Bonjour à tous,

Je me permets de voir écrire sur le forum (que je fréquente tous les jours avant de me coucher) pour vous demandez un service.

Pour info (important, je pense), je suis nouvelle dans le métier (depuis septembre 2016 et j'ai eu mon concours en 2013 mais j'étais en congé mater et pater entre temps, en fait, juste pour souligner, que ça fait un^peu loin). Je suis dans un collège.

Voilà, en cette fin de d'année civil, j'ai envoyé un message (via Pronote) pour indiquer aux enseignants, qu'on arrêtait les commandes mi novembre. Du coup, au retour des vacances, tous le monde m'a déposé leurs commandes (bien-sur, ils n'ont rien commandé toute l'année mais là, ils ont tous besoin de quelque chose).

Bref, je reçois une commande des Lettres de 710 eur et d'histoire de 250 eur et je leur dis (très poliment, sans aucune amertume), de se mettre d'accord entre eux parce qu'il n’y a que "664" eur.

Voilà la réponse que je reçois via Pronote hier. Je précise que la prof a mis TOUS ses collègues en copie (histoire et lettre) MAIS pas la PRINCIPALE. Et je précise que d'habitude, on se tutoie avec elle et qu'on se parle sans aucune distance (elle souvent (voir très souvent) dans le pole administratif)

Bonjour madame l'Intendante,

 

suite à votre message du jeudi 10 novembre après midi, voici la commande Lettres modifiée.

 

Est-il possible pour vous de répondre à ces 2 questions?

Question n°1: pouvez-vous séparer les budgets lettres et histoire? A part créer des tensions entre ces 2 disciplines je ne vois rien de positif dans cet amalgame (peut être faire des économies .....)

 

Question n° 2: le budget était de 710 Euros jusqu'en octobre, aujourd'hui il est de 664 E.

Où est passée la différence de 46 Euros? Pourquoi les sommes changent sans que nous en soyons prévenus? (ce manque crée encore une fois des tensions entre les disciplines et je ne pense pas que votre but soit de créer ces tensions dans une salle des profs)

Bien cordialement,


Pouvez vous m'aider à leur faire une réponse sans que je sois trop gentil ni trop agressive et surtout en ayant des arguments concrets (nouvelle comptabilité RCBC, l'ordonnateur c'est pas moi!! ...). Je préfère aller les voir pour leur dire de vive voix la réponse (contrairement à eux, j'ai les cojones pour leur dire les choses en face)

Je précise que j'ai consulté la principale pour chaque étape cad je suis partie la voir quand j'ai reçu les 2 commandes, je lui ai demandé sur quel ligne on prend, c'est elle qui m'a dit "ils s'arrangent entre eux" ....Par contre (j'avoue) j'ai pas pensé à la mettre en copie quand je leur ai envoyé le message pour s’arranger. (dorénavant, je la metterais en copie "pour tout")

Merci d'avance pour votre aide !


(ce site est super)

Je sais pas comment est fait ton budget mais il n'y a plus aucune raison qu'il y ait une ligne lettres, une ligne histoire, une ligne maths etc....
Le budget colle au projet d'établissement, c'est une obligation et l'esprit de la réglementation est justement de faire des budgets par projets et non par disciplines, si je peux le résumer rapidement ainsi...

On peut déjà donc leur expliquer qu'il n'y a aucune raison pour dissocier les lignes pour en faire une par discipline. 
S'ils veulent une explication sur leur histoire de 46 €, tu as sûrement une réponse à leur fournir...

L'avantage d'avoir des lignes groupées et non par disciplines c'est que désormais, la question à poser aux enseignants c'est: de quoi avez vous besoin? et non plus: vous avez tant à dépenser, que voulez vous acheter?


Tu es en collège et avec l'apparition des EPI, il est maintenant encore plus simple de leur faire comprendre qu'il n'y a aucun intérêt à faire des codes activité par disciplines...

S'ils sont pas contents, ben c'est pareil...

Plus de ligne par discipline chez moi non plus.
Comme ça, je n'ai plus cette fâcheuse habitude qui consiste à consommer des crédits pour juste les consommer, principalement en fin d'année.
On a fait de nettes économies et personne ne se plaint de manquer de quoi que ce soit - qui relèverait de ces lignes.

Je n'ose imaginer la tête du prof qui viendrait me casser les (bip.....) pour 46 euros.

Tout d'abord puisque c'est une décision conjointe avec le CE la première des choses à faire est d'en discuter avec lui (elle) et lui transférer le mail reçu.
Puis expliquer gentiment aux professeurs que la décision part du CE  que tu la valide car tu n'as pas de planche à billet planquée sous ton lit, et que toutefois pour cette fois exceptionnellement tu veux bien séparer pour eux les deux matières au prorata du des demandes en fonction du solde tant pour l'un tant pour l'autre et chacun fait des efforts. Et que par ailleurs la seule personne à qui tu dois rendre des comptes sur ton travail est le CE.

Puis à partir de ton prochain budget tu donne les éléments comme il sied le mieux au fonctionnement du bahut. Je suis en clg depuis 15 ans et je fait comme toi depuis la RCBC j'ai regroupé par pôle de matière. Ils ont les éléments de base clairement expliqués et puis plus de détail en cours d'année. Au fur et à mesure des demandes s'il y en a quelques un qui me demandent le montant des crédit, je refuse de le donner et leur dit de me donner la commande et que mon travail consiste à me débrouiller pour valider les choses au mieux mais qu'ils me donne un ordre préférentiel sur celle ci. Ca marche assez bien. Et si toutefois ils insiste et que je suis confiante sur le personnage, j'indique toujours un solde moindre à la réalité .... ils demandent toujours plus et sont ravis de découvrir que j'ai réussi à faire passer ce petit plus (quoi je suis démago!)

L'an passé nous avons eu une petite remise en cause du fait qu'ils ne connaissaient pas leur crédit alors que cela se faisait partout ailleurs. Ma réponse a été qu'ils ont un budget et des représentant au CA pour leur faire passer ce type d'info (+affichage à l'entrée du clg et en SDP au moment du vote). Puis je leur ai demandé de me citer un exemple ou il n'avaient pas reçu une commande essentielle. J'attends toujours leur réponse et une réaction négative.

Ces lignes par discipline c'est purement et simplement sclérosant pour le système. Outre le fait que les coordos de discipline se sentent propriétaires d'un magot quasi personnel sur lequel ils demandent des comptes que rien ne les autorisent à demander, l'expérience montre que ça empêche en général d'acheter quoi que ce soit parce qu'il n'y a jamais suffisamment de crédits sur chaque ligne pour n'en rien faire de bien constructif.
Une bonne refonte des crédits pédagogiques est indispensable. Ca grince au départ, les profs sont sceptiques mais si tu prends bien la peine de recenser les besoins, d'expliquer les éventuels arbitrages (rendus par l'ordo bien sûr...) et d'assurer une certaine alternance dans la satisfaction des demandes des différentes matières si nécessaire, ça roule assez vite et tout le monde s'en trouve satisfait.

Pour la réponse à apporter dans l'immédiat, tu réponds sur les 46 € pour être un peu aimable et tu leur redemandes de trouver un terrain d'entente puisque la question que tu as initialement posée n'a pas reçu de réponse. Tu leur précises éventuellement que si ça traîne trop, la livraison risque d'intervenir en 2017, que les crédits non dépensés en 2016 tomberont dans le fonds de roulement et que leurs dépenses seront imputées sur 2017 conformément à la réglementation en vigueur... Mets de côté les questions affectives, reste dans le factuel.

Madame

       Je comprends votre inquiétude et vos interrogations concernant les crédits qui vous seraient accordés. Toutefois et depuis la mise en place de la comptabilité publique ayant pour objectif la satisfaction des besoins exprimés et justifiés, et non plus la simple notification de crédits maximums à dépenser, il convient de considérer les sommes qui vous sont indiquées comme de simples informations, susceptibles d'évoluer (en + ou en -) en fonction des besoins à satisfaire et des moyens globaux disponibles.
       Il appartient alors au Chef d'Établissement ordonnateur et/ou à l' Adjoint Gestionnaire d'apprécier l'opportunité de chaque dépense en fonction des critères ci-dessus.
Si vos besoins exprimés sont jugés pertinents et si les moyens financiers globaux le permettent les opérations d'acquisition pourront avoir lieu, même en dépassement des crédits indicatifs de 700.00 €. En revanche, si vos demandes ne sont pas jugées opportunes par les deux autorités précitées ou si les moyens financiers globaux ne permettent pas totalement ou partiellement ces dépenses, celles- ci seront soit non satisfaites, soit satisfaites en partie, soit reportées à l'exercice suivant.

     Souhaitant avoir répondu à vos légitimes interrogations je vous prie d'agrée l'expression de ma main dans la gueule....

L'Adjointe Gestionnaire du collège
Iffaudrée DÉSOUS

Madame Collet-Monté a écrit:

Bizyou a écrit:

mais j'étais en congé mater et pater entre temps, en fait,

y a cumul des mandats

V.M.B a écrit:

Madame

       Je comprends votre inquiétude et vos interrogations concernant les crédits qui vous seraient accordés. Toutefois et depuis la mise en place de la comptabilité publique ayant pour objectif la satisfaction des besoins exprimés et justifiés, et non plus la simple notification de crédits maximums à dépenser, il convient de considérer les sommes qui vous sont indiquées comme de simples informations, susceptibles d'évoluer (en + ou en -) en fonction des besoins à satisfaire et des moyens globaux disponibles.
       Il appartient alors au Chef d'Établissement ordonnateur et/ou à l' Adjoint Gestionnaire d'apprécier l'opportunité de chaque dépense en fonction des critères ci-dessus.
Si vos besoins exprimés sont jugés pertinents et si les moyens financiers globaux le permettent les opérations d'acquisition pourront avoir lieu, même en dépassement des crédits indicatifs de 700.00 €. En revanche, si vos demandes ne sont pas jugées opportunes par les deux autorités précitées ou si les moyens financiers globaux ne permettent pas totalement ou partiellement ces dépenses, celles- ci seront soit non satisfaites, soit satisfaites en partie, soit reportées à l'exercice suivant.

     Souhaitant avoir répondu à vos légitimes interrogations je vous prie d'agrée l'expression de ma main dans la gueule....

L'Adjointe Gestionnaire du collège
Iffaudrée DÉSOUS

Madame,

Est-il possible de répondre à ces 2 questions ?
Question n° 1 : pourquoi est-ce toujours le bordel dans votre salle de classe qui est systématiquement laissée dans un état déplorable de salissure avec qui plus est de nombreuses dégradations commises durant votre cours. N'êtes vous pas en mesure de tenir votre classe ?
Question n°2 : comment expliquez-vous les résultats déplorables de vos élèves aux différents examens ?
Question subsidiaire : ne croyez vous pas que l'argent de l'établissement serait mieux utilisé pour acheter des livres et des supports pédagogiques plutôt que pour faire du tourisme à Venise sous prétexte d'étudier l'habitat italien en milieu humide et la transcription de la culture latine par les gondoliers ? A propos où sont passés les 46 euros qui n'étaient pas justifiés dans la régie de la dernière sortie à Paris pour la découverte de la culture américaine en visitant l'exposition Star Wars ?

Bien cordialement,

volcan a écrit:

V.M.B a écrit:

Madame

       Je comprends votre inquiétude et vos interrogations concernant les crédits qui vous seraient accordés. Toutefois et depuis la mise en place de la comptabilité publique ayant pour objectif la satisfaction des besoins exprimés et justifiés, et non plus la simple notification de crédits maximums à dépenser, il convient de considérer les sommes qui vous sont indiquées comme de simples informations, susceptibles d'évoluer (en + ou en -) en fonction des besoins à satisfaire et des moyens globaux disponibles.
       Il appartient alors au Chef d'Établissement ordonnateur et/ou à l' Adjoint Gestionnaire d'apprécier l'opportunité de chaque dépense en fonction des critères ci-dessus.
Si vos besoins exprimés sont jugés pertinents et si les moyens financiers globaux le permettent les opérations d'acquisition pourront avoir lieu, même en dépassement des crédits indicatifs de 700.00 €. En revanche, si vos demandes ne sont pas jugées opportunes par les deux autorités précitées ou si les moyens financiers globaux ne permettent pas totalement ou partiellement ces dépenses, celles- ci seront soit non satisfaites, soit satisfaites en partie, soit reportées à l'exercice suivant.

     Souhaitant avoir répondu à vos légitimes interrogations je vous prie d'agrée l'expression de ma main dans la gueule....

L'Adjointe Gestionnaire du collège
Iffaudrée DÉSOUS

Madame,

Est-il possible de répondre à ces 2 questions ?
Question n° 1 : pourquoi est-ce toujours le bordel dans votre salle de classe qui est systématiquement laissée dans un état déplorable de salissure avec qui plus est de nombreuses dégradations commises durant votre cours. N'êtes vous pas en mesure de tenir votre classe ?
Question n°2 : comment expliquez-vous les résultats déplorables de vos élèves aux différents examens ?
Question subsidiaire : ne croyez vous pas que l'argent de l'établissement serait mieux utilisé pour acheter des livres et des supports pédagogiques plutôt que pour faire du tourisme à Venise sous prétexte d'étudier l'habitat italien en milieu humide et la transcription de la culture latine par les gondoliers ? A propos où sont passés les 46 euros qui n'étaient pas justifiés dans la régie de la dernière sortie à Paris pour la découverte de la culture américaine en visitant l'exposition Star Wars ?

Bien cordialement,

Volcan au top de l'efficacité 

V.M.B a écrit:

Madame

       Je comprends votre inquiétude et vos interrogations concernant les crédits qui vous seraient accordés. Toutefois et depuis la mise en place de la comptabilité publique ayant pour objectif la satisfaction des besoins exprimés et justifiés, et non plus la simple notification de crédits maximums à dépenser, il convient de considérer les sommes qui vous sont indiquées comme de simples informations, susceptibles d'évoluer (en + ou en -) en fonction des besoins à satisfaire et des moyens globaux disponibles.
       Il appartient alors au Chef d'Établissement ordonnateur et/ou à l' Adjoint Gestionnaire d'apprécier l'opportunité de chaque dépense en fonction des critères ci-dessus.
Si vos besoins exprimés sont jugés pertinents et si les moyens financiers globaux le permettent les opérations d'acquisition pourront avoir lieu, même en dépassement des crédits indicatifs de 700.00 €. En revanche, si vos demandes ne sont pas jugées opportunes par les deux autorités précitées ou si les moyens financiers globaux ne permettent pas totalement ou partiellement ces dépenses, celles- ci seront soit non satisfaites, soit satisfaites en partie, soit reportées à l'exercice suivant.

     Souhaitant avoir répondu à vos légitimes interrogations je vous prie d'agrée l'expression de ma main dans la gueule....

L'Adjointe Gestionnaire du collège
Iffaudrée DÉSOUS

ça fait un peu trop le mec qui se contient, non?

Réponse à la question n°1: "Le gestionnaire étant un pervers polymorphe avéré, toute tension suscitée au sein du corps enseignant lui procure une jouissance certaine."
Réponse à la question n°2: "Le gestionnaire étant un escroc notoire, les 46 € manquants ont été détournés par ses soins afin de cofinancer son prochain séjour aux Bahamas, étant entendu que le pot de vin perçu dans le cadre du marché des photocopieurs n'y suffisait pas."

Les copains ont déjà dit que les crédits par discipline, c'est une khonnerie qui faisait déjà honte au IIe millénaire. Mais comment fait-on pour s'en passer, pour conduire le changement ? C'est très simple : il faut dire aux profs qu'ils auront ce dont ils ont besoin, et ils n'ont pas besoin de savoir combien ça coûte, ça c'est le problème du gestionnaire, c'est même pour ça qu'il existe.

Il y a forcément une petite phase d'incrédulité, mais si l'on est correctement soutenu par le chef d'établissement, ça passe parfaitement. Corollaires :

- les profs doivent pouvoir demander tout ce qu'ils veulent avec une autocensure minimale
- c'est le chef d'établissement qui tranche lorsqu'une demande n'est pas parfaitement évidente et à réaliser sans hésiter, jamais le gestionnaire (et il faut activement refuser d'indiquer ce qu'on en pense en opportunité)
- ça passe d'autant mieux qu'on marque des points sur l'équipement général de l'établissement (améliorations des bâtiments, généralisation des vidéoprojecteurs ou autre)
- il faut abandonner toutes ces "règles" débiles qui ne servent à rien comme les commandes qu'on arrête le 5 novembre
- il faut dénier aux profs toute influence dans le choix des fournisseurs, ou alors si, en participant à une commission des marchés attribuant les MAPA publiés, ça c'est très bien
- il est essentiel que l'intendance ne lambine pas, et que les commandes soient effectivement passées dans la demi-journée de la prise de décision. Et si possible pas à des fournisseurs idiots qui mettront trois mois

Je te garantis que ça marche parfaitement. Je l'ai adopté dans mes établissements successifs, mais aussi dans mes établissements rattachés, où les gestionnaires n'ont jamais rencontré de problème majeur.

Au final, dans le domaine "enseignement général", je ne conserve que les activités suivantes : CDI, EPS, arts, sciences, humanités.

Autre chose : le prof qui te vouvoie par écrit est dans son rôle. Toi-même tu n'arriveras à rien dans ce métier, tu ne feras que souffrir si tu n'admets pas qu'au travail on joue un rôle, on met un costume, on est le gestionnaire et pas soi-même.

L'intendant zonard a écrit:

Les copains ont déjà dit que les crédits par discipline, c'est une khonnerie qui faisait déjà honte au IIe millénaire. Mais comment fait-on pour s'en passer, pour conduire le changement ? C'est très simple : il faut dire aux profs qu'ils auront ce dont ils ont besoin, et ils n'ont pas besoin de savoir combien ça coûte, ça c'est le problème du gestionnaire, c'est même pour ça qu'il existe.

Il y a forcément une petite phase d'incrédulité, mais si l'on est correctement soutenu par le chef d'établissement, ça passe parfaitement. Corollaires :

- les profs doivent pouvoir demander tout ce qu'ils veulent avec une autocensure minimale
- c'est le chef d'établissement qui tranche lorsqu'une demande n'est pas parfaitement évidente et à réaliser sans hésiter, jamais le gestionnaire (et il faut activement refuser d'indiquer ce qu'on en pense en opportunité)
- ça passe d'autant mieux qu'on marque des points sur l'équipement général de l'établissement (améliorations des bâtiments, généralisation des vidéoprojecteurs ou autre)
- il faut abandonner toutes ces "règles" débiles qui ne servent à rien comme les commandes qu'on arrête le 5 novembre
- il faut dénier aux profs toute influence dans le choix des fournisseurs, ou alors si, en participant à une commission des marchés attribuant les MAPA publiés, ça c'est très bien
- il est essentiel que l'intendance ne lambine pas, et que les commandes soient effectivement passées dans la demi-journée de la prise de décision. Et si possible pas à des fournisseurs idiots qui mettront trois mois

Je te garantis que ça marche parfaitement. Je l'ai adopté dans mes établissements successifs, mais aussi dans mes établissements rattachés, où les gestionnaires n'ont jamais rencontré de problème majeur.

Au final, dans le domaine "enseignement général", je ne conserve que les activités suivantes : CDI, EPS, arts, sciences, humanités.

Autre chose : le prof qui te vouvoie par écrit est dans son rôle. Toi-même tu n'arriveras à rien dans ce métier, tu ne feras que souffrir si tu n'admets pas qu'au travail on joue un rôle, on met un costume, on est le gestionnaire et pas soi-même.

Très juste le dernier paragraphe.
Pour le reste, l'IZ, qui a torpillé 23 456 chefs d'établissements sur les 12 345 en état de fonctionner depuis qu'il exerce, a très bien expliqué - une fois de plus - le bon positionnement. Il ne lui reste qu'à choisir entre deux options :
- former des CE
- devenir CE
Cela vaut aussi pour quelques très anciennes casquettes de ce forum.
Puisque certains disent que tout est foutu pour la profession...
Je parierais volontiers un kopeck (de B.) que c'est la trajectoire gagnante.

As .

Les crédits pédagogiques relèvent de la spécificité de chaque EPLE.

L'intendant zonard a écrit:

- il est essentiel que l'intendance ne lambine pas, et que les commandes soient effectivement passées dans la demi-journée de la prise de décision. Et si possible pas à des fournisseurs idiots qui mettront trois mois

en partant du postulat que l'intendance est pourvue d'une personne entièrement dédiée à la gestion des commandes...  
Compliqué pour les intendances exclusivement composées du gestionnaire et de sa solitude!

Jax a écrit:

L'intendant zonard a écrit:

- il est essentiel que l'intendance ne lambine pas, et que les commandes soient effectivement passées dans la demi-journée de la prise de décision. Et si possible pas à des fournisseurs idiots qui mettront trois mois

en partant du postulat que l'intendance est pourvue d'une personne entièrement dédiée à la gestion des commandes...  
Compliqué pour les intendances exclusivement composées du gestionnaire et de sa solitude!

Je vais pleurer : combien d'heures te faut-il pour saisir une commande sur le site http://www.ugap.fr ? 90 % des besoins des profs peuvent être satisfaits ainsi. Dans le reste, il y a le bon de commande au supermarché d'en face (moins bon sur la commande publique, mais de bon sens), et quelques dossiers qui nécessiteront un poil plus de préparation.

Du haut de ma toute petite expérience de gestionnaire avec un adjoint administratif absent à grande échelle, je peux t'assurer que ne pas faire immédiatement la commande d'un prof validée par le CE, ça prend énormément plus de temps que de le faire sur le champ !