adaptation temps de travail pour impératifs personnels

Bonjour,
Nouvelle gestionnaire, je suis confrontée à une demande d'un agent (cuisinier) qui doit accompagner ses enfants à l'école entre 8h30 et 9h, sa femme ayant eu une modification dans son emploi du temps, elle ne peut plus gérer ces déplacements.
Peut-on prévoir une interruption dans le temps de travail journalier de l'agent? (autre que la pause de 20 min et la pause repas).
L'agent ne serait plus dans ce cas couvert en cas d'accident de trajet par exemple, cela pose-il un problème?
Merci pour votre aide

Sa femme a eu un "changement" ? Pourquoi alors serait-ce à lui de "changer" ? Un poste en EPLE a moins de valeur qu'un poste basé ailleurs ,sans doute.
Et franchement, à moins d'habiter à deux pas, je ne vois pas comment 1/2 heure pourrait suffire pour cette mission stratégique.

Prendre l'attache de l'employeur si vraiment on veut répondre favorablement en toute sécurité. Sinon, lui expliquer qu'il fait comme tout le monde, nounou ou accueil périscolaire.

Pour moi c'est négatif.
J'ai souvent eu ce genre de problème notamment pour garde d'enfant malade où on estime que le travail du conjoint est plus important que celui dans l'Education nationale. Le travail de cuisinier dans votre établissement est-il un travail de seconde zone par rapport à celui du conjoint ? Est-ce parce qu'il est fonctionnaire qu'il pourrait se permettre ce que le privé refuse ? Un travail qui permette de tout arrêter pour laisser son poste de travail en plan, enlever sa tenue professionnelle, prendre sa voiture, attendre les enfants qui ne sont pas prêts, les emmener à l'école, revenir, remettre sa tenue.... c'est ingérable à terme.

volcan a écrit:

J'ai souvent eu ce genre de problème notamment pour garde d'enfant malade où on estime que le travail du conjoint est plus important que celui dans l'Education nationale.

volcan a écrit:

Pour moi c'est négatif.
J'ai souvent eu ce genre de problème notamment pour garde d'enfant malade où on estime que le travail du conjoint est plus important que celui dans l'Education nationale. Le travail de cuisinier dans votre établissement est-il un travail de seconde zone par rapport à celui du conjoint ? Est-ce parce qu'il est fonctionnaire qu'il pourrait se permettre ce que le privé refuse ? Un travail qui permette de tout arrêter pour laisser son poste de travail en plan, enlever sa tenue professionnelle, prendre sa voiture, attendre les enfants qui ne sont pas prêts, les emmener à l'école, revenir, remettre sa tenue.... c'est ingérable à terme.

C'est de plus un très mauvais signal lancé à l'ensemble de la communauté.

Il suffit de mettre des raviolis au menu et tout devient parfaitement gérable.