'est pas encore prête"), autant dire que c'est peine perdue.