pertinences des indicateurs du COFI

Bonjour

I. BFdr et 486/487

Depuis 3 ans, dans le cadre de la gestion des voyages scolaires, j’utilise la technique des charges constatées d'avance (acomptes) et recettes constatées d'avance.

Je m'aperçois que cette technique fausse quelque peu les indicateurs du compte financiers :
- taux de non recouvrement : des créances de 4118 non soldées, normal.
- BFdR qui se calcul par débit classe 4 - crédit classe 4 (dont les 4118, 486 et 487)

II. CAF vs EBE corrigé : article intéressant sur des indicateurs peu utilisés dans la dernière revue Intendance. Si on prend en compte les charges et recettes exceptionnels, on a une autre vision du "bénéfice". Mais si on va plus loin, on devrait prendre en compte les recettes atypiques et anormales type COP. Quid d'un collège qui loue 4 appartement une année et plus rien l'année suivante et se retrouve en difficulté ? Peut-on prendre en compte ces produits exceptionnels dans le calcul de l'EBE (excédent brut d'exploitation) ?

on en vient à de l'analyse financière

l'année dernière lors d'un séjour à Poitiers, un collègue d'une université nous avait expliqué comment il faisait
et bien si l'élaboration du budget est un acte politique, le COFI en est un aussi.

On part du résultat
un exemple +50000€
les membres du CA souhaitent un prélèvement immédiat, sur le FDR, pour une utilisation compulsive de tout ce cash...
donc là on commence:
les apparts ont rapporté beaucoup, mais l'année prochaine on n'a pas la certitude de louer et on va faire des travaux
la cantoche a fait un super bénef mais l'année prochaine c'est caviar à tous les repas
on a une prévision d'augmentation du fuel du gaz et de l'électricité..
on a un 416 de folie donc provisions...
...

à la fin on leur explique que non seulement ils n'ont pas 50000 à dépenser mais qu'en fait il va falloir faire des économies