quattro a écrit:

D'où l'importance de lui donner en début d' année un emploi du temps basé sur 1607h

Oui, ni plus, ni moins.

Dès le départ j'ai posé un emploi du temps pour me protéger le mercredi après-midi, les pauses de midi et le vendredi à partir de 16H00.

Évidemment que nous n'avons pas d'emploi du temps à poser mais c'est mieux pour tout le monde- pour mon CE qui sait à peu près si je suis joignable, pour les autres services, pour les chefs d'équipe qui savent que je leur ménage tous les jours un créneau, pour les enseignants-ne pas venir me voir l'après-midi- ....

Pour les petites vacances sauf quand je suis de permanence pour celles de Pâques -je prends toujours ces vacances - je suis injoignable.J'ai la chance d'avoir une secrétaire d'intendance qui est plus mon adjointe qu'une secrétaire d'intendance +100

Le fait de déléguer peut permettre d'obtenir les 28H si le travail est bien délégué et les délégataires efficaces donc ne pas jeter pas tout de suite la pierre sur notre collègue il faut juste lui attirer le danger de ne pas paraître pour les équipes un chef de service dilettante et peu intéressé.

Une année scolaire = 36 semaines. On ajoute une semaine à chaque période de petits congés et deux l'été, donc 42 semaines. A 28h00 cela donne 1 176 heures de travail effectif au lieu de 1 593. C'est un fake ou du vol.

Notre collègue est Supergestionnaire
ou superorganisé, apparemment il a supprimé tout ce qui fait perdre du temps style réunions de direction sans ordre du jour, réunions de service improvisées, discussion avec les agents non minutées à l'improviste, pas d'aide aux collègues, plus de discussions oiseuses avec les parents d'élèves qui reviennent quatre fois dans la même semaine pour contester la facture de cantine, relations chronophages avec l'agence-comptable et la CT, conflits de travail entre équipes et agents, chef d'équipe dépressive... j'attends de connaître sa solution miracle pour arriver à 28 heures de travail en fait.S'il peut remonter sur le fil...

GESTIONNAIREENFOLIE a écrit:

Notre collègue est  Supergestionnaire
 ou superorganisé,

Certes, mais même superorganisés ou Supergestionnaire, on est quand même payés pour l'équivalent de 35H/semaine, et la présence qui va avec; que du fait de cette superorganisation on puisse être quelquefois en-dessous, pourquoi pas, mais c'est parce qu'à d'autres moments on aura fait plus.
Si c'est sur toute une année scolaire, c'est qu'il y a un loup.

J'ai entendu cela et je n l'ai pas mal pris
Programmation neurolinguistique: révéler ses valeurs identitaires et professionnelles
Un cadre A comme moi n'a pas d'heures, tant mieux pour le service.... En communicant avec les collègues B et C de manière appropriée elle explique le sens de sa nécessaire présence stratégique: présence massive si le cycle l'impose puis phase de récupération incontournable pour rester en bonne santé et reconstruire sa force de travail .
je dis et je répète régulièrement sur le ton de la confidence professionnelle que si je dois bosser en soirée ou le week-end  ou pendant les vacances ou les jours fériés pour éviter "les problèmes"dans le service ( stress, engorgement, Karoshi ( comme disent les japonais), ou infractus (comme disent les picards) en contreparie  serai pas là exceptionnellement ...pour compenser un peu mon surinvestissement et ma santé. "Prenez soin de vous ,mais pas trop". 

Analyse transactionnelle
je dis que je fais parti de la catégorie Adulte qui gère son temps  mais que je respecte 
-les enfants soumis qui arrivent à l'heure et partent à l'heure ainsi que  
-les enfants rebels qui arrivent en retards mais qui partent après l'heure

Ce travail préparatoire progressif est nécessaire pour que chacun sache au final que je suis une warrior certes mais soumise aux lois de la nature

Exemples d'aménagement du temps de présence pour motif para médical ou médical
1 paramédical
- pour aller caguer dans son logement de fonction (c'est le plus gros des avantages en nature: pouvoir s'éclipser du bureau pour aller caguer at home comme à la foire du trône)
2 médical
- aller chez le dentiste pour des soins de bouche ou la gynéco pour des soins urgents en dehors des files d'attente réservées aux simples mortels ( speculum en latin)

Ah caguer dans son logement de fonction... fraicheur quand tu nous tiens.

Sinon, 28 heures par semaine : c'est pour des semaines de 3 jours ? Pour moi, c'est plus 45/50 h/semaine.

Niveau rémunération : AC d'un groupement de 6 ER, 4050€ net/mois, logé, APAE 6ème échelon. Bosse pas le WE, 6 semaines de vacances l'été et bosse 2 jours lors des petites vacances. Me plains pas.

Et si on ouvrait une rubrique "poésie" sur ce forum???

Invité a écrit:

J'ai entendu cela et je n l'ai pas mal pris
Programmation neurolinguistique: révéler ses valeurs identitaires et professionnelles
Un cadre A comme moi n'a pas d'heures, tant mieux pour le service.... En communicant avec les collègues B et C de manière appropriée elle explique le sens de sa nécessaire présence stratégique: présence massive si le cycle l'impose puis phase de récupération incontournable pour rester en bonne santé et reconstruire sa force de travail .
je dis et je répète régulièrement sur le ton de la confidence professionnelle que si je dois bosser en soirée ou le week-end  ou pendant les vacances ou les jours fériés pour éviter "les problèmes"dans le service ( stress, engorgement, Karoshi ( comme disent les japonais), ou infractus (comme disent les picards) en contreparie  serai pas là exceptionnellement ...pour compenser un peu mon surinvestissement et ma santé. "Prenez soin de vous ,mais pas trop". 

Analyse transactionnelle
je dis que je fais parti de la catégorie Adulte qui gère son temps  mais que je respecte 
-les enfants soumis qui arrivent à l'heure et partent à l'heure ainsi que  
-les enfants rebels qui arrivent en retards mais qui partent après l'heure

Ce travail préparatoire progressif est nécessaire pour que chacun sache au final que je suis une warrior certes mais soumise aux lois de la nature

Exemples d'aménagement du temps de présence pour motif para médical ou médical
1 paramédical
- pour aller caguer dans son logement de fonction (c'est le plus gros des avantages en nature: pouvoir s'éclipser du bureau pour aller caguer at home comme à la foire du trône)
2 médical
- aller chez le dentiste pour des soins de bouche ou la gynéco pour des soins urgents en dehors des files d'attente réservées aux simples mortels ( speculum en latin)

J'espère que les gens du privé ne lisent pas des crottes pareilles parce que sinon, on n'a pas fini de détester les fonctionnaires...

Agent comptable, tu gagnes 30% de plus de salaire mais tu bosses 50% de plus.

Y'a le stress + le reste.

Globalement 10 h par jour si bonne équipe.

Souvent, des collègues font cela 5 ans puis, fort de leur expérience de comptable, se trouve un poste de directeur financier en structure.

Agent comptable, pour beaucoup, c'est un tremplin.

Cordialement,

papin a écrit:

Agent comptable, tu gagnes 30% de plus de salaire mais tu bosses 50% de plus.

Y'a le stress + le reste.

Globalement 10 h par jour si bonne équipe.

Souvent, des collègues font cela 5 ans puis, fort de leur expérience de comptable, se trouve un poste de directeur financier en structure.

Agent comptable, pour beaucoup, c'est un tremplin.

J'hallucine, tout ce que je ne veux jamais lire ou entendre sur cette fonction. En tout premier lieu, quelqu'un qui stresse ne doit jamais, JAMAIS prendre un tel poste. Il n'y a pas de raisons particulières de stresser, quand on fait le boulot proprement.

Sur la charge horaire : dans ma précédente agence à 8 EPLE (et pas des crottes de mouches), c'est un adjoint administratif qui assurait le travail de comptabilité du quotidien, pour toute l'agence, et ça ne lui occupait pas son plein temps. Moi j'avais derrière une vingtaine d'heures hebdo, en comptant trèèès large, de supervision, vérification, transmission de techniques, contrôles, participation au taf pour dire que je ne suis pas un exploiteur. La fondée de pouvoir -parfaitement capable mais mieux employée sur des trucs délicats dans la gestion- ne touchait plus à la compta géné que pour gagner du temps quand j'étais dehors, ça compte pas.

10 heures par jour avec une bonne équipe c'est quand on ne délègue pas suffisamment ou on refait ce qui a déjà été fait (syndrome du débet).
Comme dit le lapin enragé, compte tenu que délégation entraîne contrôle, ça ne prend pas plus qu ele temps qu'il évoque, voire moins selon la taille de l'agence et des mutualisations.

Il en va des postes d'agent comptable comme des postes de gestionnaires : cela dépend d'un tas de critères qu'on ne maîtrise pas forcément : la qualité et la compétence de l'équipe et des gestionnaires des établissements rattachés, la complexité comptable des établissements, les absences de personnels, l'historique et la tenue de la comptabilité, les anciennes pratiques, l'ambiance, l'organisation, un GRETA, de la mutualisation, etc....
Il y a des postes cool pour un AC et des postes où c'est l'enfer.
Par contre je confirme : si on stresse facilement mieux vaut éviter pour sa santé. Surtout avec l'arrivée d'Opale....

Pas mieux! Avec l'arrivée d'OP@LE il faut FUIR !!!! (4 pannes internet ce matin, on fait quoi?)

Le stress de l'agent comptable est l'obligation de résultat et la solitude (je ne parle pas de l'équipe de l'agence). Tu es seul in fine devant les échéances du compte financier, la justification des comptes. Un gestionnaire aura toujours l'AC pour l'aider (voir dans les cas extrêmes le CE) ; un AC en perdition n'a pas guère de soutien à espérer. J'ai malheureusement appris trop tard pour intervenir que des collègues avaient peu à peu perdu pied pour des raisons diverses (problèmes de santé, de personnel, pression, etc...) sans demander d'aide et sans que cela soit visible avant la catastrophe.
J'ai peur qu'avec Opale et sa "rigueur" comptable nombre de collègues perdent peu à peu pied et se retrouvent dans de grandes difficultés (et leurs établissements avec eux) et cela ne tiendra pas aux seuls problèmes de réseau. Plus que jamais la solidarité et les réunions entre collègues devront exister pour s'entraider.

néthou a écrit:

Un agent-comptable qui ne stresse pas est un agent-comptable qui est parti en retraite. Ou alors il est pas agent-comptable. Tous les agents-comptables que j'ai connus, quels qu'ils soient, quel que soit leur âge, quelle que soit leur compétence et leur organisation, avaient une forme de stress. C'est inhérent à la fonction. Peut-être le syndrome du débet, comme dit VMB, qui est la maladie professionnelle de l'agent-comptable.[/size]

Vous me gonflez avec ça. Vous prenez quotidiennement la responsabilité démentielle et écrasante de démarrer le moteur d'une pollumobile, un engin avec lequel on peut faire huit morts facile avant même de s'en être rendu compte. Mais la frousse de se faire reprocher un problème de paperasse justifiant des mouvements de sous en euros, reproches pouvant dans un nombre infinitésimal de cas être transmis au procureur de la CRC, lequel bien souvent préfère oublier parce que c'est pas vraiment intéressant, et quand il n'oublie pas c'est généralement en remise gracieuse, et sinon on est assuré, ah ça ça justifie de ne pas dormir la nuit. Statistiquement l'ensemble des débets réellement exécutés sur des comptes d'EPLE, y compris ce qui est pris en charge par les assureurs, y compris ce qui relève de quelques abrutis et/ou vauriens qui se sont glissés dans le métier, ne doit pas représenter 1% de ce qui nous est distribué en indemnité de caisse et responsabilité. Z'êtes dingues.

Tu sais quoi, l'IZ: tu as parfaitement raison.

Mais quand je tiens type de raisonnement à mon AC (et à d'autres), moi qui ne suis pas (plus) AC, il me rétorque: "On voit bien que tu n'es pas agent-comptable !"

Je suis pliée. Merci Nethou, merci l'IZ.

Je me souviens d'une conversation édifiante avec une collègue sur le fait que M. Machin avait été mis en débet sur les frais de stage parce que le kilométrage n'était pas le bon... "Et donc il me faut impérativement la feuille de route dans les trois copies du mandat" et "j'ai refait toutes les feuilles de route et celles des profs sont toutes fausses"... Effectivement Via Michelin donnait 45 km le lundi mais 46 le mardi et on refait faire au prof tout le dossier pour ça ?

Pour un risque de mise en débet pour le km de travaux en plus ou en moins soit 0.41 ct en moyenne... ? Au secours.

Le seul cas de débet pour frais de déplacement que je connais en EPLE est lié à une paire de crapules (AC-GM et CE) qui se faisaient une blinde avec des missions bidons. Le CE signait les OM et chacun prenait le pactole.
 Le truc a je crois été découvert à cause d'une incompatibilité de dates et la démesure des montants annuels (en dizaines de milliers d'écus).
Mais le km à 0,37 je ne connais pas...

néthou a écrit:

L'intendant zonard a écrit:

En tout premier lieu, quelqu'un qui stresse ne doit jamais, JAMAIS prendre un tel poste. Il n'y a pas de raisons particulières de stresser, quand on fait le boulot proprement  sauf si on est agent-comptable, bien sûr...  

Un agent-comptable qui ne stresse pas est un agent-comptable qui est parti en retraite. Ou alors il est pas agent-comptable. Tous les agents-comptables que j'ai connus, quels qu'ils soient, quel que soit leur âge, quelle que soit leur compétence et leur organisation, avaient une forme de stress. C'est inhérent à la fonction. Peut-être le syndrome du débet, comme dit VMB, qui est la maladie professionnelle de l'agent-comptable.

Sur la partie agent comptable de ma fonction (ce qui me guette, c'est plus la schizophrénie que le burn out), je ne suis pas du tout stressé. Par contre, le stress est présent mais sur l'autre partie de mes missions, celles de gestionnaires. Et ce n'est pas dû à la responsabilité pénale éventuelle mais bien à la fréquentation quotidienne et régulière de tout un tas d'individus plus ou moins malveillants, hostiles ou simplement abrutis.

Il y a effectivement très très peu de débets en EPLE (un peu plus d'amendes mais vraiment pas beaucoup). Cela est du à la faiblesse du montant de nos comptabilités qui peuvent très bien ne jamais être vérifiées de toute une carrière d'AC. Par vérifier j'entends une étude des mandats et pas simplement un regard sur la classe 4 et des anomalies de comptes. Pour être mis en débet il faut qu'un juge se penche sur les pièces comptables, les factures... et le SEPLE ne le fait jamais. Pour ceux qui relèvent encore des CRC, vu la diminution du nombre de magistrats et le nombre de comptabilités, les EPLE ne sont pas une priorité.
Cela dit, si par malchance un agent comptable se voit procéder à un contrôle approfondi de ses cofis, il y a de grandes "chances" que le juge trouve toujours quelque choses si il veut trouver. Et là j'ai vu des débets pour des sommes ridicules, pour quelques euros.
Concernant les frais de déplacements j'ai vu quelques décisions concernant des EPLE. Cela tenait surtout au défaut des PJ exigibles (ordre de mission notamment) ou dépassement des forfaits autorisés. Il faut savoir quand même que dans les condamnations les rémunérations (indemnités notamment) et le non recouvrement des créances viennent en tête suivis des frais de déplacements.

Alors oui un débet reste exceptionnel et les montants avec la notion d'absence de préjudice financier pour l'EPLE se limitent souvent à quelques centaines d'euros d'amendes pour le comptable. Cela dit - et c'est totalement inadmissible - faute d'avoir la culture des Finances, la mise en débet est souvent assimilée par les tiers à de l'incompétence, voir des malversations. C'est idiot mais la méconnaissance du sujet l'explique. Or, tout comptable même les meilleurs, les plus rigoureux peuvent avoir un débet ; et aux Finances cela est considéré comme normal et faisant partie du job.

Tu as raison (Isaac): il y a suffisamment de cheveux à s'arracher en gestion matérielle pour en sauvegarder quelques poignées sur la compta. Notamment en évitant de créer des problèmes là où il n'y en a pas, tout en se plaignant d'être accablé de boulot (certains agents-comptables ajoutent le masochisme au stress et à la schizophrénie).

C'est peut-être l'influence de mon merveilleux premier tuteur, un AC de la vieille école, qui relativisait beaucoup les problèmes (et donc mes erreurs de débutant... ) en prenant la compta comme une sorte d'outil qu'il fallait simplement apprendre à maîtriser.
Comme le disent mes estimés collègues plus haut, le risque de débet est infinitésimal; ce n'est pas une raison pour saloper le boulot, mais une bonne pour ne pas se monter le bourrichon et se mettre à traquer partout l'erreur. La compta a un gros défaut, c'est d'oublier qu'elle n'est que l'aboutissement d'un processus; quand on a les yeux rivés sur les PJ et la nomenclature, on finit par oublier qu'un mandat, c'est d'abord payer un fournisseur dans un circuit économique. Et parce qu'on a acheté un truc qui sert au bon fonctionnement (enfin, faut l'espérer...) d'un établissement scolaire.

Excellent post IZ ! Effectivement, faut pas se prendre la tête avec le débet. Même pas peur, et je ne stresse pas non plus les collègues avec ça.

Je propose aux modos de supprimer ce post histoire de ne pas attirer l'attention des juges sur le brouillard confortable qui nous entoure de sorte à ce que nous puissions continuer à en profiter...

Tu es entouré par les juges ou par le brouillard ?

Le brouillard qui nous entoure peut être confortable,  mais il faut tout de même songer aux validations quotidiennes...

Isaac Newton a écrit:

Par contre, le stress est présent mais sur l'autre partie de mes missions, celles de gestionnaires. Et ce n'est pas dû à la responsabilité pénale éventuelle mais bien à la fréquentation quotidienne et régulière de tout un tas d'individus plus ou moins malveillants, hostiles ou simplement abrutis.

volcan a écrit:

Cela dit - et c'est totalement inadmissible - faute d'avoir la culture des Finances, la mise en débet est souvent assimilée par les tiers à de l'incompétence, voir des malversations. C'est idiot mais la méconnaissance du sujet l'explique. Or, tout comptable même les meilleurs, les plus rigoureux peuvent avoir un débet ; et aux Finances cela est considéré comme normal et faisant partie du job.

Il n'y a pas que les tiers à qui il manque cette culture. Un ancien AC dont les exigences croissaient toujours m'avait dit que peu importe la somme, il était hors de question qu'il prenne le risque d'un débet, question de principe et tout autant crainte du jugement de valeur.

Stratospherix a écrit:

Le brouillard qui nous entoure peut être confortable,  mais il faut tout de même songer aux validations quotidiennes...

On y songe... On y songe... C'est toujours en bonne place dans le plan d'action !
Mais c'est tellement confortable ce brouillard...

Je rejoints le Lapin déjantés et d'autres
La partie comptable ne doit pas générer de stress. Les assurances sont là pour couvrir le risque et le reste à charge sera couvert par les indemnités.
M'inquiète beaucoup plus pour ma responsabilité de gestionnaire matérielle qui aurait raté une information avec à la clef une blessure ou pire.

Sur la partie comptable je ferai juste une exception, c'est la paye et l'angoisse de ne pas réussir à la sortir dans les temps, parce qu'il y a des gens derrière qui ont besoin de cela pour vivre. Quand tu as un problème le 1er aout que tu as un train de 1500 payes bloqués et que tu ne trouves pas de correspondant au rectorat pour cause de de fermeture, tu te sens très très seul.

Goldored a écrit:

Stratospherix a écrit:

Le brouillard qui nous entoure peut être confortable,  mais il faut tout de même songer aux validations quotidiennes...

On y songe... On y songe... C'est toujours en bonne place dans le plan d'action !
Mais c'est tellement confortable ce brouillard...

Moi je n'ai aucun mérite, les antibrouillard étaient allumés avant mon arrivée ;-)