Bonsoir,

Jusqu'à l'année dernière, je comptabilisais les ventes de tickets repas chaque mois, et faisait un O.R. à la fin du mois du montant total des ventes.

Depuis le 1er janvier, le nouvel A.C. a souhaité que nous ne comptabilisions que les repas consommés dans les O.R..

Ma question est la suivante : il y aura inévitablement des montants recettés deux fois, une première en 2018 au titre de l'achat, une seconde en 2019 au titre de la consommation. 

Cela pose-t-il problème?

Merci.

si pour les cartes de cantines on comptabilise à la consommation, pour les tickets c'est à la vente
mais je me trompe peut être

il me semble qu'un crédit au 471 sera bloquant au cofi mais j'en suis pas sûr.
En tout cas les PJ des OR ça va être folklo avec tous les tickets récupérés au self:D

Boz' a raison, donc tickets papier ou crédit sur carte ?

Lexomil a écrit:

Bonsoir,

Jusqu'à l'année dernière, je comptabilisais les ventes de tickets repas chaque mois, et faisait un O.R. à la fin du mois du montant total des ventes.

Depuis le 1er janvier, le nouvel A.C. a souhaité que nous ne comptabilisions que les repas consommés dans les O.R..

Ma question est la suivante : il y aura inévitablement des montants recettés deux fois, une première en 2018 au titre de l'achat, une seconde en 2019 au titre de la consommation. 

Cela pose-t-il problème?

Merci.

Oui, un énorme problème si on parle bien de tickets repas papier numérotés. Votre classe 8 ne correspondra pas avec votre stock de tickets repas et ça un auditeur ou la CRC va pas aimer du tout.
Les valeurs inactives doivent respecter une règlementation comptable stricte.

Il s'agit de crédits sur un compte, avec le système TURBOSELF.

Lexomil a écrit:

Il s'agit de crédits sur un compte, avec le système TURBOSELF.

Dans ce cas ton comptable a raison ; on n'est plus dans le cadre des valeurs inactives. Les paiements pour approvisionner les cartes sont des avances et l'OR est fait des consommations.

Qu'il ait raison, je ne le conteste pas; la méthode utilisée précédemment est celle que j'ai trouvé en arrivant, et à laquelle l'A.C. de l'époque, à qui j'avais fait la remarque, m'avait dit de me tenir.

Ma question est de savoir s'il y a un problème de faire la transition d'une méthode à l'autre (évidemment, on est en mesure de savoir la somme créditée par tête à tout moment, notamment au 1er janvier, pour créer des bilans d'entrée).

Voici la méthode que j'ai employée lorsque j'ai eu à le faire (déjà expliquée sur 2 ou 3 fils antérieurs sur le sujet : ne pas hésiter à avoir recours à la fonction "recherche" du forum ), il y en a sans doute d'autres mais celle-ci fonctionne et avait l'avantage d'avoir été validée par mon AC à l'époque.
1/ On termine l'année civile en recettant tout ce que l'on encaisse (ancienne méthode).
2/ En fin d'exercice, pour faire ressortir l'ensemble des soldes de comptes débiteurs ou créditeurs, on sort l'état des porte-monnaie T***  au 31 décembre et on fait un OAR du montant total ressortant de l'état ce qui permettra de faire ressortir en compta les avances repas sur un compte 419.
3/ Ce bilan de sortie sera reporté en bilan d'entrée de l'année suivante, GFC est content...
4/ Sur l'année civile suivante, on change de méthode pour recetter non plus ce qui est encaissé mais ce qui est consommé.