Bonjour Mad Max, comme vous faites a priori de la veille juridique, vous n'auriez pas dans votre cagnotte un bout d'arrêté, un bout de circulaire, ....un petit quelque chose permettant de répondre à mon "post" joint ci dessous traitant du manque à gagner relatif aux droits de scolarité des étudiants boursiers du supérieur et de l'absence de financement à l'euro prés.
Cordialement.
Bonjour la compagnie, j'espère que vous allez bien.
J'aimerais savoir s'il existe une disposition visant à ce que l'Etat soit amené à financer à l'euro prés à travers des subventions ou d'une autre façon (peu m'importe), le "manque à gagner" relatif au droits de scolarité pour lesquels les étudiants boursiers n'ont pas à s'acquitter.
En effet, mon établissement se fait enfumer depuis des années, et on a jusqu'à 50% d'étudiants boursiers, et la subvention versée par le ministère reste largement insuffisante.
De ce fait,
Soit on arrête de dispenser des cours avec des vacataires, et les seuls enseignants titulaires sont insuffisants au regard du nombre d'heures qu'ils doivent au titre de la pédagogie, et dans ce cas les étudiants n'ont plus cours comme jusqu'à maintenant,
Soit on continue à faire appel aux vacataires, mais je ne les inscris pas au budget et on ne les paye non plus (c'est la conséquence de la non inscription budgétaire), mais autant dire que c'est jouer avec sa vie,
Soit, il existe une disposition légale permettant à l'établissement de réclamer le "manque à gagner" à l'euro prés, car je veux bien comprendre qu'on ne peut légitimement réclamer aux familles des étudiants boursiers des droits de scolarité alors qu'elles sont déjà dans des situations économiquement inconfortable, mais je n'arrive pas à accepter l'idée que le législateur ait mis en place un système visant à promouvoir l'égalité des chances sans même mettre en place le financement,
Soit il faut rétablir une nouvelle forme d'esclavage visant à faire travailler les vacataires gratuitement.
Je vous remercie pour votre collaboration et vos connaissances qui me seront précieuses et utiles.
Dans l'attente de vous lire.